Les meilleurs albums de Pink Floyd selon PiotrAakoun

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Août 1967 (Premier album studio)

Le sommet est atteint dès leur premier album ... psychédélique, cosmique ... incontournable ... on se délecte dès le début et la fin est délicieuse (Bike) ... cet album est considéré comme un exemple typique de psyché folk britannique.

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Janvier 1977 (Dixième album studio)

Cet album sort en réaction au fait que le groupe est de plus en plus critiqué et stigmatisé par le mouvement punk pour qui il symbolise l'avachissement et la prétention du rock, bien loin de la simplicité des débuts du rock 'n' roll ... la guitare a cependant une influence nettement plus importante sur cet album que sur ses prédécesseurs, et est bien plus rock ... il contient de longs morceaux liés par un thème commun, emprunté en partie à La Ferme des animaux de l'écrivain George Orwell, où les cochons, les chiens et les moutons sont une métaphore de la société contemporaine ... y a t'il album-concept plus parfait ?

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1990 (Second album live)

Bootleg du Live at Pompeii des Pink Floyd, cet album est tout simplement la bande audio (remasterisée et épurée) de ce concert magique.

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Octobre 1969 (Quatrième album studio + premier album live)

Les Pink Floyd, après le départ de Syd Barrett se trouvent démunis ... ils ont une idée géniale, chaque membre créera ses compostions ... cela donne une face studio loin d'être inintéressante ... cela révèlera en tout cas tout le potentiel créatif du groupe ... très éclaté mais jouissif ... très expérimental ...on est loin du ratage ... même s'il est de bon ton de dénigrer cet album (puisque Roger Waters l'a dit) ... la seule petite erreur étant peut-être d'avoir laissé chaque membre faire ses solos sans l'intervention des autres ... le "Live" lui est sublime ... plus abouti que par le passé ... très proche de l'énergie qui peut se dégager de "Live à Pompeï" ... Ils ont donné le meilleur d'eux-mêmes ... on sent qu'il est temps de tourner la page Syd ... après cet album, Pink Floyd s'écarte progressivement du psychédélisme pour produire des compositions plus nettement marquées de rock progressif.

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Mai 1971 (Première compilation)

L'album regroupe une partie des singles sortis dans les années 1960 alors que Syd Barrett faisait partie du groupe ... les autres titres sont des reprises de morceaux célèbres ... la sortie de "Relics" eut lieu parce que la maison de disques du groupe, EMI, était préoccupée par le fait que les Pink Floyd étaient allés en studio pour enregistrer ce qui allait devenir "Meddle" sans une chanson ou idée sérieuse en repartant de zéro ...ceci, combiné avec leur calendrier de tournées toujours grandissant, fit réaliser à EMI qu'aucun nouveau produit ne serait sorti pendant un long moment, peut-être même plus d'un an après la fin de leur précédent album, "Atom Heart Mother" ...afin de commercialiser un produit de plus pour les fans, EMI décida de sortir un LP à petit budget sur leur label "Starline", combinant des premiers singles, des faces B, des morceaux d'albums précédents et un titre inédit.

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Septembre 1975 (Neuvième album studio)

Des tensions commencent à émerger lors de l'enregistrement dudit album, qui auraient pu conduire à la dissolution du groupe, mais les efforts des membres génèrent un album touchant ... le morceau principal, "Shine On You Crazy Diamond", est un long hommage à Syd Barrett dont l'esprit semble continuer à hanter le groupe ... "Welcome to the Machine" et "Have a Cigar" sont des critiques acerbes de l'industrie du disque, tenue pour responsable de la déchéance de Barrett ... la chanson-titre, ode acoustique aux absents, conclut en quelque sorte l'album, enchaînant avec la seconde partie de "Shine On" ... pendant l'enregistrement de cet album, Syd est apparu dans le studio ... les membres du groupe ne l'ont initialement pas reconnu tant il avait changé ... en effet, il avait pris du poids, et s'était entièrement rasé ... sa présence a provoqué une grande émotion chez ses anciens amis ... ces derniers furent accablés par la dégénérescence de son état de santé mentale : il sautait partout en se brossant les dents.

