John Carpenter, le maitre de l'épouvante

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A son premier visionnage, je me suis profondément ennuyé, le trouvant mortellement ennuyeux. Avec le temps, j'ai enfin su apprécier ce classique du film d'épouvante, à l'influence non négligeable sur les films de genre.

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Au fil du temps, Halloween a supplanté The Thing dans mon cœur. Les films sont au coude à coude, tant ils savent créer une atmosphère angoissante, au point de devenir claustrophobe dans ce coin reculé de l'Antarctique où personne ne vous entendra crier.

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C'est ma madeleine de Proust. C'est l’œuvre de John Carpenter que j'ai le plus vu, à en usé la VHS. Le film a pris quelques rides mais le mélange des genres avec son humour et Kurt Russell, en font un film à part.

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Une œuvre sous-estimée. John Carpenter est revenu à ses premiers amours après quelques échecs commerciaux. Un retour en grâce avec ce huis-clos horrifique et la présence de Donald Pleasence.

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Assaut pose les bases de l'univers de John Carpenter. C'est son oeuvre de référence pour apprécier l'ensemble de sa filmographie, de son huis-clos son anti-héros, en passant par ses thématiques (racisme, les inégalités sociales, le capitalisme, etc...)

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L'association entre John Carpenter et Kurt Russell est une de mes préférées de l'histoire du cinéma. Il a trouvé son alter ego et va créer un personnage emblématique de la culture populaire (comme Michael Myers), Snake Plissken. Comme Jack Burton, il souffre des affres du temps mais reste un divertissement du niveau de The Warriors de Walter Hill.

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L’œuvre Lovecraftienne de John Carpenter. Une plongée passionnante dans la folie qui conclut brillamment sa trilogie The Thing et Le Prince des Ténèbres. C'est la dernière oeuvre marquante, d'un maitre qui a régné sur la fin du 20ème siècle.

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Le film souffre de son acteur principal qui est une pâle copie de Kurt Russell. Il n'y a pas grand monde qui peut rivaliser avec l'acteur fétiche de John Carpenter. Il reste un pamphlet politique des plus violent à l'encontre de Reagan et des médias.

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Une œuvre totalement décomplexée où John Carpenter lâche ses dernières cartouches, quitte à faire preuve de misogynie. James Woods en fait des caisses, c'est souvent indigeste et pourtant jouissif. Un plaisir coupable!

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Le premier film de John Carpenter qui va servir de rampe de lancement à sa carrière, ainsi que l'élaboration du Alien de Ridley Scott. C'est plein de défauts, ce qui en fait son charme.

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Malgré plusieurs tentatives, je m'endors devant comme pour le premier Harry Potter. C'est mon Xanax cinématographique, avec l'impression de passer à côté mais mes paupières ne veulent pas aller au bout de la séance...

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Ce film était un plaisir, avant que le temps ne fasse son œuvre et ne le rende soporifique.

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C'est le début de la fin pour John Carpenter avec ce film qui ressemble à une tentative à renouer avec sa splendeur d'antan. Il reste des scènes impressionnantes mais cela ne fonctionne plus.

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Une nouvelle tentative de s'ouvrir au grand public avec ce film de commande. Le succès ne sera pas au rendez-vous, ni d'un point de vue commercial et encore moins artistique, à oublier.

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Un remake, un film de commande, un désastre... C'est son pire film. Comme avec L'homme invisible, le duo d'acteurs.rices qui lui est imposé, en fonctionne pas et le film devient d'une exaspérante platitude. Le plus gros ratage de sa carrière.