Au début de 1973, Kurosawa n'est franchement pas au meilleur moment de sa carrière. Treize mois plus tôt, excédé par l'accueil désastreux de son pourtant génial Dodes'kaden qui l'empêche de trouver des financements à de nouveaux projets et atteint dans sa santé, le cinéaste a même décidé de mettre fin à ses jours, s'entaillant les poignets et la gorge, heureusement en vain. C'est alors de l'étranger que viendra la solution à ses problèmes, une habitude que "l'Empereur", de moins en... Lire la critique de Dersou Ouzala