La Reine des Neiges II
5.8
La Reine des Neiges II

Long-métrage d'animation de Chris Buck et Jennifer Lee (2019)

Les mots et la retenue me manquent pour parler d’un de mes grands amours filmiques de ces dernières années en dépit des reproches et du mouvement anti-Frozen qui ont immergés chez certains. Je ne fais pas dans l’originaitél en disant que j’ai grandi et que je continue de grandir avec Disney, tant du côté des classiques que des films Live et ce malgré la qualité très très très discutable de certaines des dernières sorties. Mais quitte à causer d’un phénomène qui fera des vagues un très long moment, autant y aller avec ce qu’on a sur le cœur, les poumons chargés à plein régime et l’esprit en transe.


Quand on qualifie un film de chef d’œuvre, la notion d’objectivité a rarement lieu d’être. Même quand on évoque un film reconnu comme telle par la masse. C’est mon cas avec La Reine des Neiges qui m’a rappelé tout ce pourquoi j’adorais et j’adore ces films d’animation en comparaison de ce que font d’autres studios américains à la traîne : son pouvoir de narration musicale, l’amour porté par ses artistes envers les personnages qu’ils créent, son animation mis en service du récit, ses émotions capable de rendre nos attentes au centuple, ses chansons mémorable à souhait, les sens de lectures nombreuses, tout cela me fait facilement pardonner bien des défauts qui ont subsisté durant la production et la conception de cette adaptation du conte de Hans Christian Andersen comme son twist caricatural ou et son rythme très peu aéré.


6 ans d’écart entre les deux films et à peu plus de 3 ans à partir de l’annonce d’un second volet en 2015 qui confirme malheureusement la démarche mercantile des patrons de la boîte n’ayant déjà plus beaucoup de scrupule à disséquer les classiques Disney pour en faire n’importe quoi une bonne partie du temps. Alors voir Walt Disney Animation Studio confirmer à son tour cette démarche peut facilement laisser des sueurs froides quant on sait que parmi tout les studios, celui-ci est l’un des derniers à garder un contrôle créatif sur ses films d’animation et à maintenir un haut niveau de qualité. La preuve s’est affirmé avec Ralph 2.0 sorti sur le sol français cette année et tous les mécontents pourront bien me dire que ça n’est qu’une immense publicité pour le net ou celui-ci n’est qu’un décor employé à des fins mercantiles sans réussir à faire mouche en termes de comédie et d’émotion, je rejoins assurément le camp de ceux qui en retirent bien plus positivement parlant.


Pas au point de me faire l’avocat du diable à la vue des deux immondes navets live de cet été, y’a des limites à la tolérance et à la politique de l’autruche. Mais à l’inverse des horreurs que Disney Toon Studio nous a pondus pendant plusieurs années, il y a une énorme différence avec Ralph 2.0 et Frozen 2 : les créateurs et artistes du premier film ont conservé leur contrôle sur chacun de ces œuvres et ont eu un délai pour concocter une nouvelle recette en reprenant des ingrédients déjà employés précédemment.


Ce n’est même pas la première fois que le même studio taffe sur la suite d’un de leur classique. J’ai beau ne pas être un gros fan de Bernard et Bianca au pays des Kangourou ou de Winnie l’ourson sorti en 2011, chacun restaient respectable à sa façon. Et Ralph 2.0 a continué à me faire aimer le duo que l’on a découvert en 2012. Quant-est-il finalement de la suite des aventures d’Anna et d’Elsa ?


Le flash-back ouvrant sur un mini Olaf inerte crée par les pouvoirs d’une Elsa encore enfant et innocente des risques de ses pouvoirs mettra rapidement les points sur les I en abordant le film sur deux points essentiels : l’aspect du conte et de la légende qui servira d’extension à la leçon du premier film sur les craintes d’Elsa et Anna qui ont failli causer leur perte et celle d’Arendelle, et les réponses recherchées sur les origines des pouvoirs d’Elsa (prévisible, le public l’ayant autant demandé au lieu de laisser le mystère autour de ce point-ci installé dans le premier film). Jennifer Lee se permet de montrer les parents des sœurs sous un jour plus attendrissant et beaucoup moins craintif que ce que montrait le premier film avec une intimité adoucissante (la berceuse d’Athohallan aux allures mystiques et aux paroles dont le sens se fera de plus en plus résonnant) pour le spectateur s’apprêtant à retrouver des héros qu’il a apprit à aimer le temps d’un film, et à accessoirement suivi au fil des court métrages.


