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    Bande-annonce

    TÁR (2022)

    2 h 38 min. (France). Drame et musique.

    Film de Todd Field avec Cate Blanchett, Nina Hoss, Noémie Merlant

    Suite de https://www.senscritique.com/liste/Cinephilie_obsessionnelle_2023/3370377?page=1

    C'est bien sûr un film un peu élitiste, qui ne ménage pas son côté intellectuel, sans doute prétentieux sous certains aspects, et donc hermétique — il faut réussir à passer la première heure. Mais c'est aussi un film qui aborde une grande quantité de thèmes que je trouve passionnants, les dérives du pouvoir, l'absolutisme du génie, la confrontation entre les mondes (ancien et moderne, classe favorisée et classe moyenne), l'angoisse de la vieillesse et la misère sentimentale qui peut advenir, les étincelles provoquées par la rencontre entre le savoir ancien et massif et l'immédiateté des réseaux sociaux et des préoccupations sociales, ou encore la place délicate de l'art comme culte de la performance dans un système égalitaire. Le film arbore en plus de cela des aspects comiques (parfois tragiques, comme l'échange hilarant entre Blanchett et ses voisins de palier qui trouvent qu'elle fait du bruit et que cela nuit au visites) et d'autres très oniriques ou étranges (cauchemars, présence répétée de la femme rousse, final dans un pays asiatique) qui en font une curiosité très recommandable. Un film insaisissable, rempli de recoins à explorer.
  • 2
    Bande-annonce

    Sans filtre (2022)

    Triangle of Sadness

    2 h 29 min. (France). Comédie et drame.

    Film de Ruben Östlund avec Harris Dickinson, Charlbi Dean, Woody Harrelson

    Suite de https://old.senscritique.com/liste/cinephilie_obsessionnelle_2022/3158495/page-18

    Les fils sont gros, impossible de le nier. Le coup du couple de vieux britanniques et de leur fortune faite avec "des engins de précision" qui finissent explosés par ces mêmes engins, à savoir des grenades, sont sans doute l'archétype du procédé. Bourrin, mais efficace. Je suppose que tout découle de l'adhésion et de l'immersion, ou non, dans le délire et dans l'ambiance du yacht. Clairement le film n'est pas d'une modestie sans faille, il aurait pu écarter beaucoup de choses y compris dans la satire pure, mais impossible pour moi de nier que presque tout m'a fait marrer — même la remise à zéro des compteurs sur l'île façon Marivaux, avec inversion des rapports dominants / dominés, n'est pas complètement stérile. De voir le monde contemporain souillé de la sorte, en filant des pains dans toutes les directions (la misanthropie est surtout condensée dans le discours sur la réversibilité du mal tout à fait naturelle, qui verrait les dominations s'inverser à la moindre occasion, ce qui me paraît pertinent, par opposition avec l'angélisme d'une vision contraire), rappelle qu'on n'a pas si souvent l'occasion de s'y confronter dans le cadre de ce cinéma.

    Je vois dans "Sans filtre" une étrange hybridation entre Haneke, Allen et Tati, avec une option de grande farce qui échantillonne soigneusement ses sujets et ses attaques. La gestion de l'équilibre entre rire et malaise, même si elle n'est ni nouvelle ni fine, demeure efficace dans son refus de la réconciliation. Ce n'est pas un film poli, c'est un euphémisme si on repense à quelques scènes — la vieille qui chavire de gauche à droite en essayant de vomir aux chiottes, bon sang. Bien sûr qu'on n'a pas attendu Östlund pour comprendre que les sociétés occidentales sont profondément inégalitaires, que richesse et amoralité ne sont pas antagonistes, et que la cupidité semble primer sur la solidarité. Mais son côté provocateur pour décrire le monde de l'argent roi carbure à un humour qui me parle beaucoup, et qui va au-delà de la caricature qu'il reprend de film en film, au-delà de la répétition, en poussant toujours plus loin les curseurs de la vacherie. Personnellement je trouve que c'est un miroir intéressant de la violence qu'on peut observer au quotidien.
  • 3
    Bande-annonce

    À l'Ouest, rien de nouveau (2022)

    Im Westen nichts Neues

    2 h 28 min. (France). Drame, guerre et historique.

