Ces classiques, qui ne sont pas, à la hauteur de leur mythe

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Dans cette grande illusion cinématographique, le véritable mirage est peut-être le plaisir que l'on espérait trouver.

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La Bête humaine se perd dans les rails de l'ennui, avec une intrigue aussi lente et tortueuse que le train qui la transporte, laissant les spectateurs sur un quai de déception.

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Ce film est comme une pleine lune voilée par les nuages, dépourvue de l'éclat terrifiant qu'on lui prête.

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Casablanca peut être perçu comme une escapade romantique usée, où les clichés affluent comme le gin dans le bar de Rick, attention à la gueule de bois.

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Le Corbeau laisse tomber ses plumes, révélant un récit qui pourrait ne pas voler aussi haut qu'on l'espérait.

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Un tramway nommé Désir pourrait être considéré comme un voyage lent vers l'ennui, où les passagers sont laissés avec des désirs inassouvis et des personnages aussi dramatiques que les virages serrés de la Nouvelle-Orléans

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Touchez pas au grisbi est un film qui semble plus intéressé par la sieste que par le suspense.

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le film nous entraîne dans un labyrinthe de clichés et de stéréotypes, où même les acteurs semblent perdus dans les dunes de l'ennui.
nous laissant à la recherche d'une oasis d'intérêt.

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C'est un film tellement noir qu'on pourrait s'y perdre même avec une lampe de poche.
les dialogues sonnent aussi faux que les promesses d'un politicien en pleine campagne électorale.

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Un film qui oscille entre le désopilant et le désastreux plus rapidement que Marilyn Monroe ne peut changer de robe

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Le Trou essaie de creuser dans les profondeurs de la tension carcérale, mais finit par s'enliser dans un récit aussi lent que les jours d'incarcération de ses protagonistes.

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Le Village des damnés essaie de créer une atmosphère de tension et de mystère, mais il peine à captiver.
Malgré quelques moments d'angoisse, le film souffre d'une intrigue prévisible et de personnages peu développés.

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Les Oiseaux est un vol plané dans l'ennui absolu, où même les ailes des créatures les plus menaçantes ne parviennent pas à décoller cette histoire terne.
Hitchcock, habituellement maître du suspense, semble ici avoir oublié le scénario au nid. Le film offre des effets spéciaux ridiculement datés et des personnages aussi plats que des crêpes.

Annotation :

une mise en scène prétentieuse et dénuée de toute véritable profondeur.
Les personnages errent comme des pantins sans vie, leurs actions dépourvues de sens et leurs dialogues creux résonnant comme des échos vides.
Godard, tel un charlatan intellectuel, tente vainement de masquer son manque de substance derrière un voile d'artifice cinématographiques.
Le Mépris" n'est rien de plus qu'une coquille vide, une farce prétentieuse qui échoue misérablement à saisir la véritable essence de l'existence humaine.

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C'est comme si l'on assistait à un spectacle de la pluie tombant sur une journée d'été qui refuse obstinément de prendre fin, où chaque goutte semble se moquer de notre patience.
Les chansons, aussi charmantes qu'un concours de gémissements synchronisés, ne font qu'ajouter à l'ennui général.
Dans ce Cherbourg de carton-pâte, l'amour est aussi fugace qu'une éclaircie entre deux averses.

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"Belle de jour", une tentative de capturer les désirs inassouvis d'un réalisateur à la plume tarabiscotée (Luis Buñuel), mais qui se révèle être un tableau fade de vanités et de déceptions.
C'est comme feuilleter les pages d'un roman érotique écrit par un adolescent en mal d'amour, où les pulsions s'entrechoquent dans un ballet grotesque.

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Le film souffre d'un manque de développement des personnages, les rendant souvent unidimensionnels et peu mémorables.
De plus, certaines séquences peuvent sembler excessivement longues et contribuer à un rythme inégal.

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La logique ??? AU PLACARD

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"La Nuit américaine", une comédie qui fait son cinéma mais oublie d'être divertissante. C'est comme observer une éclipse solaire : tout le monde en parle, mais une fois que c'est fini, on se demande où est passé le spectacle.

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Un western qui réussit l'exploit de rendre l'ennui aussi interminable que les vastes étendues désertiques qu'il dépeint.
Clint Eastwood semble plus intéressé par le silence que par le scénario.

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Ça bande mou, c'est le cas de le dire.

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Oui au mythe, non au film

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Un film qui tente de capturer l'énergie électrique d'une époque révolue, mais qui se retrouve plutôt à piétiner sur le dancefloor de l'oubli.

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Dans Inferno, les sorcières de l'industrie cinématographique jettent leurs sorts, et derrière chaque tour de magie, se cache le venin de la médiocrité, transformant le cinéma en un chaudron bouillonnant d'effets spéciaux vides et attendues

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Fog est un film qui promet de vous envelopper dans son mystère, mais au lieu de cela, il vous laisse égaré dans un épais brouillard de clichés et de fausses notes.
Avec des personnages aussi plats que l'océan sur lequel ils naviguent et une intrigue aussi transparente que le brouillard lui-même, ce film manque cruellement de substance

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La présence charismatique de Kurt Russell ne parvient pas à sauver ce navet de science-fiction, qui se perd dans les rues sombres de New York sans jamais trouver son chemin vers un récit cohérent ou engageant.

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C'est comme naviguer sur un océan de clichés avec un capitaine qui ne sait pas utiliser sa boussole.
Les rebondissements sont aussi prévisibles qu'une recette de cuisine, et les personnages aussi creux que des coquilles d'œufs.
Dans ce monde où même les méchants manquent de charisme, l'amour est aussi improbable qu'une licorne dans le désert.

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Des séquences psychédéliques, déconnectées, sans récit principal.

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Les éclats de romantisme et les péripéties fantastiques ne parviennent pas à masquer les dents grinçantes de l'absurdité, tout comme les chicots de Tom Cruise ne parviennent pas à dissimuler la vacuité de son personnage.

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Nostalgie pour certains, daube pour d'autres, mon choix est fait