Les meilleurs films de 2023 selon JéJé fait son Bagou

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"Gueules noires" de Mathieu Turi est une perle du cinéma d'horreur qui réussit à mélanger habilement différentes influences tout en préservant une identité cinématographique propre. L'horreur des années 80 revisitée à la française, empruntant une technicité imprégnée de la vieille école : un véritable régal ! Une épopée minière psychédélique et gore qui se déploie telle une vaste toile fascinante au sein de décors impressionnants, instaurant une atmosphère angoissante qui plonge le spectateur au cœur de l'horreur. Un périple obsédant qui oscille entre terreur et fascination, créant un tourbillon d'angoisse, de gore et d'action. Samuel Le Bihan au top !

La résurgence de l'épouvante à la française.

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Sound of Freedom, réalisé et coécrit par Alejandro Gómez Monteverde, est une œuvre puissante qui ne laisse pas indifférent. Le film parvient à captiver son public grâce à une réalisation soignée et à des performances d'acteurs crédibles, notamment celle de Jim Caviezel, qui incarne avec émotion le personnage de Tim Ballard. L'histoire tragique abordée par le film, celle du trafic sexuel des enfants, est présentée avec sensibilité, sans sombrer dans un sensationnalisme dérangeant. La mise en scène habile et les séquences saisissantes révèlent avec force les réalités sombres de ce fléau mondial, incitant le spectateur à une prise de conscience profonde. Le film souligne l'importance de se confronter à ces horreurs et de ne pas rester indifférent face aux souffrances des victimes. Un grand bravo à ces hommes et femmes qui se livrent à un combat terrifiant, faisant face aux horreurs du monde avec des épaules suffisamment solides pour les encaisser, une réalité que le film dépeint avec éclat.

Il est primordial de rendre justice aux enfants, aux héros de la vie réelle, et à toutes les victimes touchées par cette horrible industrie. Merci à l'équipe, qui en provoquant une réflexion profonde sur un sujet crucial de notre société contribue à une sensibilisation ô combien indispensable.

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Un véritable régal pour les fans de jeux vidéo et de l'univers de Mario. Cette adaptation cinématographique réussit à capturer l'esprit coloré, fantaisiste et plein d'aventures de la franchise emblématique en développant idéalement certains personnages pour en garder d'autres sous le coude. On développe certains éléments autour du duo de Mario et Luigi et en plus d'une manière palpitante qui mélange habilement l'action, l'humour et l'esprit bon enfant. On ne s'ennuie jamais et on est constamment surpris par les rebondissements et les clins d'œil aux jeux originaux. Petit coup de cœur autour de Kong, Browser et de la Princesse. Hâte de voir Warrio rentrer en jeu.

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Terrifier 2 écrit, produit et réalisé par Damien Leone, est une suite implacable qui dresse une mythologie nécromancienne à la nouvelle figure cinématographique emblématique du mal « Art le Clown ». Un slasher radical d'une prouesse technique saisissante autour des costumes et des maquillages qui rendent plus vraies que natures les exécutions barbares. Un train de l'horreur machiavélique qui malgré les trous de rythme et le ton décalé de la finition parviennent à rendre un film presque unique en son genre. Une sacrée pièce qui clairement va diviser.


La saga Terrifier : l'art et la manière d'une conception totalement libre entre les mains de son créateur qui peut se laisser aller à ce qu'il désire. Le vrai cinéma !

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Christopher McQuarrie livre une septième suite remarquable à la saga Mission Impossible. Ce film d'action captivant maintient un rythme effréné du début à la fin, malgré sa longue durée. La scène de course-poursuite en voiture jaune est un véritable régal, et le final sur le train nous en met plein les yeux. Ce long-métrage est un vrai festival d'action ! L'innovante menace principale, incarnée par une intelligence artificielle, apporte un vent de fraîcheur à la franchise, bien que l'antagoniste physique manque peut-être un peu de charisme. L'arrivée d'un nouveau personnage est une réussite, apportant une dynamique intéressante à l'ensemble. Tom Cruise, fidèle à lui-même, impressionne une fois de plus avec son interprétation d'Ethan Hunt, et sa performance donne un élan épatant à la licence Mission Impossible. Après avoir visionné ce volet, j'attends avec impatience la suite de cette saga captivante.

