
Tout débute par un incendie qui m’a paru comme un rite d’une secte mais il n’en est rien. Le film suit deux temporalités ayant une petite fille au sens olfactif surdéveloppé qui est anachronique dans l’une d’elles et ne peut être aperçu que par Julia qui sera d’ailleurs considéré comme folle à cause de cela. La fin est excellente en introduisant le concept de boucle sans fin. De plus, le fantastique s’intègre aisément à l’histoire, plus qu’une mode bien actuelle du cinéma d’auteur. Le scénario est haletant et la musique fait sporadiquement flipper partagée entre chants tribaux et Total eclipse of the heart.