Après un court mouvement de caméra numérique en arrière puis une levée vers le ciel étoilé, l’apparition du titre et la transition vers une journée ensoleillée de fin d’automne, Jennifer Lee et Chris Buck offrent ce qu'on est en droit d'attendre : des retrouvailles avec des héros ayant grandit (3 ans après le premier film), Olaf étant maintenant capable de profiter du soleil sans son nuage (le permafrost : un anti coup de soleil de qualité), Kristoff voulant enfin faire sa demande en mariage à sa fiancée, Anna souhaitant poursuivre l’existence paisible qui se profile et Elsa étant déjà en proie à des visions sonores qu’elle semble être la seule à entendre. Some Things Never Change qui est, sans évoquer la berceuse d’Ahtohallan, la première chanson du film qui se lance, marque tant les retrouvailles avec nos héros que l’épouse totale du film avec le genre de la comédie musicale pure et assumé. Les paroles prennent une grande place narratif tout comme les plans, la sérénité ambiant et les bons sentiments s’assument sans en avoir aucune honte.


Et on constatera avec réjouissance une chose : c’est l’homogénéité visuelle qui tranche beaucoup avec les imperfections visuelles du premier film durant sa première demi-heure. Les couleurs sont plus vives, les arrières plans ont plus de vie, les figurants sont mieux gérés, ça vie davantage et les chansons sont mieux réparties et s’enchaînent de manière bien moins abrupte et radicale qu’avec le premier volet. Le tout en conservant le rôle de story-telling et d’accompagnement de l’état émotionnel de chacun de nos héros.


La Reine des Neiges 2 s’est énormément vendu sur Into the Unknown et si au final ça n’est pas la séquence musicale qui m’aura la plus emporté dans les étoiles, tout ce qu’elle représente pour Elsa est indéfiniment fort.


Tout débute par le rejet de cette voix l’appelant depuis l’inconnu, le refus d’une nouvelle aventure tandis qu’Elsa se déplace lentement au sein du château d’Arendelle, voit son héritage familial et sa vie actuelle et lutte vocalement et consciemment pour ne pas se laisser guider par cet appel à l’inconnu. Mais dés le deuxième couplet nous montrant Elsa sortir hors du château, la fameuse reine s’ouvre étrangement mais logiquement à cette voix l’appelant depuis d’autres horizons, montre une aise anormalement élevée par rapport à d’habitude (elle qui avait un semblant de mal-être en tant que reine et montrait encore des faiblesses de bien être face à sa propre sœur un peu plus tôt) à tel point que ses pouvoirs éclatent et se relâchent de plus en plus, que sa voix se fait de plus en plus emportée et exaltée.


Une nouvelle voie comme un nouveau périple et une nouvelle menace s’ouvre alors au bout de ce 3 minutes ou joie, crainte, lyrisme graphique ingénieusement imagé par la réalisation (le fond noir imageant de plus en plus le décor de la forêt mystérieuse par les pouvoirs d’Elsa, cette bleutée marquée et ces êtres qui vivent sur ces lieux et prennent vie comme de rien l’espace de quelques instants pour achever sur une pluie de cristal figée dans le temps reprenant le symbole des 4 éléments).


Mais alors s’il faut citer la scène recevant la grâce ultime, c’est l’interprétation de Show Yourself ou Idina Menzel se surpasse dans le jeu comme au chant. C’est pas étonnant d’ailleurs qu’il n’ait pas autant été mis en avant, vu tout ce que signifie cette chanson pour Elsa à ce stade de sa quête :


entamé quelques instants avant qu’elle ne parvienne à Ahtohallan, l’île ou la rivière du souvenir comme on peut l’appeler a en elle toute l’histoire et la part de vérité nécessaire à Elsa pour se trouver en tant qu’individu. Le principe du crescendo est repris encore une fois, avec l’alchimie des décors et de la place accordée au cœur et à l’âme que donne l’interprète et chanteuse. Alors que les notes au piano s’enchaînent avec une instrumentation de plus en plus soutenue, elles prennent plus de poids lorsqu’Elsa appelle cette voix en récitant les trois notes, la mysticité des lieux l’emporte de plus en plus et la joie et la révélation de plus en plus proche pour Elsa fait place à une euphorie émotionnelle tsunamesque (avec certaines paroles de Let It Go reprise mais faisant un écho très profond avec son état mental et émotionnel : le "Here I Am" du refrain n’étant plus une facette pour une reine ayant renoncé à se contrôler, mais une affirmation de soi concrète qui va prendre un sens neuf) puis se calme un instant lorsque l’immense pièce de noir se dévoile à elle. Ses mots raisonnent une à une, son identité se dévoile sans trop en dire et à l’arrivée des chœurs et de la voix de sa mère : l’explosion débute. Elle laisse toute sa joie des retrouvailles avec les souvenirs de sa mère et son sang Northuldra exploser par la métamorphose de ses habits prenant des tons d’argent et céleste, la brume froide dont elle prend le contrôle dévoilant par la glace de nombreux fragments du passé par la suite : elle se trouve, elle se dévoile, C’EST L’ORGASME, ET SURTOUT ELLE EST TROP BEEEEEELLE ♥ !


