C’est sur une image terriblement trompeuse que s’ouvre Back Home : celle de la main d’un nouveau-né serrant le doigt de son père. Si l’on est tenté d’y voir un écho au lyrisme ébahi de Malick dans Tree of Life, il faudra rapidement se résoudre à y renoncer. Dans ce geste se loge toute l’exploration à venir des complexes rapports humains, d’autant plus retors qu’ils sont situés dans cet univers carcéral qu’est la cellule... Lire l'avis à propos de Back Home