Poison Girl
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Coproduit, coécrit et réalisé par Winding Refn en 4k anamorphique panavision avec un budget minuscule, c'est un échec dédié vidéo et 1 prix de l'image. Le démon lumière commence par un feu d'artifice visuel sur une image sordide du personnage, qui lance l'intrigue dans l'univers du mannequinat. Les détails féminins s'enfoncent dans l'imagerie d'une sorte de modernité qui séquence les effets d'une carrière professionnelle en se focalisant sur le personnage.
Les longs et calmes éléments du récit se déploient en entrant dans une modélisation au seuil des ambiguïtés de son univers, pour réveiller les aspects du métier. Le long lancement du défilé fabrique des notions quasi féeriques qui enveloppent le côté graphique et paradoxal du personnage. Les détails plongent inexorablement dans l'horreur, lors d'un dénouement sanguinaire, pour cette œuvre de série B qui propose une vision du cinéma dans la haute couture avec un rythme aux formes bien mystérieuses.
Entrées Salles France : env. 140.000 - Entrées Salles Usa : env. 1.390.000 – Entrées Salles Allemagne : env. 30.000 - Entrées Salles Espagne : env. 10.000 - Entrées Salles Italie : env. 30.000 - Entrées Salles Russie : env. 80.000.
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Créée
le 26 août 2023
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