Les Révoltés de l'île du Diable par Gab-z

Bizarre... Ce garçon à la montre de C5 entre les mains. Jamais C5 n'aurait donner sa montre... C19 interpèle le garçon, lui demandant pourquoi possédait-il cet objet. Le jeune homme lui répond tout simplement que C5 le lui a donner. C19 ce lève, scrute la bande qui profite d'une pause déjeuné bien mérité après de nombreuses heures de travaille dans cette forêt enneigé. C5 n'est pas la. Tout deviens claire. C19 ce met à courir. Ses pas claque dans la neige, son souffle s'accélère, n'ayant fit du froid il court. La plage enneigé ce déssine à l'horizon. Il n'est peut être pas trop tard. Arrivait sur la plage, le directeur du pensionnat s'offre une promenade en compagnie de sa dame. Personne d'autres en vue quand soudain le jeune homme voit une forme flottant dans l'eau. C19 cours, brave la mer et saisis cette chose qui ce révèle être C5. Ses camardes accours à leur tour, C1, l'élève modèle, viens apporter son aide à l'émersion de son camarade. Un attroupement autour du jeune homme sans vie ce créer alors. Tous rassembler face au jeune homme sans vie, le directeur fait son apparition avant de renvoyer les pensionnaire à l'internat quand soudain C19 découvre de lourdes pierres dans les poches de C5. Le jeune homme c'est donné la mort, il n'a pas supporter de devoir revivre les perversité du Maître.

Voila l'élément déclencheur de cette fresque dramatique. Le Maître de l'internat de Bastoy, situé dans un archipel au large de la Norvège, va prendre sous son aile le jeune Olav, rebaptisé C5 lors de son arrivé, suite à sa dénonciation sur l'évasion d'un de ses camarades. Mais le Maître à des vices et fera subir des choses horrible au pauvre Olav.
Le directeur du pensionat, mis au courant des actes de son second, ne réagira que très peut et renverra le maitre seulement quelque jours. Mais a son retour, le jeune C1 qui avait informé le directeur de la situation, craque en voyant le Maître revenir à l'internat, comme si de rien n'était. Une émeute éclate alors, chacun essayant de ce rendre justice et de crier leur malêtre.

"Les Révoltés de l'Île du Diable" est une pur merveille. On regretteras le peut de présence du cinéma scandinave dans le paysage français, qui s'avère quasiment toujours d'une grande qualité. Ce film en fait partie.
Son réalisateur, Marius Holst, ce base sur une histoire vrai pour nous raconter cette fresque dramatique avec brillo.
Même si l'exposition du contexte est un peut longue, il faut avouer qu'elle nous immerge dans dans cet Norvège du début du XXe siècle et nous permet de nous plonger complètement dans l'histoire. De plus, la photographie du film ce révèle d'une beautés incontestable, ce qui profite pleinement à notre passage à travers l'écran. Holst film cette archipel enneigé avec beaucoup d'amour et nous offres de splendides paysages. Splendide paysages qui contraste fortement avec la dureté des bâtiments de l'internat. La poésie qui entoure ces environnements naturel viens soudain être brisé par les teintes grisâtres et l'aspect délabré du centre.

Avec un réalisation efficace, qui suit le rythme du film, notre incursion n'en est que plus douce. Très posé au départ, beaucoup de plans fixes et de lents travelling alors que lors de la révolte, la caméra ce fait plus nerveuse, avec un montage plus saccadé et des effets de caméras bien plus visible.
De plus, le grain du film film appuis l'atout de l'histoire vrai et donne au film tout son cachet.

Au final, "Les Révoltés de l'Île du Diable" s'avère très réussis. Un scénario qui tiens la route, une réalisation efficace et une photographie réussis. On en demandait pas plus.