Aux âmes aristocratiques, l'aspiration au bonheur des personnages de Mirage de la Vie pourra paraître plébéienne. D'aucuns diront que le malheur de vouloir être heureux n'est plus de mise dans le cinéma aujourd’hui. À d'autres, ce songe semblera une chimère féminine. On peut se demander si une telle œuvre, point final et paraphe de la carrière hollywoodienne de Douglas Sirk, gagnerait la faveur du public si ses personnages principaux étaient masculins. Est-ce à dire qu'il est plus... Lire la critique de Mirage de la vie