Journal de visionnage : 2017 (+ Avis)

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30/12 (vu au cinéma)

Bonne surprise, j'avais peur que le film fasse l'apologie de la corrida, mais c'est tout l'inverse, globalement c'est assez mignon, montre un bon message pacifiste en n'ayant pas peur de montrer des images assez sinistres, mais pas gratuites, l'humour marche plutôt bien. Pas un chef d'oeuvre, mais un film plutôt sympathique avec un bon message, le genre de film parfait pour les gosses, et pas trop chiant pour les adultes.

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30/12 (vu au cinéma)

Comment avec Kenneth Branagh à la réalisation et un casting 5 étoiles ce film peut-il être aussi oubliable ? C'est globalement bien filmé, à part quand Branagh décide d'inclure une course poursuite filmée par un papy atteint de Parkinson, ou quand il décide de filmer une avalanche avec des effets spéciaux digne des téléfilms du samedi aprem sur TF1, sans oublier son pétage de cable quand il décide de faire référence à la Cène (12 bogosses qui bouffent avec Jésus). La plupart des personnages sont assez oubliables car ils n'ont pas le temps d'être développés, du coup à part Branagh et Daisy Ridley, je suis resté sur ma faim, à la limite Willem Dafoe a le droit à une scène où il peut faire du pur Willem Dafoe, ce qui est jouissif, mais le reste est sous-utilisé. Johnny Depp est presque correct dans ce film, ce qui est à souligner, malheureusement on ne le voit pas se faire buter, ce qui est sans aucun doute la plus grosse déception du film. De plus on a aucun sens de progression de l'enquête, Poirot balance ses conclusions d'un coup, ça sort quasiment de nulle part, ce qui plombe la fin.

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28/12 (vu au cinéma)

Petite déception, je n'attendais pas grand chose du film, mais avec Chabat à la réal je m'attendais au moins à quelque chose de drôle, surtout avec Pio Marmai et les deux mecs du Palmashow dans le film. Au final on a quelques scènes assez drôles, mais le film nous balance un message niais sur la magie de Noël, avec comme quasi seule source d'humour des jeux de mots sur l'univers de Noël. Un bon film à passer le samedi aprem sur M6 pendant les vacances de Noël, pas plus.

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28/12 (vu au cinéma)

De belles images et un Willem Dafoe qui sauve le film à chaque fois qu'il apparaît (la scène avec le pédo est magique), mais le reste bordel, que c'est vide. Tous les personnages, à l'exception de celui de Dafoe, sont agaçants comme c'est pas permis, j'avais envie de baffer ces putains de gosses, une pub pour la contraception ce film, cela dit chez les adultes c'est pareil. Ça aurait pu passer si le film se déroulait du point de vue de Dafoe, mais il est vraiment secondaire dans cette histoire, on suit les gosses et la mère, des personnages qui n'ont absolument rien d'attachant et qui mériteraient tous de se faire claquer à n'en pas finir. De belles images ne font pas un bon film.

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28/12 (vu au cinéma)

Le recasting de dernière minute pour remplacer le pedo de service est sans doute le meilleur recasting depuis Retour vers le futur. Le maquillage immonde de Kevin Spacey dans le premier trailer m'avait filé la gerbe, donc avant même qu'on découvre les passe temps du monsieur, j'avais un gros problème avec sa présence dans le film. Mais Christopher Plummer est juste incroyable, déjà il a pas besoin de maquillage pour avoir l'air vieux, puis son charisme est tel qu'il vole chacune des scènes dans lesquelles il apparaît. Son personnage est fascinant et écoeurant à la fois, et si son aura s'étend sur l'ensemble du film, il a beaucoup plus de temps d'écran que ce qu'on aurait pu penser en apprenant que les scènes du personnage seraient toutes retournées en quelques jours. A ce niveau là il faut aussi féliciter Ridley Scott, qui prouve une fois de plus qu'il n'a rien perdu de son talent de metteur en scène, si on n'avait pas su pour Kevin Spacey, jamais on aurait pu croire que toutes ses scènes avaient été retournées et remontées il y a un mois, que ce soit au niveau de la photographie ou des autres acteurs, rien ne laisse penser une telle précipitation. Michelle Williams est elle aussi excellente dans ce film, et Romain Duris très intéressant. Le seul problème, c'est que le film a quelques longueurs injustifiées, notamment lors de la dernière partie, mais pas de quoi me faire chier.

