Barry
7.4
Barry

Série HBO (2018)

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saisons 1 à 3

Rien à faire, Barry Berkman ne parvient pas à trouver le bonheur. Pourtant, qu’ils étaient grands les espoirs nés du jour où, par mégarde, il s’était trouvé parachuté sur les planches d’une scène de théâtre amateur et de son metteur en scène passionné, Gene Cousineau ! L’idée de changer de voie professionnelle s’était imposée à lui comme une évidence. Elle devenait un espoir d’ouverture à l’autre et d’extériorisation de ses sentiments. Malheureusement, toutes les reconversions ne se font pas en un claquement de doigts. Surtout quand on a été Marine et que l’on souffre de syndrome post-traumatique ; que l’on gagne sa vie en tant que tueur à gage sans que cela n’induise de sentiment de culpabilité ; que l’on est incapable d’éprouver la moindre empathie pour ses victimes... Mais de tout cela, Barry ne veut plus… Car en plus de réactiver des souvenirs qui ne l’aident pas à surmonter ses troubles, tuer à tours de bras des inconnus peut s’avérer lassant. Il faudra toutefois qu’il échoue à honorer un des contrats que son « ami » Fuches lui avait déniché près de Los Angeles pour que celui-ci envisage enfin de laisser cette vie de violence derrière lui. Certes, il apprécie le confort de sa chambre dans laquelle il aime passer son temps libre. Elle le protège d’un monde dont les codes relationnels lui échappent désormais. Mais ce faisant, Barry ne cesse de bâtir sa propre prison. Et comme tout art, le théâtre, c’est l’évasion. Cependant, rompre le contrat moral de son association avec Fuches s’annonce délicat. D’autant plus qu’en omettant de tuer l’amant de la femme d’un chef de gang tchétchène, le voilà maintenant avec la mafia sur le dos…

Inutile d’y aller par quatre chemins : les deux premières saisons de la série réalisée et interprétée par Bill Hader, un ancien du Saturday Night Live, étaient absolument formidables d’inventivité. Et la troisième n’échappe pas à la règle. En dehors d’un scénario qui n’a jusqu’à présent dévoilé aucune faille, la force principale de cette série tient essentiellement aux multiples tonalités qui la composent. En effet, s’il ne suffit pas de mélanger des ingrédients raffinés pour élaborer un mets délicieux, il est indéniable que la complémentarité de ses composants et la minutie de leur dosage ont fait de « Barry » une œuvre inclassable et jubilatoire.

Premier élément : la violence. Barry n’est clairement pas un saint et son professionnalisme est en revanche exemplaire. De plus, les énergumènes auxquels il se confronte ont eux aussi la gâchette facile. Pour contrebalancer ce qui aurait pu n’être qu’une banale histoire de gros bras et de règlements de compte, Hader incorpore dans son récit un humour à la hauteur du pouvoir comique de son meilleur représentant : Hono Hank. Imaginez en effet un chef de gang tchétchène apprêté, excentrique, frimeur, bavard, douillet, trouillard et éperdument amoureux de Cristobal, le chef du clan colombien ennemi avec qui il vit une idylle aussi tendre que désopilante, et vous obtiendrez une idée assez précise de ce que ce personnage atypique vous fera vivre. Grâce à lui, vous saurez quelle application utiliser si vous projetez de faire exploser une bombe à distance. Pratique non ? Sauf si celle-ci connaît des défaillances. Là, il faudra contacter le service clients... Cependant, si Hono incarne magnifiquement la drôlerie décalée dont la série tient à se doter, il n’en est pas le seul dépositaire et dans ce registre, la roublardise couarde de Fuches fait elle aussi des ravages !