    Film de Edward Berger avec Felix Kammerer, Albrecht Schuch, Aaron Hilmer

    Suite de https://www.senscritique.com/liste/cinephilie_obsessionnelle_2022/3158495?page=19

    En tous cas j'ai bien aimé comment la beauté de la mise en scène est sans cesse corrélée avec l'ampleur de la boucherie, avec de très nombreux gros plans sur des horreurs sanglantes — peut-être un peu trop de plans fixes insistant sur certains cadavres. La peur qui gonfle dans les rangs allemands est rendue avec beaucoup d'intensité, et je pense qu'on se rappellera pendant longtemps de l'arrivée des chars français sur le champ de bataille, ainsi que des lance-flammes et les avions. Glaçant. Au même titre que toutes les scènes de bataille ceci dit, très bien mises en scène. J'ai en outre pas mal apprécié l'utilisation très anachronique de la musique, qu'on croirait parfois sortie des mains de Hans Zimmer pour un film de science-fiction : très surprenant.
  • 4
    Bande-annonce

    Pacifiction - Tourment sur les îles (2022)

    2 h 45 min. (France). Drame.

    Film de Albert Serra avec Benoît Magimel, Pahoa Mahagafanau, Matahi Pambrun

  • 5
    Bande-annonce

    Emily the Criminal (2022)

    1 h 33 min. (France). Policier, drame et thriller.

    Film de John Patton Ford avec Aubrey Plaza, Theo Rossi, Jonathan Avigdori

  • 6
    Bande-annonce

    Bruno Reidal - Confession d’un meurtrier (2020)

    1 h 41 min. (France). Drame, biopic et thriller.

    Film de Vincent Le Port avec Dimitri Doré, Jean-Luc Vincent, Roman Villedieu

    Suite de https://www.senscritique.com/liste/cinephilie_obsessionnelle_2023/3370377?page=3

    Quelques passages-clés se détachent du reste, comme la mise à mort du cochon en famille, une insolation qui a failli le tuer, ou encore la rencontre avec un berger qui l'a violé en le masturbant. La masturbation est d'ailleurs omniprésente dans le parcours d'apprentissage de l'enfant, jusqu'à la nausée. Mais le thème n'empêche en rien le film de s'envelopper dans une froideur proprement terrifiante, à mesure que ses fantasmes criminels remplissent l'espace de sa pensée dans un décor (et avec des acteurs) rural qu'on croirait sorti de chez Bruno Dumont, en version sudiste. L'obsession pour la mort se double chez le personnage d'un désarroi vertigineux, culminant dans les derniers instants avec l'empathie qu'il voit réservée à sa victime. Et là où Vincent Le Port a particulièrement réussi son film, c'est dans la décorrélation presque totale entre le dévoilement des tréfonds de la pensée de Bruno Reidal, que l'on parcourt de plus en plus minutieusement, et la compréhension de son être, qui restera encore à la fin largement partielle et mystérieuse. L'absence de remords, le contexte géographique et temporel, la quiétude générale, et le rythme extrêmement posé font du visionnage un moment intense, glaçant, et malaisant.
  • 7
    Bande-annonce

    La Conspiration du Caire (2022)

    Boy from Heaven

    1 h 59 min. (France). Thriller et drame.

    Film de Tarik Saleh avec Tawfeek Barhom, Fares Fares, Mohammad Bakri

  • 8
    Bande-annonce

    Godland (2022)

    Vanskabte Land

    2 h 23 min. (France). Drame, aventure et road movie.