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25/12 (revisionnage)

Toujours aussi bon, les personnages, les situations, la nostalgies ambiante, la direction de Bob Clark, le film ultime de Noël pour passer un bon moment.

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25/12 (revisionnage)

Voir critique.

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13/12 (vu au cinéma)

Je suis absolument incapable de donner une note au film pour l'instant, car je ne suis même pas sûr d'avoir aimé dans sa totalité ce que je viens de voir, c'est tellement différent du reste de la saga et tellement couillu qu'il va me falloir plusieurs jours et quelques revisionnages pour que je sois au point sur mon opinion. J'ai largement préféré le 7, mais il faut avouer que ce dernier était plus "simple". Le film est superbement réalisé, Johnson impose sa patte et nous crée des environnements nouveaux et très beaux, l'humour est très réussi la plupart du temps (la plupart du temps car je trouve que certains moments drôles sont assez malvenus). Les personnages sont au centre du film et c'est un plaisir de les retrouver tellement ils sont intéressants (coucou Rogue One), les Porgs sont à tomber (je peux commander les figurines sans crainte désormais), et au niveau de l'histoire, Rian Johnson pose ses grosses couilles sur la franchise, ce film risque de diviser (je le suis déjà avec moi-même), mais on ne peut que saluer son travail, le film déboussole comme aucun autre film de la saga ne l'avait fait. Par contre, l'arc de Finn traine beaucoup trop en longueur et semble ajouté au film pour lui donner une utilité, mais n'apporte pas grand chose au final, si ce n'est un peu de world building. Ça impacte aussi la fluidité de l'histoire, car si le montage est très bien géré, j'ai senti passer les 2h30, et je me suis retrouvé avec la même sensation que devant le Hobbit, c'était interminable et le climax met 20 plombes à arriver, mais ça c'est peut-être dû au fait que je sois malade comme un chien et que j'ai à peine 3h de sommeil derrière moi, les revisionnages multiples du film me donneront la réponse. Pour le reste, je ne peux rien dire sans spoiler, c'est déjà assez dur de parler vaguement comme ça, allez voir le film et coupez vous du monde.

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10/12

Melissa Joan Hart a fond dans son délire catho, c'est dommage car pour une fois tout n'est pas prévisible du début à la fin, et le message n'est pas mauvais, mais la surcouche religieuse le rend quasiment indigeste.

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08/12

La meuf est la Claire Kramer du pauvre, l'histoire est à chier, et Hal Cooper est encore plus caricatural que dans Riverdale...

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08/12

Brandon Routh porte le film, mais c'est dommage de voir son talent gâché dans un truc pareil.

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07/12

Quand le chien est le meilleur acteur du film, c'est qu'il y a un problème.

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06/12

Le réalisme du film, j'avais rarement vu le sentiment de gêne quand une amie rencontre un mec qu'elle connaît et que les deux parlent de leur passé devant toi, qui sourit comme un con et regarde autour le temps que ça passe aussi bien représenté. Le twist final est cool et pour le coup assez inattendu. Meredith Hagner a un regard magnifique.

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06/12

Un mec nommé Baxter qui donne du bonheur aux gens de sa ville, tout a fait logique. http://image.noelshack.com/fichiers/2014/03/1389888697-15eme.png

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06/12

Gadreel qui ne peut pas se taper la meuf à cause d'un ange, pour tout fan de Supernatural ce film représente le karma.

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06/12

J'aime ce genre de film prévisible de bout en bout, ça ne me distrait pas trop de mes révisions.

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05/12

Trop court tellement il y a de choses à dire sur le monsieur...

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04/12 (revu au cinéma)

Chef d'oeuvre. La maîtrise de Scorsese derrière la caméra, les performances des acteurs, la gestion du rythme, les choix musicaux (même si vers la fin ça fait un peu trop playlist, ça s'intègre parfaitement dans le film), du grand cinéma, un plaisir de le voir sur grand écran.

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04/12

A part la fin clichée, c'est assez fun.

