De retour derrière la caméra après 15 ans d'absence, Zulawski adapte Gombrovicz et reste fidèle à lui-même. Cosmos est gueulard, bancal et agaçant, mais tout aussi burlesque et touchant. Rapide et enlevé, littéraire et trivial, le film ne lasse pas et finit par séduire. Balmer et Azéma s'en donnent à cœur joie, Libereau nous charme et la belle Victoria Guerra l'emporte.

pierreAfeu
7
Écrit par

Créée

le 20 oct. 2015

Critique lue 743 fois

2 j'aime

pierreAfeu

Écrit par

Critique lue 743 fois

2

D'autres avis sur Cosmos

Cosmos
Multipla_Zürn
6

Critique de Cosmos par Multipla_Zürn

Zulawski n'a plus grand chose à montrer (pourquoi mettre en scène un roman à 75 ans, un roman de Gombrowicz qui plus est ?) sauf que c'est précisément cela qu'il entend nous montrer (ce plus grand...

le 14 déc. 2015

8 j'aime

Cosmos
stebbins
2

Hippocampéléphantocamélos

Une véritable abomination filmique dans laquelle Zulawski brasse pléthore d'images et d'idées dans l'incohérence la plus totale. Cosmos fait l'effet d'un dromadaire à deux bosses : énorme tambouille...

le 9 déc. 2015

4 j'aime

3

Cosmos
JanosValuska
2

Abomination.

Tandis qu’il était haut dans ma watchlist de films dont j’étais certain qu’ils feraient parti de mes films de chevet, Possession fut l’une de mes plus grandes douches froides. C’était mon premier...

le 25 nov. 2017

3 j'aime

2

Du même critique

Nocturama
pierreAfeu
4

The bling ring

La première partie est une chorégraphie muette, un ballet de croisements et de trajectoires, d'attentes, de placements. C'est brillant, habilement construit, presque abstrait. Puis les personnages se...

le 7 sept. 2016

51 j'aime

7

L'Inconnu du lac
pierreAfeu
9

Critique de L'Inconnu du lac par pierreAfeu

On mesure la richesse d'un film à sa manière de vivre en nous et d'y créer des résonances. D'apparence limpide, évident et simple comme la nature qui l'abrite, L'inconnu du lac se révèle beaucoup...

le 5 juin 2013

51 j'aime

16

La Crème de la crème
pierreAfeu
1

La gerbe de la gerbe

Le malaise est là dès les premières séquences. Et ce n'est pas parce que tous les personnages sont des connards. Ça, on le savait à l'avance. Des films sur des connards, on en a vus, des moyens, des...

le 14 avr. 2014

41 j'aime

21