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So terrific
La gloire du pianiste Liberace, qui fut, parait-il, énorme aux États-Unis, n’a jamais atteint l’Europe. Pour la majorité des spectateurs, il s’agira d’abord d’une découverte, celle d’un artiste adulé...
le 24 sept. 2013
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Ma vie avec Liberace par Charlouille .
Ma vie avec Liberace est à la base un projet très particulier. En effet il s’agit de la dernière (d’après ses propres paroles) œuvre cinématographique de Steven Soderberg. Ce désir de stopper sa carrière de réalisateur vient du fait que les fonds sont de plus en plus compliqués à trouver (D’où le retrait temporaire de David Lynch aussi). Pour Ma vie avec Liberace, ne trouvant le moindre dollar dans les productions américaines, Soderberg décide de faire appel à la HBO, la chaine de Télévision. Une fois le film monté il prend la décision de l’envoyer à Cannes. Ma vie avec Liberace est donc le premier Téléfilm en compétition à Cannes.
Ma vie avec Liberace a pour nom Anglais « Behind the Candelabra ». Et pour cause on suit un tranche de vie du pianiste Liberace (Michael Douglas) de grande renommée aux goûts très prononcés pour le monde des paillettes. L’histoire d’un homosexuel ne l’assumant pas au grand public, aux costumes et décors regorgeants de paillettes, faisant la rencontre d’un jeune homme nommé Scott (Matt Damon). Il décide de l’engager comme homme à tout faire et comme amant. S’en suit une histoire d’amour aussi belle que dérangeante et puissante.
Qu’on se le dise clairement il s’agit (comme Only God Forgives et le magnifique La Grande Bellezza) de l’un des grands oubliés du mauvais festival de Cannes. Sous vos yeux ébahis, voici sans doute les deux plus grandes prestations d’acteurs de ces dernières décennies. Matt Damon et Michael Douglas donnent une dimension parfaite, riche et extrêmement belle à leurs personnages. Il y a des jeux transcendants, tout comme des films, des lumières, des sons, de plus en plus rares, ceux de Matt Damon et Michael Douglas en font largement partie.
la suite de la critique ici :
Ma vie avec Liberace a pour nom Anglais « Behind the Candelabra ». Et pour cause on suit un tranche de vie du pianiste Liberace (Michael Douglas) de grande renommée aux goûts très prononcés pour le monde des paillettes. L’histoire d’un homosexuel ne l’assumant pas au grand public, aux costumes et décors regorgeants de paillettes, faisant la rencontre d’un jeune homme nommé Scott (Matt Damon). Il décide de l’engager comme homme à tout faire et comme amant. S’en suit une histoire d’amour aussi belle que dérangeante et puissante.
Qu’on se le dise clairement il s’agit (comme Only God Forgives et le magnifique La Grande Bellezza) de l’un des grands oubliés du mauvais festival de Cannes. Sous vos yeux ébahis, voici sans doute les deux plus grandes prestations d’acteurs de ces dernières décennies. Matt Damon et Michael Douglas donnent une dimension parfaite, riche et extrêmement belle à leurs personnages. Il y a des jeux transcendants, tout comme des films, des lumières, des sons, de plus en plus rares, ceux de Matt Damon et Michael Douglas en font largement partie.
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le 23 juil. 2013
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