A ce stade, on peut arguer que des productions alliant violence et humour sont légions et que l’emploi de cette combinaison semble insuffisant pour crier au génie. Oui, mais « Barry », c’est également une mise en scène aux petits oignons. Il faut dire que la diversité des ambiances et des situations favorise l’utilisation de nombreux codes cinématographiques. Hader use de plans larges lorsque les grands espaces s’avèrent idéals pour abattre un quidam en toute impunité ; il resserre outrageusement son cadrage afin de traquer la détresse dans les yeux de celui qui cherche à savoir si on l’aime… De même, il suffit d’une course poursuite en moto sur l’autoroute pour s’assurer qu’il maîtrise efficacement la manière de filmer des scènes d’action. Il se permet même d’y apposer sa signature en incorporant un élément sonore désopilant sans lequel « Barry » ne serait pas tout à fait « Barry ». Enfin, là où Hader se surpasse, c’est lorsqu’il s’agit de mettre en scène des situations burlesques en superposant plusieurs événements indépendants dans un espace défini par le cadre immobile de la caméra. Ainsi, au premier plan, une femme annonce à son amoureuse incrédule qu’elle la quitte parce qu’elle a trop de chiens tandis qu’en arrière plan, Gene Cousineau, apparemment paniqué, traverse l’écran à toutes enjambées. La conversation se poursuit ensuite avec le plus grand sérieux pendant que déboule soudainement une procession ininterrompue et grotesque de chiens de toutes tailles, visiblement désireux de faire la connaissance du fuyard. Ça pourrait être du Chaplin. C’est du Bill Hader. Quant à l’épisode « Ronny/Lily », autant ne rien en dire et laisser le spectateur découvrir par lui-même cet immense moment de parenthèse « tarantinesque », condensé explosif du talent de réalisateur de son auteur et de la folie narrative qui l’anime.


Vous l’avez donc compris, Barry est une série aussi drôle que violente. Mais elle se paie en plus le luxe de nous offrir une description corrosive du monde du spectacle. Et c’est l’esprit communautaire et nombriliste du milieu théâtral qui aura la primeur en la personne de Gene Cousineau (formidable Henry Winckler!). Certes, cet énergumène ne représente qu’un simple échantillon de ce que peut être un professeur d’art dramatique, mais il n’en est pas moins un représentant tout à fait plausible. Tombé en disgrâce au sein même de son institution en raison d’un caractère épouvantable, cet ancien acteur aime asséner ses diatribes quasi-mystiques à des étudiants prêts à boire ses paroles comme le feraient des fidèles devant leur messie. Et à l’écouter ainsi, difficile de déterminer si on a affaire à un escroc, à un gourou ou à un formidable metteur en scène. Sans doute un peu de tout cela… Non seulement il plume sans vergogne des élèves aveuglés par les lumières prometteuses d’Hollywood mais il adopte aussi à leur égard une attitude souvent odieuse, n’hésitant pas à les pousser à bout dans le but de leur soutirer la quintessence d’émotions profondément enfouies. Quitte à les violenter psychologiquement. Indéniablement, cela sent le vécu car Hader n’a pas pu inventer de telles situations sans les avoir un minimum connues lui-même. Au final, en immergeant le spectateur au cœur de ces séances de « travail » truffées de dialogues magnifiquement écrits, Hader nous interpelle sur la nature même du métier de comédien. Au travers de ce prisme réflexif, ces séquences nous apparaissent alors aussi passionnantes que cruelles, grotesques et drôles !

Puis, par l’intermédiaire de Sally (la femme dont Barry est amoureux), c’est le merveilleux monde de la télé qui est passé au crible. Et c’est peu dire que le traitement que Hader lui réserve n’est pas empreint de la même indulgence (car malgré tout, il transparaît une forme de bienveillance pour ce que Gene Cousineau représente). Animé d’une ambiance apparemment « cool » et ouverte d’esprit, celui-ci se révèle peuplé d’une faune qui ne jure que par l’argent et le buzz. Tous les coups sont permis et il semble monnaie courante de passer en quelques tweets du statut de star potentielle à celui d’éternel(le) anonyme. Ce regard plus que caustique sur l’industrie cinématographique fait écho à la magnifique « Bojack Horseman » qui ne cessait d’en dénoncer ses travers.

Sur ce plan, il est étonnant de constater qu’il existe de nombreuses accointances entre ces deux chefs-d’œuvre, à commencer par certaines caractéristiques de leur anti-héros. En effet, de la même manière que Bojack luttait contre ses démons pour attirer à lui l’amour des autres, Barry ne cherche pas autre chose que de devenir quelqu’un de bien. Il serait prêt à tuer pour cela. De fait, son besoin obsessionnel d’obtenir le pardon de ceux qu’il entraîne dans son sillage mortel ressemble à s’y méprendre à celui qu’éprouvait Bojack. Ils ont ainsi en commun de procurer chez le spectateur une empathie que leurs actes, pour le moins répréhensibles, devraient normalement réprimer. On se prend malgré tout à aimer Barry, mais sa détresse émeut autant qu’elle effraie. Des émotions que Gene et Sally ont l’habitude de ressentir à son contact et qui sont loin de nous laisser indifférent(e)s. De fait, on en vient à espérer que cet homme en quête d’amour et de rédemption ne suive pas le même chemin que celui du célèbre canasson névrosé. Mais à porter quotidiennement les fardeaux que la vie leur a injustement attribués, existe-t-il possiblement d’autres voies que celles de l’éternelle solitude ?

