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Pour arriver aux éléments fantastiques, il faut se taper une heure de conversation masturbatoire où le créateur manifestement veut citer tous les noms qu'il connait pour ne rien dire. Finalement, le film passe du fantastique à l'absurde sans aucun espoir d'explication. Puis ils se termine, à l'apogée de l'incompréhension, ayant ressassé une sorte de vérité générale adolescente qui consiste à dire que l'existence est courte et médiocre.


Rien à foutre du symbolisme. Nul nul nul, nul, nul.

Diaboloque
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le 27 avr. 2022

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