Pour ce troisième métrage, l'auteur inscrit son récit dans une patte graphique emprunte de surréalisme et qui n'est pas sans rappeler les différentes oeuvres de Dali dans cette reproduction de ville déserte ou de Magritte dans la scène du bar.
Contrairement à son premier rmétrage, ici l'histoire tend à poser son récit et insiste sur les plans longs.
Un étranger entrant dans une ville déserte se trouve fort dépourvu face à cette situation incongrue.
En hauteur les habitants de cette ville le scrute, ayant fuis face à l'arrivée soudaine d'une bombe dans leur ville.
Le candide, aucunement conscient du danger les incitera finalement à revenir (on pourra voir par ailleurs la petite critique du matérialisme et consumérisme réalisée par l'auteur) et se fera remercier d'un coup de pied au derrière pour le faire quitter la ville.
Ce geste se trouvera cependant rédempteur lui sauvant la vie.