James Allen est de retour de la grande guerre, et c’est un homme changé qui revient chez lui. Il ne veut plus travailler dans sa petite usine, mais construire des ponts et des routes, faire quelque chose de ses mains, être libéré de la routine. Seulement il peine à trouver un travail et dans sa misère, se fait piéger par un malfrat de bas-étage, le conduisant ainsi à la case pénitencier pour 10 ans… Ca fait mal au cœur de le dire mais ce film toucherait encore des cordes sensibles aujourd’hui... Lire la critique de Je suis un évadé