Disponible sur OCS

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Saison 4


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Une nouvelle vie ? Vraiment ?


Regarder « Barry », c’est se confronter à une œuvre inclassable où humour et violence se côtoient avec une maestria exquise. On nous y raconte la volonté farouche d’un homme de s’extirper de sa condition de tueur à gage pour entrer dans le monde de l’art (le théâtre plus précisément) par l’intermédiaire de Gene Cousineau, un professeur tyrannique et prétentieux mais d’une certaine manière, assez brillant. Il pousse en tout cas l’apprenti acteur à chercher au fond de lui des émotions dont il se pense dépourvu. Cette ouverture sur le monde, Barry s’y accroche alors que son passé continue de le poursuivre inlassablement, contrariant ses projets de vie nouvelle. Entre son ancien ami Fuches qui ne le laisse pas en paix et la mafia tchétchène qui le sollicite continuellement, il navigue entre le crime et une vie plus paisible auprès de ses nouveaux amis artistes parmi lesquelles figure la belle Sally. Sally, il l’aime. Et ce sentiment, il veut en exploiter tout le potentiel. Alors il se donne les moyens de le vivre pleinement. Mais malgré tous ses efforts, le monde de violence qu’il ne cesse de fréquenter contre son gré empiète progressivement sur celui dans lequel il place désormais ses espoirs. Et à force de s’accrocher, il finit par nuire à ceux dont il souhaite le meilleur, se rendant coupable d’actes monstrueux dont il cherche maladroitement à s’amender.


Que c’était bien !


Pas de quoi rire à priori. Mais derrière l’aspect tragique de ce synopsis se cachait un humour noir dévastateur porté par des personnages à la loufoquerie particulièrement communicative. Qu’il s’agisse de Fuches, l’ « ami » de toujours ou de Hono-Hank, le chef du clan tchétchène, la plupart permettait à la série de se distinguer des traditionnelles épopées meurtrières généralement pourvues de règlements de compte sanglants et d’une histoire d’amour contrariée. De plus, Hader usait de malice en empruntant les codes des différents genres auxquels il se référait. Que chacune de ses tentatives d’appropriation soit couronnée de succès relevait déjà d’un savoir-faire hors-norme. Mais là où cet ancien du Saturday night live a su faire preuve de génie, c’est dans la manière qu’il a eu de mélanger allègrement tous ces éléments pour insuffler à « Barry » une tonalité unique. Car une course poursuite ou une scène burlesque qui font mouche, c’est déjà bien. Mais quoi de plus jouissif qu’une course poursuite pimentée de burlesque ? Alléchant sur le papier mais terriblement risqué car aussi bonnes soient ces intentions, l’équilibre à trouver entre les ingrédients utilisés n’est pas chose aisée et il aurait suffi d’un rien pour que le récit pâtisse de ces successifs excès de zèle. Or, il se trouve que l’ensemble était réalisé avec une telle minutie, un tel souci du détail, que Barry brillait par son excellence. Elle en profitait même par nous dresser un tableau du monde théâtral et télévisuel aussi plausible que corrosif. Bref, que ce soit d’un point de vue formel et esthétique ou qu’elle se veuille plus réflexive, « Barry » était dotée d’un nombre considérable d’atouts qui la rendait particulièrement addictive.


Aimera ou aimera pas ?


Cela dit, derrière la farce, on ne peut nier que le récit n’a cessé de s’assombrir et, à l’orée de cette ultime saison, la plupart des protagonistes de cette histoire sont confrontés au même dilemme que celui qui taraude le spectateur : faut-il bannir Barry ou lui accorder un pardon dont il ne se sent pas digne ? Posée en ces termes, apporter une réponse définitive à cette question s’avère délicat. En effet, quoi qu’il ait fait, on ressent toujours de la compassion pour cet homme déboussolé qui cherche désespérément l’amour dans les yeux de ses proches mais se trompe dans la manière de l’attiser. Il n’est pas simple de détester quelqu’un que l’on a aimé pour de bonnes raisons. Et c’est cette constante ambiguïté des ressentis qui va influer sur le parcours de ceux qui ont croisé son chemin. De fait, jusqu’au bout, on ne parvient pas à anticiper leurs choix et au travers de cette incertitude, le plaisir que l’on a à suivre leurs multiples péripéties se trouve indéniablement décuplé.

