Assoiffé d'amour
Pour que les choses soient claires, je vais ici chroniquer non pas la version cinéma mais la version longue inédite disponible en bonus sur le BluRay. Enrichie d'un quart d'heure de scènes...
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le 23 mars 2014
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Tiens, une soirée Park Chan-Wook sur le sat...qui c'est çui là? Ben ouais, j'avoue, j'en avais jamais entendu parlé. Et bien, je l'ai pris en pleine face ce Thirst! D'abord, les réminiscences du roman de Zola, que j'avais lu et adoré dans ma jeunesse, qui m'assaillent instantanément tant le décor est conforme à ce que j'avais imaginé, ce qui me fait dire que PCW s'est arraché pour coller à l'univers décrit jadis par Émile(dans le mil...). Puis les acteurs fabuleux, inspirant parfaitement le Naturalisme revendiqué par Zola, et capables de créer une onde poétique qui vous effleure délicatement au moment où vous pensiez en prendre pour votre grade. C'est audacieux, mais quelle alchimie entre le sujet de Zola et le thème du vampirisme et surtout quelle maîtrise! Capter l'essence d'une œuvre et la faire sienne, au point de la rendre aussi moderne sans jamais en altérer la beauté et la profondeur, est un tour de force qui m'impressionnera encore longtemps. Cependant, il est préférable de voir Thirst avant Old Boy, adaptation géniale d'un manga, qui risque de vous faire atteindre le Nirvana(ou l'Enfer), sans quitter votre canapé. Park Chan-Wook est devenu mon nouveau mantra...
Créée
le 16 févr. 2012
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