faut arrêter de me conseiller d'aller voir des merdes

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Ce film est con.

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Celui-ci est chiant (l'affiche annonce la couleur - taedium vitae mes chers, que voulez-vous..).

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Celui-ci est chiant, prétentieux et l'image trop contrastée.

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Y'en a un qui m'a dit que pour apprécier Malick il fallait que je le voie en salle de cinéma. Sur le moment j'ai oublié que j'avais vu celui-là dans une salle.

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Une nouvelle étape franchie dans l'exploitation de l'enfance par l'industrie cinématographique, et du voyeurisme des spectateurs; je préfère le cinéma dit d'exploitation justement, lorsqu'il ne prétend pas être autre chose que du divertissement débile.
Le genre de cinéma commercial auquel apparteint ce "Hope" n'a pas les faveurs des distributeurs français, qui préfèrent éviter de choquer les lecteurs de Telerama constituant la cible habituelle du genre dramatique. Ici, les catégories françaises sont inadéquates.
Apparemment, ceux qui se gargarisent d'avoir pleuré devant ce truc sont de bons clients pour la complaisance avec laquelle il nous assène le visage tuméfié d'une enfant. Ils voient du poignant quand je vois le stade ultime de la putasserie (par ailleurs hypocritement dénoncée via les habituels paparazzi). A gerber.

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le fin fond du bidet

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Ils ont même réussi à m'envoyer voir un film frnançais ! Frnançais !

https://www.senscritique.com/film/En_liberte/critique/190246781

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Voilà un film qui nous rappelle que la plupart des sériez Z ne sont pas d'amusants nanars, mais d'in-ter-mi-nables plages de vide, du nonsense sans l'humour, incapables de capter l'attention, de susciter la moindre préoccupation pour les personnages.

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J'ai détesté le film sans même prendre en considération les deux tueurs. C'est vrai qu'on ne montre pas une relation aussi bizarroide et des personnages aussi étranges sans développer un minimum. Ici ils font leur petit numéro et disparaissent du récit, puis reviennent remplir leur fonction de personnages dégueulasses dans des scènes qui en conséquence paraissent complètement gratuites, etc. D'accord, le film est raconté du point de vue des personnages féminins, donc reproduit une subjectivité déstructurée... La bonne excuse!
Je suppose que tout ce qui concerne les tueurs, et leur mise en scène de la maison, doit être vu comme un hommage à Tobe Hooper - Massacre à la tronçonneuse, Funhouse - et la mise en scène grotesque du réalisateur (les jump scares) doit être vue comme une mise en abîme. Mais on peut considérer tout ça comme salement raté.
Il en résulte un film qui se voudrait probablement féministe, et qui tourne en farce le sort des enfants kidnappés, avec une complaisance malsaine qui semble devenir la marque de fabrique du réalisateur.
Quant au "twist" à ne surtout pas spolier, toute série fantastique ou de sf comporte un épisode basé sur le même principe. Sérieux. Toutes.

Saint Ange était potable.

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Le charme des nanars, c'est aussi de tenter des trucs qu'ils n'ont ni le talent ni les moyens de se payer. Ce film n'essaie même pas. Il choisit d'être autre chose : le néant. Vertigineux?

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Là je suis méchant ; c'est surtout assez insignifiant.

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Si seulement j'avais vu la bande annonce... Mais avec une affiche pareille, je ne peux blâmer que ma crédulité. Ce film est du sous-disney.