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L'Ange Noir
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Difficile à dire, en particulier lorsque émerge le Joker, antithèse de la chauve souris à forme humaine. Il sembler qu'il y ait toujours un revers à la médaille, et ce n'est pas le nouveau procureur, bientôt redevenu Pile ou Face, qui trouvera à y redire...
Beaucoup de questions sur la causalité des évènements dans ce second opus. Batman éradique t-il la délinquance ou bien la rend t-il plus dure encore ?
On retrouve un Bruce Wayne pétri de questions sur sa place, son rôle et ses choix au sein de la ville décadente. Rien n'est vraiment blanc ni noir et c'est cette apparente dualité trouble qui donne toute sa force à ce récit.
Appuyée par une musique profonde et puissante, la narration est haletante de bout en bout, les acteurs toujours justes et l'ambiance générale très "dark", aux limites de la folie.
Une suite plus réussie encore que le premier opus qui nous rappelle les fondements du yin et du yang : dans tout mal se trouve un peu de bien et dans tout bien un peu de mal...
Difficile à dire, en particulier lorsque émerge le Joker, antithèse de la chauve souris à forme humaine. Il sembler qu'il y ait toujours un revers à la médaille, et ce n'est pas le nouveau procureur, bientôt redevenu Pile ou Face, qui trouvera à y redire...
Beaucoup de questions sur la causalité des évènements dans ce second opus. Batman éradique t-il la délinquance ou bien la rend t-il plus dure encore ?
On retrouve un Bruce Wayne pétri de questions sur sa place, son rôle et ses choix au sein de la ville décadente. Rien n'est vraiment blanc ni noir et c'est cette apparente dualité trouble qui donne toute sa force à ce récit.
Appuyée par une musique profonde et puissante, la narration est haletante de bout en bout, les acteurs toujours justes et l'ambiance générale très "dark", aux limites de la folie.
Une suite plus réussie encore que le premier opus qui nous rappelle les fondements du yin et du yang : dans tout mal se trouve un peu de bien et dans tout bien un peu de mal...
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Créée
le 29 juil. 2012
Modifiée
le 29 juil. 2012
Critique lue 354 fois
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