Lundi 18 mai 2015, Festival de Cannes. Posé devant les marches, dans une chaleur écrasante et au milieu d’une foule monstre, je pleure seul en silence. Cela fait 40 minutes que j’ai vu Vice-Versa et comme je pleure sans discontinuer, j’imagine que c’est ce qu’on appelle un état de choc. A cause d’un film, c’est bien la première fois que cela m’arrive. Pourtant, rien de neuf sous le soleil, Pixar est au sommet. Son nouveau film s’annonçait comme un chef-d’œuvre et... Lire la critique de Vice-versa