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Octobre 1970 (Cinquième album studio)

Dorénavant on sentira l'emprise progressive de Roger Waters, laissant de moins en moins de place aux autres pour le meilleur d'abord, pour le pire au final ... jusqu'à nous ennuyer avec sa prétention ... mais on en est encore loin ... cet album est un véritable joyau ... un bon exemple des nouvelles prétentions artistiques que visent de nombreux groupes de rock à la même époque ... les deux pièces instrumentales qui débutent et achèvent le disque: la première, longue suite éponyme de 23 minutes, pour laquelle participent orchestre et chœurs, et "Alan's Psychedelic Breakfast", collage de sons d'un petit déjeuner entrecoupés de courts passages musicaux, placent le groupe dans le giron de l'avant-garde musicale ... pour l'orchestration et la composition du morceau titre, le groupe fit appel à Ron Geesin ...

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Novembre 1971 (Sixième album studio)

C'est probablement l'album qui a consacré Pink Floyd comme un des groupes majeurs de l'époque grâce à "One of These Days", devenu un classique de leurs concerts, et surtout "Echoes", un titre long de 23 minutes, avec des passages instrumentaux longs et planants ... par ailleurs, c'est "Meddle" qui définira clairement le son de Pink Floyd comme progressif, c'est-à-dire de longues pièces complexes et souvent divisées en plusieurs mouvements, ce qu'avait amorcé l'album précédent.

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Mars 1973 (Huitième album studio)

Album-concept dont les thèmes dominants sont la vieillesse, la folie et la mort ... c'est un album techniquement très élaboré ... avec le talent de l'ingénieur du son et producteur Alan Parsons, les titres sont méticuleusement enchaînés, la guitare de David Gilmour est envoûtante ... Richard Wright joue de ses synthétiseurs de manière tellement innovante qu'elle va donner l'exemple à tout un courant musical, en particulier en Allemagne.

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Juin 1968 (Second album studio)

Un degré différent ... moins psychédélique ... plus décousu ... la maladie de Syd Barrett fait qu'ils est moins présent et cela se ressent fortement dans les compositions, plus léchées ... David Gilmour fait son apparition et apporte sa touche lumineuse ... Les Pink Floyd cherchent une nouvelle voie ... avec une mention spéciale pour le batteur Nick Mason quand même ... si Barrett a écrit la majeure partie du premier disque, il ne contribue que peu au second ... le groupe ayant perdu son principal auteur-compositeur, ce sont désormais les contributions de Rick Wright et Roger Waters qui prendront le relais, avant que David Gilmour, par son jeu de guitare et sa voix, ne prenne plus d'importance encore dans le nouveau son du groupe.

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Novembre 1979 (Onzième album studio)

À la fin de 1978, Roger Waters présente aux autres membres du groupe deux projets d'albums : The Wall dont les thèmes principaux sont le « mur » séparant l'artiste de ses fans et l'aliénation de l'individu par la société, et "The Pros and Cons of Hitch Hiking" qui décrit ses propres fantasmes ... trouvant ce dernier trop personnel, ils choisissent "The Wall" ; le second fera l'objet d'un album solo de Waters enregistré en 1984.

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Mars 1983 (Douzième album studio)

Album sombre et atypique qui porte le nom de Pink Floyd mais qui est présenté sur la pochette comme une œuvre « de Roger Waters interprétée par Pink Floyd » sans Richard Wright ... le bassiste y développe plusieurs idées déjà présentes dans "The Wall", comme la douleur causée par l'absence de son père (à qui l'album est dédié), et attaque violemment Margaret Thatcher qui vient alors de lancer le Royaume-Uni dans la guerre des Malouines contre l'Argentine ... les relations entre les membres du groupe sont alors devenues détestables. Nick Mason est même remplacé par un autre batteur sur la dernière chanson de l'album, tandis que Gilmour est relégué à son rôle de guitariste et ne chante qu'une chanson ... bien qu'il atteigne la première place des charts au Royaume-Uni, l'album ne se vend pas très bien, mettant ainsi fin à une décennie de gloire planétaire.