    Film de Hlynur Pálmason avec Elliott Crosset Hove, Ingvar Eggert Sigurðsson, Victoria Carmen Sonne

    Suite de https://www.senscritique.com/liste/cinephilie_obsessionnelle_2023/3370377?page=3

    "Godland" se divise en deux parties, une première radicalement éprouvante qui montre la découverte de cette terre inconnue par le jeune prêtre danois, très herzogienne, la meilleure et de loin à mes yeux, et une seconde centrée sur la description de la vie dans une minuscule communauté, sur fond de tensions, de domination et de vengeance(s), cette dernière n'évitant pas toujours adroitement les lourdeurs d'un scénario un peu trop écrit. C'est dans le fond avant tout l'exposition d'un échec flagrant, celui d'une mission qui avait pour but de prêcher dans un recoin du monde (notamment au travers de la construction d'une église) et d'en photographier la population. La première se soldera par une déroute plus symbolique, à travers la présence du chien de Ragnar revenu devant l'église et devant lequel le héros se souillera dans la boue, comme apeuré devant le poids d'un tel retour. La seconde s'illustre davantage par un revers technique, faute de coopération au sein de la population locale et face à un défaut de stocke de composés chimiques pour pouvoir réaliser de tels clichés.

    Difficile de ne pas être happé par la beauté des paysages dans cet univers nordique bercé autant par les coulées de lave incandescente que par la dureté glaciale de son climat. La nature y est grandiose, un décor de premier choix pour imposer une ambiance jouant sur deux tableaux, le grandiose et le glacial. La dimension primitive de ces espaces transparaît aussi bien au travers d'une éruption, d'un cours d'eau mortel, d'arêtes montagneuses tranchantes que de rigueur extrême. C'est en un sens un compte-rendu d'une survie en territoire hostile que j'aurais bien aimé voir enfler pendant deux heures, plutôt que de laisser l'espace de la seconde moitié occupé par une défaillance d'autorité morale de la part du prêtre. L'enchaînement de violences en réaction aux différentes formes de mépris n'est malheureusement pas à la hauteur du reste, un peu trop excessif dans sa démonstration de la vanité de l'espèce humaine par l'entremise de l'arrogance du prêtre Lucas. La barrière culturelle évoquée par la problématique des langues (au-delà de l'impact néfaste d'un exercice despotique de la religion, ou presque), le Danois se comportant en bon colon sur ses terres, aurait sans doute gagné à être davantage mise en avant, par exemple en faisant mieux ressortir les différentes langues parlées.
  • 9

    Brainwashed: Sex-Camera-Power (2022)

    1 h 47 min. Politique, art et cinéma.

    Documentaire de Nina Menkes avec Rhiannon Aarons, Kathleen Antonia, Rosanna Arquette

    Suite de https://www.senscritique.com/liste/cinephilie_obsessionnelle_2023/3370377?page=2
    Cela ne l'empêche pas d'exhiber de nombreuses faiblesses. Il y a notamment une quantité assez importante de raccourcis, d'interprétations maladroites voire fausses, et de pans entiers du cinéma non-abordés qui m'ont assez dérangé. Déjà, aborder le cinéma du vieil Hollywood à l'aune de seulement un film de Welles ('Lady from Shanghai"), je trouve ça très faible, réducteur, en plus d'être à mes yeux qu'une vision très partielle de ce que le film représente. Elle ne mentionne même pas Lois Weber. Non, il n'y a pas que les hommes d'un côté en lumière 3D et corps entiers puis les femmes de l'autre avec lumière 2D et corps fragmenté. Ce procédé proche du cherry picking est de temps en temps désagréable car s'il ne ment jamais sur ce qu'il montre, il prend aussi le parti de ne pas montrer le reste. Prendre Gordard comme exemple français de l'exploitation sexuelle via Bardot dans "Le Mépris", je ne suis pas sûr que ce soit un choix très approprié. Mettre en avant "Nomadland" comme symbole d'un bon film du point de vue féminin, c'est un bon point (si l'on omet l'artificialité du contenu) car on présente une soixantenaire mise en scène par une réalisatrice asiatique. Même chose pour "Jeanne Dielmann" de Chantal Ackerman.