Un épisode parmi tant d’autres


Finalement, s’il y en a un qui sait exactement où il va, c’est Bill Hader. Lui continue son travail d’orfèvrerie sans se préoccuper outre mesure des considérations existentielles de ses personnages. Le temps d’un épisode dont il prend seul la direction, il enchaîne les séquences magistrales. Le discours hilarant auquel se livre Fuches devant un auditoire carcéral circonspect ou la retranscription théâtrale des événements passés par un Cousineau obséquieusement imbu de lui-même nous donnent une idée de la qualité d’écriture de la série et de celle de ses interprètes. Qu’Hono Hank et Cristobal expliquent à des mafieux patibulaires (mais qui aiment les peluches Pikachu) la teneur de leur nouveau projet en un ballet étourdissant et on s’ébahit de la virtuosité de sa réalisation. Et quand Sally veut savoir ce qu’il est advenu de son chien, l’échange poignant qu’elle entretient avec Barry fait la part belle à la sincérité mais aussi à l’ambivalence des émotions qui les traversent sans pour autant verser dans la surenchère larmoyante. L’onirisme frappe même à la porte lorsque des mariés et leurs convives courent vers nous dans l’immensité plane du désert pour pénétrer dans une salle des fêtes où nos deux amoureux vieillissants dansent tendrement. Ici on pense à du Kusturica, là à du Tarantino… Mais cela reste clairement du Bill Hader.

8 ans plus tard...


Mais alors qu’on se satisfaisait grandement de la direction prise par cette histoire, une nette cassure temporelle intervient en plein milieu de saison, rebattant des cartes avec lesquelles on avait plaisir à jouer. Mais une nouvelle fois, on peut faire confiance à Hader pour nous envoyer dans une direction palpitante et bien pensée. Quoi qu’il en soit, nous voilà désormais plongés dans un environnement aride où seul le vent semble avoir élu domicile. Rien alentour si ce n’est les vestiges d’une vie passée qui continue de hanter les résidents d’une modeste demeure perdue au milieu d’une terre brûlée par les éléments. Dès lors, à l’instar du lieu qu’ils occupent, l’ambiance se fait plus âpre ; même l’humour décalé s’est définitivement perdu dans cette immensité désertique. Les images, elles, restent magnifiques… Hader aime les grands espaces et se plaît à les filmer. Quant à Sally, Barry, Hono Hank, Fuches, Cousineau… eux-aussi, ont bien changé, tous ayant tracé leur chemin en fonction de ce que la vie leur proposait et de l’état psychologique dans lequel on les avait laissés. Pour le spectateur, c’est un peu déconcertant mais à bien y réfléchir, on a vite fait d’acquiescer au destin que leur créateur a élaboré pour eux. Surtout que tout doucement, les circonstances vont les réunir afin de clore définitivement le chapitre de leurs relations passées. Ce qu’Hader va s’employer à faire avec le brio dont il a toujours fait preuve.

Un regard toujours acerbe


Si narrativement, la série est une franche réussite, une saison de "Barry" sans réflexion sur le monde du spectacle ne serait pas vraiment une saison de "Barry". Avant de s’exécuter, Hader avait déjà pris soin d’égratigner la religion en précisant que celle-ci légitimait le meurtre dans de multiples circonstances. Un avis radical qui pourrait faire grincer des dents s’il n’était magistralement inclus dans le récit et qu’il s’inscrivait dans le processus d’action d’un des personnages. Puis vient enfin la charge tant attendue. Et cette fois-ci, elle est adressée contre les « true crime », coupables selon lui d’établir sans scrupules de fausses vérités en plus de ne pas respecter les victimes (ou les coupables) quand celles-ci tiennent à ce que leur vie ne soit pas exposée publiquement. Cet élément de réflexion constitue même le cœur du dénouement de « Barry ». Mais une nouvelle fois, en intégrant cette accusation peu dissimulée au sein même de son intrigue, Hader la rend vivante et stimulante, quel que soit l’avis que l’on porte sur le sujet.

Que c’est bien !


Au final, il ne serait pas exagéré de dire que « Barry » est une série parfaite tant le nombre d’adjectifs qui lui sont associés sont légions : originale, drôle, violente, innovante, intelligente… sans oublier que sa réalisation et son écriture sont particulièrement ciselées et qu’elle se permet de s’exprimer sur le milieu qu’elle met en scène. De fait, elle est de celle que l’on pourrait prendre plaisir à visionner une seconde fois tant elle fourmille de détails scénaristiques et visuels incongrus. Histoire de rire et de frémir encore en compagnie de Barry et de ses drôles d’acolytes. Bravo M. Hader !


Disponible sur Prime Video

vosarno
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le 9 juil. 2023

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vosarno

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