Petite bulle enchanteresse, grand film d’animation où l’émotion la plus pure et la sincérité la plus désarmante soufflent un refrain entraînant et entêtant. Tous en scène, ou le titre qui dit tout. Ode à la créativité, chant qui fait entendre la polyphonie humaine dans sa disparité fondamentale, religion du rêve possible car sublimement inspiré : on casse nos places sur une scène à ciel ouvert où chaque prestation sublime la précédente et transcende son interprète. L’animation est merveilleuse et parvient à trouver le rythme adéquat, l’équilibre parfait entre chanson, action et émotion. Jamais simpliste dans son propos, Tous en scène fait résonner un appel à la participation et à la solidarité dans une même croyance : se dépasser pour donner le meilleur de soi. Sing !
Créée
le 8 janv. 2019
Critique lue 143 fois
D'autres avis sur Tous en scène
Des animaux anthropomorphes, un concours de chant, une menace qui pèse sur le rêve d'une vie. Vu et revus 1000 fois dans 1000 autres films. Sing n'a pas une once d'originalité a proposer, même dans...
Par
le 26 janv. 2017
64 j'aime
4
A la sortie de Tous en Scène, on ne peut s'empêcher de penser que l'on aurait pu assister à quelque chose de bien mieux. Tout au long de la séance, en effet, le masqué a oscillé entre une certaine...
le 20 févr. 2017
20 j'aime
7
Est-ce un pur hasard que ce long-métrage d’animation animalière sort un an après que le merveilleux et féerique Zootopie ? Je me le demande bien. Après avoir été incroyablement conquis par le...
Par
le 8 mai 2019
20 j'aime
7
Du même critique
Nous ne cessons de nous demander, deux heures durant, pour quel public Astérix et Obélix : L’Empire du Milieu a été réalisé. Trop woke pour les Gaulois, trop gaulois pour les wokes, leurs aventures...
le 1 févr. 2023
123 j'aime
9
Il est une scène dans le sixième épisode où Maeve retrouve le pull de son ami Otis et le respire tendrement ; nous, spectateurs, savons qu’il s’agit du pull d’Otis prêté quelques minutes plus tôt ;...
le 19 janv. 2019
87 j'aime
17
Ça : Chapitre 2 se heurte à trois écueils qui l’empêchent d’atteindre la puissance traumatique espérée. Le premier dommage réside dans le refus de voir ses protagonistes principaux grandir, au point...
le 11 sept. 2019
77 j'aime
14