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"La Maison du Mal", réalisé par Samuel Bodin, est une petite pépite d'horreur qui sait captiver et effrayer le spectateur de bout en bout. Avec un scénario habilement construit, le film nous plonge dans un univers mystérieux où chaque élément trouve sa place pour dévoiler une horreur inattendue. Les décors soignés et la qualité du travail de caméra ajoutent une dimension supplémentaire à l'atmosphère inquiétante de la maison, qui devient elle-même un personnage fascinant. Les performances des acteurs sont saisissantes, nous faisant vivre toutes les émotions, de l'inquiétude à la terreur, contribuant ainsi à l'immersion totale dans cette histoire sombre et complexe, qui réussit à subvertir les clichés du genre tout en offrant des moments de frayeur bien orchestrés.

La combinaison d'une ambiance angoissante, de scènes cauchemardesques et de rebondissements inattendus rend "La Maison du Mal" captivant et imprévisible jusqu'à la dernière minute.

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Un véritable feu d'artifice d'action, où les scènes d'actions sont totalement dingues et explosent dans tous les sens. La réalisation est soignée et offre des séquences visuellement impressionnantes. L'action est omniprésente et ne laisse aucun répit au spectateur. Les combats sont incroyablement chorégraphiés et exécutés avec une précision remarquable. On est littéralement plongé dans un tourbillon d'adrénaline, avec des cascades époustouflantes et des fusillades à couper le souffle. Le film regorge de moments marquants qui restent gravés dans notre mémoire. Chaque scène d'action est pensée de manière inventive, offrant des surprises constantes et des rebondissements inattendus. Le duel final au pistolet, avec son clin d'œil sympathique au western, apporte une touche de nostalgie et de style. Cependant, mon attente était bien plus grande, car avec un talent comme Donnie Yen aux côtés de Keanu Reeves, j'aurais espéré une confrontation plus poussée entre ces deux acteurs d'exception.

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Une réalisation au top, un sujet ô combien intéressant, mais un récit qui sur la longueur a du mal nous tenir en haleine. Assez frustrant qu'au final on ne verra même pas l'impact des bombes nucléaires sur le Japon. Très bien, mais pas formidable.

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Tyler Rake 2 offre une dose d'action brutale et complètement dingue qui ravira les amateurs du genre. La première partie du film est tout simplement hallucinante, avec des plans séquences captivants qui nous plongent au cœur de l'action de manière immersive. Les scènes d'action sont d'une intensité rare, avec des chorégraphies soignées et des combats d'une brutalité saisissante. On est littéralement tenu en haleine devant les cascades et les fusillades qui s'enchaînent à un rythme effréné. Malgré tout, la seconde moitié du film ne parvient pas à maintenir le même niveau d'inventivité et de jouissance que la première partie. C'est regrettable, car si le film avait maintenu le même rythme et l'intensité tout au long, il aurait été proche de la perfection. Malgré cela, Tyler Rake 2 reste un gros film d'action bien bourrin qui ne déçoit pas. Chris Hemsworth est solide dans le rôle principal. La fin du film appelle clairement à une autre suite, laissant présager de nouvelles aventures explosives à venir.

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Les Gardiens de la Galaxie Vol. 3 est une agréable surprise grâce à une réalisation de qualité, une dimension humaine touchante, un humour bien écrit et une histoire parfaitement équilibrée. Ce film est un véritable kaléidoscope d'émotions, mélangeant action, larmes et rires, et misant sur des personnages attachants pour nous captiver d'une manière plus profonde que jamais, du moins à l'échelle de cette saga.

