Gerardmer vu autant de films en 4 jours (2024)

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Un film tendre et délicat qui m'a conquis par son ambiance feutrée et sa superbe direction photo en noir et blanc.

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Gamin, je l'ai apprécié comme un chouette film d'action SF bourrin. Aujourd'hui, c'est toujours aussi bien, mais j'en apprécie de nouvelles facettes, comme son humour décapant et son commentaire social.

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Violent, sanglant, romantique et charnel, parfois glauque jusqu'à l'excès, Thirst est une histoire de vampires qui ne perd pas de temps à vous parler de vampires. Et c'est fabuleux.

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C'est la seconde fois que je le revois avec un enthousiasme modéré, mais je dois bien me rendre à l'évidence, ce film ne ressemble à rien de connu et continue de me hanter mystérieusement malgré ses faiblesses.

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Férocement amoral, drôle et bien interprété, avec un Mads à la calvitie dérangeante. On y parle d'amitié, de cannibalisme, d'amour et de deuil.

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Un drame post-apo qui rappelle les films de zombies, mais ne vous gonflera pas avec une énième course-poursuite contre des macchabées. Au lieu de ça, on se concentre sur les survivants avec de beaux arcs de dégradation de personnages, aussi lents qu'inéluctables.

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Son auteur le présente comme un film d'horreur 'feel good', mais ce n'est ni l'un ni l'autre. J'espère que ça vous éclaire.

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Un film que tout le monde semble trouver chiant et long, et que j'ai trouvé singulièrement attachant. C'est un road trip en corbillard qui parle de nécrophilie et de vorarephilie. Comment ne pas être conquis ?

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Le film est bourré de scènes intenses, brutales et indépendamment fantastiques. S'il n'était pas aussi approximativement ficelé, inégal et mal rythmé, on tenait un chef-d'œuvre.

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Un huis-clos assez solide et bien joué, mais qui ne vous laissera probablement pas un souvenir impérissable. Un protagoniste un peu moins antipathique aurait aidé à faire prendre la sauce.

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Comédie québécoise gentillette dont l'accent vous fera sans doute plus rire que les gags. Restent des dialogues souvent bien sentis et un ton bienveillant qui en fait une petite sucrerie inoffensive.

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S'il est vrai que les grands classiques ne vieillissent pas, alors Jaws n'en est pas un, parce que bordel, ce que c'est lent et mal joué.

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J'en suis sorti sans grand enthousiasme, sans trop savoir quoi lui reprocher. Formellement, le film fait un sans-faute, mais n'a pas grand-chose à dire, et manque cruellement d'ambiguïté dans son approche du surnaturel pour maintenir le spectateur en haleine.

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La première moitié du film me plaisait bien, et puis ça part en vrille, avec des scènes débiles et des incohérences à foison, jusqu'à un final très plat qui manque d'un troisième acte ou d'un rebondissement quelconque.

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D'un ennui profond, le film semble avoir plein d'idées et vouloir tenter plein de choses, mais il se plante en permanence et nous assomme avec des scènes d'exposition interminables et deux histoires parallèles qui ne se font pas bien l'amour.

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Même si le film était réussi - et on en est loin - il n'en serait pas moins une resucée de The Descent dans la forêt, et un gâchis de pellicule.

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A la surprise générale, après une douzaine de films de merde ces 15 dernières années, le mythique réalisateur de Ring nous pond un nouveau film de merde. Tout est raté, le script est insultant de connerie, les acteurs n'ont aucune idée de ce qu'ils font là, et les effets spéciaux sont dignes d'un direct to DVD de début 2000