Top séries diffusées en 2015

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SAISON 2 : Je n'ai pas encore posé clairement ma pensée sur la série, ça viendra. Cette saison, pendant longtemps je l'ai rapproché de la saison 2 de True Detective, dans son contraste avec la première : c'est à dire une saison moins maitrisée, qui risquait de partir n'importe où à tout moment, mais qui au final était plus touchante et émouvante. Au final, ce fut une totale réussite, malgré quelques frayeurs. Une richesse et une intensité géniale, un regard fort sur la résilience, une réussite formelle : LA série de 2015.

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SAISON 7 : Mon histoire d'amour avec Mad Men ne fut pas de tout repos, et après s'être séparé un temps après la S4, j'ai regardé les trois dernières saisons comme on regarde un premier amour. La fin de l'ultime saison clos parfaitement ce qui fut une des meilleures séries, et c'est une immense performance de finir de manière aussi juste.

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SAISON 2 : Quelle formidable surprise que cette série aux faux airs de Louie. La S2 prolonge en mieux la S1, un humour tantôt trash tantôt cynique et noir, un univers et une esthétique brillante, mais surtout une plongée émotionnelle aussi déprimante que géniale.

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SAISON 2 : Un dispositif narratif qui a su évoluer et s'adapter au récit, tout en conservant sa singularité, afin de proposer une seconde saison très riche. Même la dimension policière, point faible jusque là, est utilisé ici comme vecteur de caractérisation et d'émotion.

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SAISON 2 : Je répète : oubliez cette affiche affreuse. La S2 prolonge la déjà très bonne première saison : chaque élément (personnages, récit, intrigues, réalisation, cadre, etc) est bien, mais c'est leur combinaison qui fait la force de Kingdom et nourrit plusieurs thèmes plus touchant que ce qu'on peut supposer en ayant qu'un bref regard sur la série.

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SAISON 5 : Louis C.K. continue d'expérimenter, de jouer avec sa série, prenant des libertés réjouissantes et proposant ainsi une excellente saison 5 déprimante.

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SAISON 6 : Une saison particulière après tous les rebondissements qu'a connu la série, mais cette ultime saison parvient dans des conditions particulières (Yahoo, casting, etc) a proposé une sortie par la grande porte. Bravo et merci.

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SAISON 2 : Une saison 2 qui me fait monter à 8 : moins froide mais toujours aussi maitrisée, un développement des personnages intéressant, et un éclairage sur la médecine et la société encore meilleur que dans la première saison.

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SAISON 3 : Nettement la meilleure saison de la série, devenant une référence tant sur l'espionnage que sur la Guerre Froide.

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SAISON 2 : Très bien à tout point de vue, une vraie réussite. Une seconde saison dans la continuité de la première, touchante, drôle, et avec une liberté rafraichissante, tant dans les propos que dans la narration.

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10bis : SAISON 1 : La France aussi sait faire de bonnes séries, la preuve avec celle-ci, passionnante, avec un rôle parfait pour Kassovitz. Vivement la suite.

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Si David Simon avait déjà créé une mini-série avec Generation Kill, celle-ci était d'une envergure plus restreinte que ses précédentes séries. Là, on retrouve l'échelle d'une ville, la masse urbaine et politique. Et David Simon s'en sort, ajuste sa méthode, et livre une série admirable en tout point.

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SAISON 1 : Un spin-off risqué, mais un spin-off réussit. Vince Gilligan a sublimé ce personnage en lui conférant une profondeur, et en se servant de lui pour instaurer un ton singulier et efficace pour sa série.