En bref, un film à ne pas manquer pour tous les amateurs de super-héros et de cinéma en général.

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Le Croque-mitaine est un film d'horreur qui parvient à captiver grâce à une utilisation intelligente de l'obscurité pour créer une atmosphère angoissante. Les scènes nocturnes sont filmées avec précision, créant un sentiment d'oppression et d'incertitude quant aux dangers qui se cachent dans l'ombre. Les jeux de lumière et les contrastes sont utilisés de manière astucieuse pour souligner l'inquiétante présence du "Croque-mitaine". Bien que le film ne réinvente pas le genre de l'horreur, il parvient à offrir des moments effrayants et parvient à illustrer l'horreur d'une manière intéressante. Dans le même genre, je lui préfère " Dans le noir ".

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La particularité de cette adaptation réside dans son approche réaliste, qui se démarque des précédentes versions plus traditionnelles. La caméra au plus près de l'épaule crée une sensation d'immersion et donne l'impression d'être au cœur de l'action. Cela apporte une dimension authentique et dynamique à l'histoire, nous permettant de vivre intensément les scènes d'aventure et de combat. Mais, malgré cette approche novatrice, on peut regretter que les personnages emblématiques des Trois Mousquetaires ne soient pas suffisamment mis en avant. Le focus est davantage porté par d'Artagnan et c'est bien dommage, car c'est poussé à un point où les 3 Mousquetaires eux-mêmes sont poussés à un gros second plan. Néanmoins, le casting reste top, et on profite allègrement de cette nouvelle version. Curieux de découvrir la suite.

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Le Manoir hanté, réalisé par Justin Simien, offre un divertissement familial plaisant et distrayant, mêlant habilement humour et horreur pour un résultat équilibré. Le scénario de Katie Dippold, bien que comportant quelques facilités, parvient à insuffler des thèmes plus sérieux, comme celui du deuil, au sein d'une histoire fantastique bien construite. Bien que le film réussisse à captiver grâce à son rythme haletant et ses péripéties divertissantes, via des personnages intéressants, il aurait pu explorer davantage certains aspects de l'univers du manoir hanté et étoffer certaines intrigues. Malgré cela, cette production parvient à procurer un agréable moment de cinéma, en renouant avec l'esprit Disney authentique, délaissant les travers idéopolitiques qui avaient pu entacher certaines de ses productions récentes, à travers un mélange réussi de frissons amusants et d'aventures ensorcelantes.

Une proposition idéale pour une soirée cinéma en famille, où petits et grands pourront se laisser envoûter par cette charmante escapade dans l'univers mystérieux du Manoir hanté.

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"Hunger Games: La Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur", réalisé par Francis Lawrence, offre une plongée convaincante dans l'univers pré-Hunger Games, explorant les racines du président Coriolanus Snow. Bien que l'action ne soit pas le point fort de l'œuvre, elle se distingue par son succès dans le développement de son environnement et des jeux, offrant une élaboration dramatique convaincante de ses personnages. L'interprétation de Tom Blyth dans le rôle de Snow est efficace, évoluant de manière remarquable au fil du récit, tandis que le casting, notamment Peter Dinklage et Viola Davis, ajoute une profondeur supplémentaire. Je sens venir plein d'autres spin off en cas de réussite, ici.

Un retour aux origines des jeux qui ne marquera peut-être pas l'histoire de la saga, mais qui, dans l'ensemble, se révèle convaincant.

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"La main", réalisé par Danny Philippou et Michael Philippou, est un film d'horreur redoutable qui mérite amplement qu'on lui laisse sa chance. Une expérience horrifique intense, effrayante et innovante, qui avait tout pour devenir un classique du genre. Cependant, malgré tous ses atouts, le film souffre pour son manque d'une véritable explosion de peur et de folie, qui aurait pu élever l'intensité de l'horreur à un niveau encore plus effrayant. Malgré cela, le film réussit à créer une ambiance inquiétante qui hante longtemps après l'avoir visionné, faisant de lui une expérience d'horreur recommandée pour les amateurs du genre.