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04/12

J'ai eu envie d'assassiner le gosse.

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04/12

Assez fun au final, c'est drôle, jamais chiant, et les personnages sont plutôt attachants.

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01/12 (vu au cinéma)

Après Cars 3, ça fait du bien de voir que Pixar est toujours capable de sortir de grands films. L'univers est magnifique, l'histoire très belle, avec quelques retournements de situation que je n'avais pas vu venir, et la fin m'a fait versé une larme, une larme seulement car j'ai tout fait pour me retenir. Je développerai un peu plus dans ma critique que j'ai la flemme d'écrire là. Le plus gros point positif c'est que je n'ai pas eu le court métrage avant, tant mieux parce qu'avec les 20 minutes de pub avant, j'aurais violenté quelqu'un.

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27/11 (revu au cinéma)

Je pense que ce film n'est pas fait pour moi, je n'y arrive pas (j'ai l'impression d'insulter le maître en mettant 7 à un de ses films), la musique d'Hisaishi et l'animation sont absolument magnifique, comme toujours, l'univers est très plaisant, mais l'histoire en elle-même, j'ai du mal à accrocher, le tout est assez confus, et l'histoire d'amour entre Haku et Chihiro m'a laissé encore une fois de marbre. Du Miyazaki bas de gamme, ce qui donne un très bon film, tss.

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21/11

Grâce à ce massacre du script par la réalisatrice, on a eu droit à la série, rien que pour ça j'ai hésité à mettre 10. Le potentiel est là, mais cette conne n'a absolument rien compris à ce que voulait faire Whedon, le casting est plutôt bon sur le papier, mais dirigé n'importe comment, ce qui selon les acteurs tourne plus ou moins à la catastrophe. Kristy Swanson est plutôt surprenante dans le rôle titre, loin de SMG qui m'a beaucoup manqué, surtout que j'imaginais chacune des lignes de dialogue avec sa voix, et c'était toujours mieux dans ma tête. Le cameo éclair de Ben Affleck m'a pris au dépourvu aussi, mais c'est un des rares trucs à retenir.

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20/11 (revu au cinéma)

En le revoyant sur grand écran, j'ai eu la confirmation que la VF absolument minable était la raison pour laquelle j'avais été déçu en le voyant pour la première fois. Ce film est magnifique, comme d'habitude chez Miyazaki on a des moments de grâce incroyables, portés par les chefs d'oeuvre habituels d'Hisaishi, c'est poétique, c'est beau, bref c'est Miyazaki, à chaque film je répète la même chose, j'y peux rien, le mec est au-dessus du commun des mortels. Le seul défaut au final c'est que le début du film est un peu mou.

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19/11 (revisionnage)

Quel chef d'oeuvre putain, le seul défaut c'est que les 3h30 passent trop vite. La photographie est somptueuse, et Sean Bean, quel homme, Boromir à jamais dans mon coeur, le meilleur.

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19/11

Jusqu'à LA confrontation, ce film est absolument hilarant, le casting est parfait, ça évite une bonne partie des clichés habituels en matière de comédies romantiques (principalement les moments gênants), d'ailleurs tous les personnages sont attachants et aucun n'est un réel cliché sur pattes. Malheureusement la dernière demi-heure, après la fameuse confrontation, qui m'a fait hurler de rire, est beaucoup trop classique et tombe dans la majorité des clichés possibles, et gâche presque ce qui a été fait avant.

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15/11 (vu au cinéma)

Voir critique.

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15/11 (revisionnage)

Comme pour 12 Angry Men, ça fait une semaine que je me tâte à augmenter ou non la note, ce film est chef d'oeuvre, un casting rempli de grands acteurs, des personnages attachants Steve McQueen qui pue le charisme, une mise en scène captivante, et une gestion du rythme extraordinaire qui fait qu'à chaque fois que je mate le film (et c'est souvent), les 3h passent en un clin d'oeil.

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13/11 (revisionnage)

Ça fait une semaine que j'hésite sur la note à lui mettre, mais ce film est absolument parfait, que ce soit au niveau de la durée, du rythme, de la réalisation, des performances, de l'ambiance, une merveille en tout point que ni mérite pas une autre note.