En 1960, La dolce vita libère l'imaginaire de Fellini et lui ouvre les portes de l'onirisme et de la psychanalyse. En effet, pour la toute première fois, il raconte et dépeint généreusement un monde où les certitudes s'effilochent. Fellini, sans vouloir jouer les moralistes, propose à la réflexion des interrogations auxquelles il n'apporte pas de réponse directe mais à l'égard desquelles il est difficile de ne pas réagir. La société incertaine, ces gens qui peinent à se trouver, et qui la... Lire la critique de La grande bellezza