Prenez garde, une fois que la main démoniaque vous aura agrippé, vous serez pris au piège de son emprise maléfique, sans aucune échappatoire possible.

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Evil Dead Rise est un film d'horreur gore qui offre une véritable orgie de mises à mort trash et sanglantes, faisant le bonheur des amateurs du genre. Cependant, il faut admettre que le lien avec la licence Evil Dead est ténu, voire presque inexistant. On se retrouve donc devant un bon film d'horreur gore, mais qui ne rend pas justice à l'esprit et à l'essence d'Evil Dead.

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Renfield réalisé par Chris McKay est un cocktail détonant d'humour sanglant et de folie débridée. Un film divertissant, avec un mélange réussi d'humour, de dérision et de violence intense où on ne s'ennuie pas une seconde. Un spectacle distractif qu'on a déjà pu voir autre part mais qui à l'originalité de proposer un Dracula réjouissant grâce à Nicolas Cage qui nous régale de sa prestation démente. Son énergie et son excentricité captivent apportent une dimension unique qui fait mouche auprès du personnage de Renfield.

Ce n'est pas incroyable mais assurément divertissant.

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Transformers: Rise of the Beasts réalisé par Steven Caple Jr. offre une suite divertissante et captivante à la saga des Transformers, et plus particulièrement au reboot Bumblebee. Malgré quelques maladresses, notamment dans sa tentative d'inclusivité forcée, heureusement contrebalancée par des moments d'excellence qui mettent fin à l'exclusion, le film parvient à maintenir l'attention du spectateur grâce à son récit entraînant, ses effets spéciaux convaincants et l'introduction de nombreux nouveaux Transformers, tous excellents.

En tant que fan des Transformers, ce nouvel opus offre une expérience globalement satisfaisante, même s'il n'atteint pas toutes les attentes que j'avais placées en lui.

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Enfin, Ben Affleck fait son retour à la réalisation ! Il est par contre dommage que ce retour soit marqué par une publicité évidente pour Nike, une marque qui n'a pas besoin d'une telle exposition. De plus, il est surprenant de constater à quel point le principal protagoniste, Michael Jordan, est relégué au second plan, voire complètement mis de côté. Malgré ces éléments, le film reste une proposition intéressante, même s'il dégage clairement une odeur de publicité, et on peut légitimement se demander si tout s'est réellement déroulé comme présenté ici. Néanmoins, la perspective d'explorer une institution aussi emblématique que celle-ci demeure tout de même captivante.

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L'Exorciste du Vatican réalisé par Julius Avery, malgré un scénario cliché et caricatural qui ne parvient pas à renouveler le genre de l'exorcisme, réussit à offrir une seconde partie passionnante grâce à une mise en scène audacieuse et une esthétique soignée qui mise tout sur l'affrontement épique entre le démon Asmodée et le père Gabriele. Bien que ce soit simpliste, idiot et caricatural au maximum, cela procure une grande satisfaction et est très stimulant.

Je serais favorable à la réalisation de plusieurs suites qui exploreraient les confrontations avec les autres démons qui gardent les portes menant aux enfers.

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"Gangsters par alliance", réalisé par Tyler Spindel, est un mélange divertissant d'humour et d'action. Malgré des blagues inégales et un Adam Devine insupportable, la présence charismatique de Pierce Brosnan et les scènes d'action palpitantes en font une expérience cinématographique divertissante, avant tout adressée pour les amateurs du genre.

Malgré pas mal de défauts, le film parvient à divertir efficacement et offre un agréable moment de détente.

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Mayday incarne parfaitement le style typique de Gerard Butler : un film d'action divertissant, certes banal, mais qui parvient tout de même à offrir un moment agréable. Il sera peut-être vite oublié dans quelques semaines, mais il remplit au moins son objectif principal : nous divertir. Simple et inconséquent, mais au moins le spectacle suit un minimum.

