Sa mère !

Voilà bien le genre de film qui nécessite de maitriser quelques codes cinématographiques pour en appréhender le contenu. Il y a du lourd et on sent bien que l'on est dans la représentation et il est vraiment nécessaire de faire abstraction de toute logique réaliste mais même le qualificatif de surréaliste me semble ici un doux euphémisme. Psychanalyse, religion, filiation, relation à l'Autre… Il va me falloir pas mal de temps et sans doute un peu d'aide (avec des esprits plus éclairés) pour démêler cet écheveau. C'est comme ça qu'on avance. Enfin, un dernier aspect me taraude l'esprit : le degré de violence, surtout sur le dernier quart. en fallait-il autant ?