...il a encore de bons arguments à faire valoir.
37°2 le matin, c'est avant tout une ambiance et un esprit de liberté, une certaine douceur de vivre, une folie légère... Avant une fin dramatique et ratée.
On peut essayer de comprendre le dilemme de Beineix : si le film s'était terminé comme il avait commencé, on aurait eu affaire à un "feel good movie". A mon sens, c'eut été mieux que cette fin brutale et difficilement compréhensible.
Dalle joue à la limite de la justesse, c'est parfois trop, mais Anglade et Darmon sont formidables.
Si vous avez l'occasion de voir les bonus du DVD, foncez sur celui consacré à la plage du tournage, particulièrement instructif quant à l'urbanisation du littoral.