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La nouvelle oeuvre du trés productif Québecois s'ouvre sur une belle séquence Malickienne dopé par du Max Ritcher : chaud les marrons, on perd pas de temps, on est dedans au quart de tour et on décroche pas.

C'est l'une des forces de son cinéma, un cinéma prenant et réaliste, jamais too much et c'est presque énervant tant il arrive a maitriser chacun des genres auquels il s'attelle. La premiere partie précédent la rencontre est formidable - la tension, la peur et la curiosité sont redoutablement mises en scéne, entre autre grace a un beau contre-champs sur les visages des éleves et de Amy Adams qui découvrent les faits a la TV.

La seconde partie est moins maitrisé, plus éclaté, un peu trop métaphysique et un poil farfelu. Je pense notamment comme le soulignait l'auteur d'une critique de SC aux principes quelque peu discutables d'Amy Adams concernant la mise au monde de son enfant alors qu'elle sait

Le sheitan vous dites ?
Pas tant que ca. Parce que Amy Adams avec tout ces super pouvoirs elle perd un peu la boule, a l'image de cette rencontre avec le chinois qui lui raconte le moment ou Amy lui a donné les derniers mots de sa femme qu'elle semble avoir oublié. Ba oui mais Amy comment ca se fait que t'as oublié c'est toi qui lui a dit ? Pas nette celle-ci

Donc voila, mise a part que Amy Adams est une psycopathe atteinte d'Alzheimer tout va bien.
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Finalement, Arrival est un trés bon moment de cinéma, avec son lot de sensations fortes, mais aussi son lot de d'ambiguités.

ps : Ecrit au boulot sur un Azerty incompréhensible, correction plus tard.