Les films PROBLÉMATIQUES

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La force du patriarcat incarnée par la paluche droite de Lino. Un aller-retour dans la visage poupon de l'Adjani même pas rancunière... Problématique.

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Black face la plus célèbre de l'histoire du cinéma. Quand les indigénistes vont découvrir la problématique filmo de Peter Sellers, ça va faire du sale chez Télérama. Au delà de ça, comédie faiblarde qui explose en vol, Blake Edwards faisant n'importe comme souvent (cf le truc avec James Coburn dans un village sicilien).

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Raciste, sexiste, antisémite, homophobe, le film de Tarantino est aussi complet qu'un milieu de terrain du Bayern de Munich. Il est également très drôle et captivant. Particulièrement problématique donc.

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Un Marielle à la colle avec une bouchère nymphomane qui utilise des métaphores salées pour vanter les charmes de sa blonde "je suis devenu une bite, je la cartonne à longueur de journée". Le porc ultime ? Oui. OUI !

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On est évidemment devant un cas de grossophobie ordinaire. Faut toujours préciser "ordinaire" quand on dénonce un comportement problématique. Luis Rego se tape des top modèles aux Bains douches, et Balasko se prend un high kick par Lavanant. Le second rôle le plus drôle de la vie de Lhermitte en vegan pacifiste qui a des miettes de pain dans la barbe ("le poisson c'est comme la viande... c'est du cadavre")

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Ah les femmes n'ont pas le beau rôle dans ce film : narcissiques, manipulatrices, névrosées, ambitieuses, cruches (y a Marilyn) ou diaboliques. Film magnifique, mais problématique pour une Caroline de Haas qui s'attarderait un peu devant.

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Autant le dire de suite, la filmo entière de Séria va y passer. Rien que pour la réplique de Marielle à Andréa Ferréol, une main sur le sein "Tu sens la pisse toi, pas l'eau bénite". À t'on déjà déclamé quelque chose de plus beau à une femme au cinéma ? Oui certainement.
"Ton cul c'est mon génie" chosification du corps féminin très problématique.

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Le jeune en fauteuil roulant est le premier à se faire empaler sur un croc de boucher. Hasard ? Film validiste ? anti jeune ? Problématique à bien des égards.

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Peckinpah a un sérieux problème avec les femmes. Et c'est pas une question d'égalité salariale entre les personnages. Un psychopathe problématique.

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Et le racisme anti blanc me direz vous ? Le voici. Les blancs en méchants de film, symbolique grossière de la couleur (la voiture blanche, le verre de lait, la chemise blanche...). Que fait Jf Copé ?

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Le petit gros est surnommé Choco. Grossophobie ordinaire. Et puis l'asiatique parle avec un accent, ce qui est raciste depuis que Télérama l'a décrété au sujet d'un personnage de Downsizing.

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Grossophobie : pourquoi c'est toujours le p'tit gros qu'on maltraite ?
Homophobie : une sodomie qui coûtera chère à un aimable chasseur.
Misogynie : où sont les femmes ?! Genre elles sont pas capables de faire du canoë ?
Validisme : on s'est tous moqués du joueur de banjo.

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On oblige Harry Callahan à faire équipe avec ... une femme (?). Coup dur compréhensible, il n'a plus le droit aux blagues de cul en salle de pause et se voit dans l'obligation de pisser assis. Même les assassins le plaignent. Un film visionnaire ?

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Problématique de par son contenu, on peut se demander comment ont-ils osé heurter une communauté de personnes au goût différent qui vivent paisiblement parmi nous et qui cherchent une reconnaissance. Ces personnes sont les fans du film Tootsie, donc la prestation de Williams est un plagiat évident.

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Film désormais raciste (la scène du facteur vaut celle des gaugaugaugaulois dans Asterix), sans compter le mépris de classe à l'égard de Ginette la SDF. La préciosité de Jacquart confine par ailleurs à l'homophobie de base.

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Woody fait des blagues spécistes sur les relations sexuelles avec un mouton, ce qui est doublement offensant (zoophiles et les musulmans), amalgames homosexuels / travestis, segment sur les femmes frigides. Film qui sera jugé sévèrement par un millenial viscéralement attaché à la question du respect de la liberté sexuelle.

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Un film raconte comment une politique réactionnaire confrontée à un communautarisme carabiné entraîne les USA dans une guerre de sécession prévisible. Une partie de l'intrigue sera naturellement jugée xénophobe.

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Film validiste : le héros tente d'assouvir sa vengeance nonobstant sa condition médicale préoccupante. Souffrant d'amnésie constante, il se tatoue des messages pour l'aider à retrouver l'assassin de sa femme. Le message du film est clair : si vous êtes amnésique, vous ne pouvez pas vous venger correctement. Dire à un handicapé qu'il ne peut pas, c'est problématique.

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Film d'action SF avec Sylvester, mais surtout critique acerbe d'une société moderne, et humaniste, policée à l'extrême qui tourne le dos au papier pour opter pour 3 coquillages écologiques. Stallone = Charles Péguy.

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"Un veilleur de nuit noir, exprès pour qu'on ne le voit pas".

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Les filles des pays de l'est sont des appâts sexuels pour des salauds de riches. Misogynie raciste et populisme. Elie Roth fait fort.

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Le personnage d'Adam Sandler contribue à rendre antisémite. Problématique.

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Deux marlous entreprennent de baiser tout ce qui bouge durant une virée mémorable. On déplore de nombreux actes sexuels non franchement consentis par les intéressées (Miou miou, Brigitte Fossey et même Dewaere). Quelle bite problématique ce gégé...

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Belmondo mythomane, souffrant d'un syndrome de don juanisme gagne sa croûte en escroquant des pays africains qu'il feint d'armer. Contenu absolument toxique.

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Le personnage d'Eli Wallach symbolise le patriarche sicilien. En brimant sa sublime sœur qui rêve de tomber dans les bras de David Niven. Un bien triste exemple pour la jeunesse des années 60.

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Fixeur, stalkeur, pointe, eye rape, le personnage de Denner fortement inspiré par Truffaut lui-même, devrait hérisser le poil des féministes. Un dragueur de rue obsédé par le sexe qui fuit les relations durables. Un jour Slate, ou les Inrocks renieront ce film pour expliquer combien il est problématique. On prend les paris ?

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Comme le Woody Allen, les films à sketch sur le sexe devraient bientôt être bannis pour de bon. Surtout le segment Gilda, forcément transphobe. Le sketch gérontophile devrait mobiliser les anti-agistes (G. De la Gasnerie).

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Une naziphobie ordinaire se dégage du film

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Des étudiants démocrates réinventent la peine de mort, en statuant sur des cas entre le fromage et le dessert. Les tomates de jardin n'ont jamais été aussi problématiques.

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César en folle tordue obsédée par les petit gros. On vous explique pourquoi c'est homo-grossophobe.