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Un film d'action nerveux bien sympa avec un Jake Gyllenhaal plutôt bon et un Dar Salim charismatique. C'est un petit intéressant mais de la part d'un cinéaste de la qualité de Guy Ritchie, j'en espérais plus.

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Quel désordre numérique atroce ! Visuellement, je n'ai jamais vu une telle atrocité. Cela brûle les yeux, littéralement. C'est vraiment dommage car ce film regorge d'éléments positifs, en commençant par le personnage de Flash, qui est très intéressant et exploité de manière astucieuse à travers ses différentes versions et facettes. Michael Keaton est formidable, et je suis agréablement surpris de le retrouver dans ce rôle. Heureusement qu'il est là. Ben Affleck fait une fois de plus sensation avec sa version massive et brutale de Batman, que j'aurais adoré voir dans un film solo. Pour le reste... c'est compliqué, très compliqué. Supergirl est vite oubliable et semble presque inutile, et on ne fait pas grand-chose avec Zod et son groupe. C'est vraiment dommage car il y a énormément de potentiel, et les scènes d'action sont grandioses, et l'humour est efficace. Mais au final, on se contente surtout d'enchaîner des références sans aucune nuance, dont je n'ai pas compris l'utilité pour la plupart. Quoi qu'il en soit, cela reste divertissant. C'est déjà un miracle, je suppose. Heureusement que cet univers en finira bientôt, et que nous passerons à autre chose !
Au moins, j'ai ma trilogie de Snyder !

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Avec "Winnie l'Ourson : Du sang et du miel", on découvre une tentative audacieuse de revisiter l'univers bien connu de Winnie l'ourson d'une manière horrifique et originale. Malgré un budget limité et des contraintes de tournage, le film parvient à captiver grâce à son rythme haletant et à certaines idées intrigantes. Cependant, des aspects tels que le surjeu dans le casting, les meurtres sans grandes originalités et les masques utilisés pour Winnie et Porcinet peuvent décevoir. Malgré ces défauts, le film offre des moments surprenants et inattendus, notamment dans son final, qui laisse présager une suite prometteuse. Un spectacle offrant à la fois des éléments intéressants et des imperfections. Ce qu'il faut surtout retenir, c'est que le succès inattendu de cette proposition pourrait marquer le début d'une aventure plus ambitieuse, où les ressources financières et le temps seront mieux investis. Hâte de découvrir cela.

La relecture de ce classique de l'enfance dévoile un univers sombre et dérangeant, ouvrant ainsi la voie à de nouvelles possibilités narratives qu'il va falloir concrétiser. Un diamant brut qui ne demande qu'à être taillé.

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Le film n'est pas aussi terrible qu'on le dit, avec des éléments du film animé retrouvés. Ce n'était pas un moment extraordinaire, mais plutôt un petit moment tranquille qui sera rapidement oublié. Halle Bailey est charmante et agréable, mais ne correspond pas vraiment au personnage d'Arielle. Arielle est censée déborder d'énergie, mais je l'ai trouvée plutôt sage, ce qui est dommage. La différence de couleur de cheveux par rapport au dessin animé reste incompréhensible. En revanche, j'ai beaucoup aimé Ursula. Instant satirique bien mérité : j'ai trouvé ça drôle que, au nom d'une prétendue ouverture sur le monde libre et la lutte contre les oppresseurs, on change la couleur de peau de certains personnages (apparemment, c'est considéré comme extrêmement important), alors que d'un autre côté, on nous présente Roi Triton, le père d'Arielle, comme un polygame avec des filles de différentes ethnies. Ah, il n'y a rien à dire, vive le monde sans oppresseurs. J'avoue avoir ri à ce moment-là. Mais en dehors de cela, je ne cracherai pas sur le film. C'est un petit moment qui ne laissera pas de trace, mais qui se laisse regarder.