    J'ai le sentiment qu'on distribue les bons points et les mauvais points vraiment à la va-vite : dire que "Titane" ou "The Phantom Thread" sont des archétypes de la représentation féminine à condamner, c'est vraiment n'avoir rien compris au propos du film — je ne les ai pas particulièrement aimés, mais c'est un procès injustifié à mes yeux. On pourrait en outre trouver énormément de contre-exemples à son argumentation sur l'utilisation du ralenti (pour montrer la bimbo passive d'un côté et le gars musclé en action), sur l'histoire de la composition des plans pour illustrer l'homme sujet qui regarde la femme objet (même si en soi il y a du vrai dedans), les corps féminins fragmentés ou en travelings sexualisant, et tant d'autres points. Beaucoup de séquences sont isolées du reste — l'image parfaite étant le personnage de Ana De Armas dans "Blade Runner: 2049", auquel elle reproche le nom, Joi, aka jerk-off instructions... https://www.rogerebert.com/reviews/brainwashed-sex-camera-power-2022

  • 10
    Bande-annonce

    Petite Nature (2021)

    1 h 35 min. (France). Drame.

    Film de Samuel Theis avec Aliocha Reinert, Antoine Reinartz, Melissa Olexa



    Je la trouve également très dure avec Kathryn Bigelow, sous prétexte qu'elle aurait été entourée d'hommes pour la réalisation de "The Hurt Locker", son succès en tant que femme réalisatrice serait à minorer (on pourrait avoir une vision auteuriste différente). Je trouve enfin qu'elle ne met pas très bien en perspective sa propre contribution au cinéma, pour le dire autrement les extraits de ses films ne font pas du tout envie. Je trouve aussi qu'il n'y a pas de filiation avec les autres modes d'expression artistique, peinture, photo, théâtre. Mais de temps en temps, elle fait quand même mouche : les noms masculins qui défilent sur le générique de "Carrie" exposant des corps féminins dénudés, celui de Nicole Kidman chez Kubrick, etc.
  • 11
    Bande-annonce

    As Bestas (2022)

    2 h 17 min. (France). Thriller et drame.

    Film de Rodrigo Sorogoyen avec Denis Ménochet, Marina Foïs, Luis Zahera

  • 12
    Bande-annonce

    Les Huit Montagnes (2022)

    Le otto montagne

    2 h 27 min. (France). Drame.

    Film de Felix Van Groeningen et Charlotte Vandermeersch avec Luca Marinelli, Alessandro Borghi, Filippo Timi

  • 13
    Bande-annonce

    The Batman (2022)

    2 h 56 min. (France). Action, drame et policier.

    Film de Matt Reeves avec Robert Pattinson, Zoë Kravitz, Jeffrey Wright

  • 14
    Bande-annonce

    Trois mille ans à t'attendre (2022)

    Three Thousand Years of Longing

    1 h 48 min. (France). Fantastique, drame et romance.

    Film de George Miller avec Idris Elba, Tilda Swinton, Aamito Lagum

  • 15
    Bande-annonce

    X (2022)

    1 h 45 min. (France). Épouvante-Horreur et thriller.

    Film de Ti West avec Mia Goth, Jenna Ortega, Brittany Snow

    Suite de https://www.senscritique.com/liste/cinephilie_obsessionnelle_2022/3158495?page=19

    Et puis les vieux sont vraiment traités avec finesse si on peut dire : pas d'explication psychologique ou surnaturelle foireuse, il est frontalement question de désir sexuel inassouvi, point barre. Au début, on se concentre sur leur laideur (aidée en ce sens par des maquillages toujours imparfaits et qui me sortent systématiquement du film, dommage), puis on se demande si le vieil homme est aussi chtarbé que sa femme, pour enfin s'orienter vers leurs problématiques de très vieux couple. Ils sont ravagés, mais ils restent étonnamment lucides. Ce sont des figures maléfiques, des sortes de zombies infects, mais ils sont largement maître de leurs actes. Quelques moments drôles pour d'autres raisons avec l'apprenti cinéaste qui pense faire du Godard avec son porno, et surtout une absence salutaire de morale, en éclatant le puritanisme sur l'opposition des deux groupes, l'autorité macabre des vieux imbibés de religion et la liberté sexuelle de l'âge d'or du genre. Cette opposition pulsions de vie contre pulsions de mort (avec ss tabous) est réussie.
  • 16

    The Stranger (2022)

    1 h 57 min. (France). Policier et thriller.

    Film de Thomas M. Wright avec Joel Edgerton, Sean Harris, Ewen Leslie

  • 17
    Bande-annonce

    Fumer fait tousser (2022)

    1 h 20 min. (France). Comédie et fantastique.

