Et bien non !
Ce second tome ne diffère guère du premier. On y retrouve les mêmes ingrédients : ceux propres à l'enquête même et qui font toute la saveur de cet univers, mais également le "flashback" qui représente une (pénible) rupture narrative.
Certes, le récit des aventures indiennes est cette fois directement rapporté par celui qui les a vécues, et le nombre de pages qu'elle occupe a grandement été revu à la baisse. Néanmoins, la fracture est toujours présente.
En lisant Sherlock Holmes, je m'attendais, de bout en bout, à une enquête en huis-clos dans Londres la mystérieuse. Sir Conan Doyle avait-il tant soif de voyages exotiques qu'il ne pouvait concevoir le point d'origine de ses intrigues qu'à l'autre bout du monde ?
À suivre dans le Tome 3…