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Mars 1994 (Quatorzième album studio)

C'est un groupe plus soudé qui sort The Division Bell en 1994, sur lequel on note à nouveau la participation de Michael Kamen et l'apport important aux paroles de Polly Samson, la femme de Gilmour qui cosigne sept titres sur onze. Cet album propulse à nouveau le groupe numéro un des ventes aux États-Unis et replace le groupe au sommet, tant au niveau critique que commercial. Il est le prélude à une gigantesque tournée mondiale, immortalisée par l'album P·U·L·S·E sorti en 1995. Le fait que cet album ait été un réel succès et que Wright, Gilmour et Mason n'aient plus eu rien à prouver quant au Pink Floyd post Waters, explique certainement pourquoi il fut le dernier album de Pink Floyd.

La force d'évocation musicale de Pink Floyd résidant en Gilmour et Wright, on peut néanmoins la retrouver dans la tournée solo de Gilmour en 2006 à laquelle Wright participe. Durant celle-ci, des classiques comme Arnold Layne, Echoes, Fat old Sun, Wot's… Uh the Deal, Breathe et Time sont repris en renouant avec l'esprit d'improvisation et d'osmose musicale des concerts de Pink Floyd des années 1970. Mason se joint même au groupe lors de quelques concerts18. Guy Pratt remplace Waters qui, bien qu'invité, refuse officiellement pour des raisons de planning.

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Juillet 1969 (Troisième album studio)

Un peu décousu ... mais une bonne BO malgré tout ... il faut sûrement voir le film pour mieux apprécier la musique ... elle se distingue par un son acid folk et même heavy metal

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Juin 1972 (Septième album studio)

Bande sonore pour un nouveau film de Barbet Schroeder, "La Vallée", confirme la voie empruntée par le groupe ... on a ici une suite de morceaux dans la plus pure tradition rock, l'enchaînement est sans grande originalité, mais plaisant ... cette même année, le groupe tourne un concert à Pompéi en Italie qui détonne par son absence totale de public : le groupe joue seul au milieu des ruines de la cité romaine.

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Novembre 2014 (Quinzième album studio)

Concocté à partir des sessions d'enregistrement datant de l'époque "The Division Bell", David Gilmour et Nick Mason décident de rendre hommage à Richard Wright décédé en 2008 ... même si la démarche peut poser question à certains, force est de reconnaître que cet album, même s'il est un peu inégal dans l'inspiration et peut s'avérer le moins captivant du groupe, n'en reste pas moins d'une écoute agréable ... le groupe n'aura sorti au final aucun album inécoutable ...

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Septembre 1987 (Treizième album studio)

Après la débâcle avec Roger Waters, c'est pourtant sous le nom de Pink Floyd que le duo restant sort l'album "A Momentary Lapse of Reason", ayant été entretemps rejoints par Richard Wright, officiellement réintégré qu'après la tournée qui suit l'album, à cause de problèmes juridiques ... il est néanmoins crédité aux claviers sur l'album ... un certain nombre de musiciens additionnels sont crédités sur l'album ... Tony Levin, bassiste et violoncelliste de Peter Gabriel, remplace Roger Waters à la basse, Scott Page, au saxophone ... c'est le saxophoniste, guitariste et flûtiste entre autres du groupe Supertramp durant leur tournée de 1983 ainsi que sur l'album "Brother Where You Bound" (1985), auquel avait participé David Gilmour ... du fait de l'absence de Waters, principal parolier du groupe depuis une décennie, le groupe doit se faire épauler à l'écriture des textes ... cet album donne lieu à une gigantesque tournée, dans laquelle Roger Waters est remplacé par Guy Pratt ... Pink Floyd exécute alors la quasi-totalité de l'album et les chansons les plus connues du groupe ... cette tournée donne lieu à un disque et à une vidéo nommés "Delicate Sound of Thunder".

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1981 (Seconde compilation)

Cet album est la seconde compilation officielle du groupe. La majorité des chansons a été remixée par David Gilmour, comme Shine On Your Crazy Diamond, Another Brick in the Wall, l'introduction de Wish you Were Here. Money a été réenregistrée au complet par David Gilmour.

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juin 1983 (Troisième compilation)

Ce disque contient une chanson inédite, Embryo, qui devait sortir sur l'album Ummagumma mais qui avait été rejetée. Cette chanson a souvent été jouée en spectacle depuis les débuts du groupe, mais n'avait jamais été placée sur un album. Par ailleurs, Brain Damage et Eclipse ont été remixées pour la sortie de cette compilation.

