Des films à sketches très inégaux en terme de longueur mais qui sont à la fois drôle, sexy, tragiques. Il ny à très souvent aucune morale ou message, et très souvent des histoires drôles. Ça parle de gérontologie, travestissement, inceste... bref c’est varié.
Laura Antonelli est à son habitude torride, la definition même de l’érotisme. On a quelques bouts de seins et des portes jarretelles, mais ça suffit à éveiller nos sens tellement la mise en scène pointé vers l’érotisme suggéré. Chaque sketche se termine sur une forme de frustration sexuelle, et ce sentiment est partagé, mais vite redescendu par le suivant.
Le couple Antonelli/Giannini est le fil conducteur pour chaque sketche à part un qui traite des travestis. Ça fonctionne, ils ont à chaque fois un des dégaines complètement barrées pour lui et sexy pour elle.
Bref c’est un peu bon moment, mais on regrette parfois la pauvreté de certaines histoires quand même.