Critiques de Les Avantages de voyager en train

DoisJeLeVoir
9

Faut-il croire l’inconnu assis en face ?

Les Avantages de voyager en train défie les conventions. Cette œuvre tisse une histoire complexe à plusieurs niveaux, tout en maintenant une clarté. À travers une structure délibérément désordonnée,...

le 10 août 2023

3 j'aime

Cinephile-doux
6

Théâtre de l'absurde

Attention, une histoire peut en cacher une autre, voire plusieurs, dans le premier long-métrage de Aritz Moreno. Et les situations à la Luis Buñuel (Roy Andersson et Peter Greenaway sont d'autres...

le 2 mars 2023

3 j'aime

2

EricDebarnot
8

La vraisemblance est surévaluée !

L’un des avantages de voyager en train, c’est de pouvoir y faire des rencontres intéressantes. Et, grâce à la durée du voyage, d’avoir tout le temps de se lancer dans une longue conversation avec son...

le 16 août 2023

2 j'aime

Teknograde
6

Le train-train PAS quotidien (du tout)

"Entre Jean-Pierre Jeunet et Wes Anderson", scandait le prospectus promotionnel du film que j'avais trouvé par hasard. "Entre Lanthimos et Damian Szifron", disait plutôt certaines critiques. Et...

le 2 sept. 2023

1 j'aime

Cinememories
7

Alarme pathologique

"Il est toujours préférable de voyager en bonne compagnie, c’est ce qui rend le trajet encore plus savoureux. Une sorte de parenthèse sur la vie qui s’ouvre au départ, et se ferme à l’arrivée. Les...

le 8 août 2023

1 j'aime

AntoineRA
7

Critique de par AntoineRA

Pour un premier film, Aritz Moreno la joue plutôt osé ; pour un scénario de Javier Gullón, à qui on doit Hierro ou Enemy, par exemple, c'est moins étonnant de voir ce long-métrage digresser dans...

le 18 janv. 2024

VioletteVillard1
5

Les Anciens Sauvages ou les avatars morbides d'obsessions sans voyage

Lorgnant fort vers Lorgos Lanthimos et Damián Szifron pour le meilleur de Canine et des Nouveaux Sauvages, Aritz Moreno dans ses "Avantages de voyager en train" nous balance pléthore d'obsessions...

le 12 août 2023

bougnat44
9

Des poubelles et des chiens

C’est l’adaptation du (2e) roman éponyme (2000), à 37 ans, d’Antonio OJERUDO et qui a obtenu le prix du roman andalou (Premio Andaluzia de Novela). Voilà un film décoiffant, trash mais qui reste sur...

le 7 avr. 2023