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1988 (Troisième album live)

Cet album donne lieu à une gigantesque tournée, dans laquelle Roger Waters est remplacé par Guy Pratt. Pink Floyd exécute alors la quasi-totalité de l'album (A Momentary Lapse of Reason) et les chansons les plus connues du groupe, telles que Money, Shine On You Crazy Diamond ou Comfortably Numb.

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Juin 1995 (Quatrième album live)

Double album enregistré en public, à la suite à la tournée de Pink Floyd en 1994 sans Roger Waters (celui-ci ayant quitté le groupe en 1985). Il est produit par James Guthrie et David Gilmour. Il s'agit d'une compilation principalement issue des concerts donnés à l'Earls Court à Londres au mois d'octobre 1994 et des concerts à Modène, à Rome et à Hanovre. Il s'appuie sur une variation de la setlist constituant un concert du groupe.

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2000 (Cinquième album live)

Double album live ... il a été enregistré lors de la tournée de The Wall, en 1980 et 1981, restée fameuse pour sa logistique exceptionnelle : un mur se bâtissait sur la scène, séparant peu à peu le groupe du public jusqu'à être achevé, au moment de la chanson Goodbye Cruel World, puis finalement détruit à la fin de The Trial, suivant le récit de l'opéra-rock.

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2001 (Cinquième compilation)

C'est leur dernier album-compilation à ce jour sous le nom de Pink Floyd. Il contient deux disques d'environ 80 minutes chacun. C'est la compilation la plus complète du groupe, bien qu'elle ne contienne aucun titre provenant des albums Ummagumma, Atom Heart Mother, More et Obscured by Clouds.

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2011 (Septième compilation)

Compilation de Pink Floyd réalisée dans le cadre de la campagne de promotion Why Pink Floyd...? de 2011–2012

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Janvier 1970

Premier album solo de Syd Barrett après que celui-ci a été exclu du groupe Pink Floyd.

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Novembre 1970

Second et dernier album solo de Syd Barrett.

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Janvier 1987

Album contenannt les cinq chansons qu'il a interprétées pour le John Peel Show le 24 février 1970.

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Octobre 1988

Compilation de Syd Barrett ... il s'agit en fait de prises alternatives de chansons de ses albums solo précédents, "The Madcap Laughs" et "Barrett" et de chansons enregistrées à cette occasion mais qui n'ont pas été retenues.

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Mars 2004

Album d'enregistrements live pour la BBC Radio 1 ... il reprend les titres de The Peel Session, enregistrés en 1970 et édités en 1987, avec trois titres supplémentaires tirés d'une émission de Bob Harris enregistrés en 1971 et restés inédits jusqu'alors.

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Octobre 2010

Cet album-compilation n'a rien d'original si ce n'est qu'il compile merveilleusement (et pour la première fois) les titres les plus emblématiques de Barrett, au sein des Pink Floyd jusqu'à son oeuvre en solo ... l'enchaînement des premiers titres des Floyd ("Arnold Layne" sublime, "See Emily Play", "Matilda Mother") avec les titres personnels de Barrett ("Effervescing Elephant", "Bike", "Baby Lemonade", "Gigolo Aunt") est absolument parfait dans l'esprit d'une "introduction" comme l'indique le titre du disque ... mieux, au milieu des productions psychédéliques actuelles, d'Animal Collective à Flaming Lips, Archie Bronson Outfit et consort, elle permet de capter à quel point la musique de Syd Barrett était d'une modernité absolue, à la fois avant-gardiste et intemporelle dont cette compilation s'avère donc être à la fois une belle leçon d'histoire musical et un hommage émouvant.

En ces temps de récession et de manifestation (pour la bonne cause), et alors que 1968 est dans tous les esprits, il est doux de laisser tomber quelques instants les pancartes et de retourner 40 ans en arrière en ce plongeant dans la discographie torturée et baroque du poète rock azimuté qu'était l'ex-Pink Floyd Syd Barrett, dont David Gilmour nous offre ces jours-ci un panorama plein de respect ...