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Ce n'est qu'un bref aperçu d'un film qui use de théories philosophiques pour mieux s'en départir, car son auteur joue volontiers avec les codes visuels et narratifs des genres susmentionnés pour s'aventurer dans des méandres filandreuses. Vous n'avez pas tout saisi du dédale scénaristique dans lequel Hamagushi vous berce imperceptiblement? Ce pourrait être une posture auteuriste assez déplaisante, mais c'est ici tout au contraire une invitation salutaire à vous défaire des linéarités grossièrement explicatives afin de maintenir tous vous sens en éveil.
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le 15 avr. 2024
Critique lue 51 fois
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