Néanmoins… parce que malheureusement, la perfection est une chimère qu’on a crée dans notre vocabulaire car elle n’existe pas, il y a un néanmoins. Là c’est le paradoxe total : La Reine des Neiges 2 souffre du même problème de rythme et de surabondance de détail sur les plans, la mise en image, l’arrière plan et la démonstration visuelle que son aîné. Ce qui est ahurissant quand on sait qu’il a eu plus de temps et d’organisation pour être mit en chantier et réalisé (si on oublie sa fin de production plus compliqué) ainsi qu’être peaufiné sur les détails comme sur les points majeures. Le problème ne date pas d’hier et n’est pas uniquement lié qu’à la franchise Frozen et Disney, mais il y a parfois un tel amas de détail dans ce qu’on nous montre qu’il devient rapidement très laborieux de retenir ce que l’on voit à l’écran (sans blague, on loupe même des gags en arrière plan comme durant certaines chansons).


J’en viens même à m’étonner que l’équipe n’ai pas accordé un quart d’heure de film supplémentaire pour aérer l’ensemble un peu plus, voire même une demi-heure tant pour les besoins narratifs que pour montrer du respect envers le jeune public pour supporter des œuvres plus longues du moment que ce sont des héros qu’ils apprécient qui interagissent à l’écran. Je vais devenir lourdaud à citer la Japanimation comme modèle, mais c’est le cas : les films de Mamoru Hosoda vont dans quasiment les 2 heures mais ils ont un public fidèle et ont ce qu’il faut pour plaire au jeune public (Miraï et Ame et Yuki : Les enfants loups par exemple).


Et du coup le deuxième gros point qui en pâtit, ce sont les nouveaux rôles comme Mattias, Honeymaren ou encore Ryder qui n’ont pas le temps de tenir suffisamment longtemps à l’écran alors qu’ils ont de bonnes trognes à faire valoir (Mattias le premier qui s’en tire le mieux des trois). Tandis que les esprits de la forêt, si ils constituent chacun des obstacles solides et ont une présence réelle dans la quête de soi pour la reine des neiges, finissent eux-mêmes par devenir des fonctions naturelles qui auraient pu faire gagner davantage de souffle dantesque avec une durée de présence plus longue, ne serait-ce que d’une ou deux minutes.


Heureusement, l’impact laissé par l’épopée de nos principaux héros évite d’être amenuisé par ce souci de rythme et de tempo. D’abord parce que chacun d’eux trouvent sa propre place dans cette quête : Elsa se retrouvant néanmoins toujours autant liées à ses incertitudes et dont son voyage pour la sauvegarde d’Arendelle et tout autant une quête sur elle-même comme si ce chant à 3 notes était un appel aux retrouvailles. Anna qui a perdu sa naïveté enfantine du premier film est représente une source de motivation extrêmement attachante pour son entourage mais qui doit maintenant accepter le changement quitte à se détacher de sa sœur sans renoncer à ses liens, Kristoff faisant un constat sur ses sentiments envers Anna mais sans pour autant être humilié pour le lol et qui a le droit à la scène musicale que n’aurait pas renié Tamatoa de Moana avec sa propre chanson (le plan ou 50 % de l’image est occupé par un fond brumeux une rivière sans rocher sur lequel sauter après que Kristoff ait avancer roche par roche en dis long sur l’incertitude de leur avenir) et Olaf est définitivement un des sidekicks les plus adorables des dernières créations du studio.


Olaf, c’est grossièrement un enfant qui veut être un adulte, dont le grandissement se voit quand même ici et là (il sait lire et développe une curiosité aussi philosophique qu’il est source d’excellent gag) et dont la variation dans l’intonation de voix de Josh Gad permet plus d’une fois des pépites d’hilarité comme cette scène résumé du premier film cumulant en plus les réactions des spectateurs et la gêne des deux sœurs. Néanmoins c’est regrettable qu’il ait la seule chanson du lot à l’utilité discutable : l’air sympathique comme tout et Josh Gad s’éclate mais elle n’apporte pas grand-chose de plus que ce qu’on sait déjà.


