Après L’Enfance d’Ivan, Tarkovski embrasse pleinement son art pour se lancer dans une fresque monumentale, à la fois reconstitution historique de grande ampleur et réflexion puissante sur les affres de la création. Le récit, disséminé en chapitres apparemment hétérogènes, suit en réalité une trajectoire, celle de l’élévation préfigurée dans le sublime... Lire la critique de Andreï Roublev