The Two Faces of January

Premier film d'Hossein Amini, scénariste ayant notamment travaillé sur Drive, The Two Faces of January s'impose comme un film dans la pure tradition hitchcockienne sans pour autant atteindre la virtuosité du maître du genre. Faute principalement à un scénario lisse qui n'arrive jamais à faire monter les enjeux, ni entretenir le suspense car le tout est hautement prévisible et on ne sera jamais... Lire la critique de The Two Faces of January

Pour son premier long-métrage en tant que réalisateur, le scénariste iranien Hossein Amini signe un thriller psychologique aux accents hitchcockiens, qui constitue un honorable divertissement ensoleillé, entre Athènes et Istanbul. Un scénario inspiré de Patricia Highsmith, les années 60, les rivages de la Méditerranée : "The Two Faces of January" évoque immanquablement une autre... Lire l'avis à propos de The Two Faces of January

C'est sympa, pas déplaisant à regarder, mais c'est quand même mou. Le scénario présente une situation plutôt classique. Le problème n'est pas là, mais plutôt dans le manque de conflits. Mmh, je ne sais pas si manque de conflit est le bon terme. Il y a des conflits, mais ils sont un peu fades. La plupart du temps, cela consiste à voir les héros fuir la police. C'est redondant. En plus, c'est... Lire la critique de The Two Faces of January

Après L’inconnu du Nord-Express adapté par Alfred Hitchcock, ou Le talentueux M. Ripley porté à l’écran par deux fois (en 1960 avec Alain Delon sous le titre de Plein Soleil et en 1999 avec Matt Damon et Jude Law), Patricia Highsmith a de nouveau les honneurs du cinéma. Dans The Two Faces of January, Chester et Colette sont des touristes originaires des Etats-Unis de passage en Grèce. Ces... Lire la critique de The Two Faces of January

Une moyenne de 5,7, des critiques qui soulignent le classicisme et la mollesse de l'ensemble, ça partait pas sur des bases folles cette petite soirée .mkv... L'idée était de faire plaisir à ma moitié et y a pas trente-six solutions: c'est soit Mads soit Viggo, soit Harrison... Ce fut donc Viggo hier soir et je me fends de cette critique parce que je trouve le traitement accordé à ce film... Lire la critique de The Two Faces of January