Cependant, il apporte l’une des plus belles scènes du film et la plus poignante de tous


lors de sa mort : Elsa ayant envoyé une ultime parcelle de ses pouvoirs sur la réalité du conflit entre Arendelle et Northuldra (trop de scène à décrire et à valoriser en un seul texte), Olaf commençant à floconner, à se désagréger petit à petit alors qu’il prend conscience tant par la voix et le regard de ce qui lui arrive et qu’Anna se retrouve face à une cruelle réalité brisant à jamais la vie simple et douce qu’elle embrassait pleinement. Tenant Olaf dans ses bras comme un enfant qu’on veut rassurer (la théorie comme quoi celui-ci peut être vu ainsi se renforce plus d’une fois ici), la caméra se relevant ensuite pour suivre ce vent floconneux jusqu’à un tas de neige ornée de fleurs servant alors de tombe pour le bonhomme de neige dont la mort se sera achevée hors champ. Brisant tant le cœur d’Anna que celui du public qui se sera ouvert à ces personnages et à cet univers, et dont le chant de tristesse et son relèvement en peine ne fait que rendre plus tiraillant les aboutissements de son parcours et de ses chocs émotionnels.


Même les instants de complicité et de légèreté partagées comme les tentatives maladroites de Kristoff de demande en mariage sont des moments qui trouvent totalement leur place dans une quête incertaine mais sans jouer la carte de l’intrusion ou du brisement d’atmosphère ou d’ambiance. Rien que le récit de Mattias et sa fidélité exprimé envers la fratrie royale d’Arendelle, la soirée des charades dans le premier tiers ou encore les moments de tendresse entre sœurs partagées entre Elsa et Anna qui ne sentent jamais le chiqué ou l’artifice et savent quand se focaliser sur ce que doit prouver cette suite par elle-même, ou quand tirer profit du premier film.


D’ailleurs en parlant de cela, c’est aussi sur le plan musical que Frozen II marquera les esprits et qu’il tire énormément de superbes idées : en dehors des chansons écrites par les Lopez qui s’amusent aussi bien à incorporer discrètement certaines paroles des chansons du premier film pour faire écho et créer une continuité, c’est aussi la réorchestration de certains morceaux du premier film par Christophe Beck qui donne de l’âme et une très belle consistance à cette suite. La place accordée à Vuelie en est la plus descriptible, d’abord utilisé comme l’air entonné à l’ouverture du film, elle devient ensuite une hymne pour le peuple Northuldra lors de la venue d’Elsa dans la forêt enchanté et surtout un excellent exemple d’ambiance en terme de mise en image :


les Northuldras se formant dans un cercle se refermant sur lui-même, jusqu’à atteindre Elsa et Anna situé au centre tout en chantant A-Cappela l’air, les plans et le mystique s’imprégnant dans la reprise conférant au peuple de la forêt enchanté une présence imposante pendant ces quelques instants et même une signification forte liée à la présence des deux sœurs.


Et c’est justement ce qui fait l’immense force de cette suite et son principal fer de lance : cet amour fraternel qui nous est rappelé lorsque cela est nécessaire et qui réutilise les drames, le vécu et les épreuves traversées durant le premier film pour l’exposer quand cela est requis.


L’arrivée au navire échoué de Ragnarr et Iduna, les parents de nos héroïnes, montrant l’horreur des deux sœurs lorsqu’Elsa reconstitue les derniers instants de ses parents et se retrouve confronté aux réelles motivations de leurs voyages. Des gouttes d’eaux en lévitation (l’effet 3D fonctionne très efficacement) en passant par le regard horrifié à l’entente des dernières paroles du couple et le bruit des vagues en allant jusqu’à Anna cherchant les mots justes et se reprenant tant bien que mal pour réconforter Elsa et dissiper une culpabilité qu’elle n’a pas à avoir alors qu’elle a elle-même assisté avec horreur à la vérité sur le sort de ses parents.


J’aurais bien ajouté que j’ai envie d’envoyer chier sévère ceux qui crieront au mercantilisme et à la pâle reprise du film original sans se dire qu’une suite peut être meilleur qu’un premier film au sein de Walt Disney Animation Studio. Mais ça serait inutile : ma faim est rassasiée et tout ce qui a sa place dans une suite digne de son aîné est présent, faisant avancer ses héros tout en sachant reprendre des dilemmes du premier film sans se répéter, visuellement supérieur et chargé émotionnellement avec un casting original irréprochable (Kristen Bell et Idina Menzel en priorité). Ce qui aura été un passage vers la continuité pour deux classiques Disney aura finalement vu leurs créateurs l’emporter en montrer un attachement sincère qu’il porte envers des héros que nous avons aimé une première fois, puis une seconde ici et avec Ralph 2.0 et que, je l’espère, nous aimerons encore longtemps.

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