Après la Fashion Week, Carl et Yaya, couple de mannequins et influenceurs, sont invités sur un yacht pour une croisière de luxe. Tandis que l’équipage est aux petits soins avec les vacanciers, le capitaine refuse de sortir de sa cabine alors que le fameux dîner de gala approche. Les événements...
Match des critiques les meilleurs avis Sans filtre
VS
Le capitalisme prend cher
La nature humaine, surtout vue à travers ses bassesses et sa médiocrité, est le sujet préféré de Ruben Ôstlund qui n'hésite pas à pousser le curseur à son maximum dans Sans filtre (traduction oiseuse de Triangle of Sadness) dans lequel le capitalisme prend cher, à travers quelques uns de ses représentants fortement malmenés. Au début, avec ce couple de mannequins/influenceurs qui discutent ad nauseam d'une addition de restaurant, difficile de dire vers quels rivages se dirige le...
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La subtilité est morte
J'avais fait l'impasse sur The Square, j'aurais dû la faire sur Sans filtre aussi.Je vais mentionner l'évidence, mais je me suis fait chier comme rarement au cinéma. J'ai commencé à sévèrement regarder ma montre à l'heure de film... Pour un film qui dure 2h30... C'est long... Et pourtant j'ai dû sourire quelques fois (allez trois ou quatre fois, ce qui n'est pas si mal), le propos me parle... Mais rien n'y fait, je ne suis...
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Critiques : avis d'internautes (260)
Sans filtre
Tri :
recommandées
positives
négatives
plus récentes
Idiot, mais riche
Je comprends maintenant, après avoir découvert ce film, pourquoi sans filtre a obtenu la Palme d'Or, c'est tout simplement le talent d'un réalisateur Suédois, Ruben Östlund, qui réussit la performance d'un humour, dans ces instincts les plus bas, pour une critique de cette Elite, tristement comique, ses privilèges, et son hypocrisie, ce regard toujours...
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Avis de tempête
La croisière s’amuse Puisqu’il s’agit ici d’évoquer un film qui ne fait pas de la dentelle, allons droit au but : Triangle of Sadness est un film qui vous explosera à la tronche. Ruben Östlund emporte le spectateur à bord d’un étrange voyage, un curieux objet de cinéma, sorte de chef-d'œuvre scatophile et faussement anti-capitaliste, qui crache sur tout le monde,...
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La réflexion avant la passion
5 ans après remporté la Palme d'or du festival de Cannes pour son film The Square, le réalisateur suédois Ruben Östlund l'a remporté à nouveau pour Sans Filtre, aussi connu sous le nom anglais de Triangle of sadness (titre que je préfère personnellement). Après tant d'impatience, ce film est enfin disponible en salles de cinéma. Mais alors que vaut-il?Objectivement, Sans...
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La croisière abuse
Les fanfaronnades à la suite de l’obtention de la Palme d’Or pour The Square en 2017 avaient laissé un sentiment étrange : celui de voir un réalisateur malin un peu trop fier de son hold up, pour une œuvre certes riche en coups d’éclat, mais dont le souvenir finirait par rapidement s’estomper.
Cinq ans plus tard, Ruben Östlund présente sur la...
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La charme discret de la langueur
Voilà, j'ai plongé, ou plutôt, je suis doucement rentré dans le bain, cédant à une espèce de curiosité malsaine mêlée d'attirance et de répulsion qui me faisaient dédaigner un film sans l'avoir vu pour les premiers échos retentissant à la note près les mêmes sons de cloche que les précédentes expériences du cinéaste.
Il y a déjà une dizaine d'année, Snow Therapy m'avait agacé...
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