
Comment capter l’air du temps ? Comment livrer une photographie qui puisse dire une époque, une ville, et la diversité de ses habitants ? Chris Marker, figure marquante du documentaire à la française, contribue ici à cette quête par un dispositif rudimentaire : se promener, croiser, s’entretenir avec les passants. Il dira ainsi Paris en 1962, demandant caméra à l’épaule et... Lire la critique de Le Joli Mai