    Film de Quentin Dupieux (Mr. Oizo) avec Gilles Lellouche, Vincent Lacoste, Anaïs Demoustier

  • 18
    Bande-annonce

    Vortex (2021)

    2 h 22 min. (France). Drame.

    Film de Gaspar Noé avec Dario Argento, Francoise Lebrun, Alex Lutz

  • 19
    Bande-annonce

    Decision to Leave (2022)

    Heeojil Gyeolsim

    2 h 18 min. (France). Thriller, drame, romance et policier.

    Film de Park Chan-Wook avec Park Hae-Il, Tāng Wéi, Lee Jung-Hyun

  • 20
    Bande-annonce

    Au cœur des volcans - Requiem pour Katia et Maurice Krafft (2022)

    The Fire Within: A Requiem for Katia and Maurice Krafft

    1 h 20 min. (France). Portrait.

    Documentaire de Werner Herzog avec Katia Krafft et Maurice Krafft

  • 21
    Bande-annonce

    Something in the Dirt (2022)

    1 h 56 min. (France). Comédie, Épouvante-horreur et science-fiction.

    Film de Justin Benson et Aaron Moorhead avec Justin Benson et Aaron Moorhead

  • 22
    Bande-annonce

    Les Banshees d'Inisherin (2022)

    The Banshees of Inisherin

    1 h 54 min. (France). Comédie dramatique.

    Film de Martin McDonagh avec Colin Farrell, Brendan Gleeson, Kerry Condon

  • 23
    Bande-annonce

    La Nuit du 12 (2022)

    1 h 54 min. (France). Policier et drame.

    Film de Dominik Moll avec Bastien Bouillon, Bouli Lanners, Théo Cholbi

  • 24
    Bande-annonce

    She Said (2022)

    2 h 09 min. (France). Drame.

    Film de Maria Schrader avec Carey Mulligan, Zoe Kazan, Patricia Clarkson

  • 25
    Bande-annonce

    Zaï Zaï Zaï Zaï (2020)

    1 h 23 min. (France). Comédie.

    Film de François Desagnat avec Jean-Paul Rouve, Julie Depardieu, Ramzy Bédia

  • 26
    Bande-annonce

    R.M.N. (2022)

    2 h 05 min. (France). Drame.

    Film de Cristian Mungiu avec Marin Grigore, Judith State, Macrina Barladeanu

    Suite de https://www.senscritique.com/liste/cinephilie_obsessionnelle_2023/3370377?page=3

    Bien sûr que la haine xénophobe est atavique, bien sûr que la crétinerie est humaine et omniprésente. Je ne suis pas cinéaste donc je ne sais pas comment il aurait fallu exposer cela pour que ça ne me paraisse pas artificiel, mais je peux en revanche regretter le perturbation de nombreux éléments secondaires, des romances contrariées, un enfant perturbé, un grand-père malade, etc. Le tableau devient vite trop chargé, sans compter ce final mystérieux, presque fantastique, métaphorique, en tous cas pas immédiatement compréhensible. Dans ce genre de films, les calculs des effets produits derrière chaque séquence envahissent tout l'espace pour moi.
  • 27
    Bande-annonce

    Les Enfants des autres (2022)

    1 h 43 min. (France). Drame.

    Film de Rebecca Zlotowski avec Virginie Efira, Roschdy Zem, Chiara Mastroianni

  • 28
    Bande-annonce

    Annie Colère (2021)

    2 h. (France). Comédie dramatique.

    Film de Blandine Lenoir avec Laure Calamy, Zita Hanrot, India Hair

  • 29
    Bande-annonce

    In Search of Tomorrow (2022)

    5 h 01 min. (France). Cinéma.

    Documentaire de David A. Weiner avec Henry Thomas, Clancy Brown, John Carpenter

  • 30
    Bande-annonce

    RRR (2022)

    Ratham Ranam Roudhiram

    3 h 07 min. (France). Action, drame et historique.

    Film de S.S. Rajamouli avec N.T. Rama Rao Jr., Ram Charan, Ajay Devgn