Game of throne Jambon

Saviez vous que hamburger peut littéralement être traduit par jambon steak haché ?

Je sais, ma critique commence de manière passionnante mais je pense à de ces trucs en regardant cette série, ça en est désolant. Le hic, c'est que, en ce moment, je ne suis passionné par rien en terme de streaming, la saison deux de Invincible m'a saoulé, y a plus rien chez Disney et j'ai pas envie de me retourner chez Netflix. Alors je regarde Gotham, une série que j'ai eu vite fait d'abandonner à l'époque, tant le scénar est saucissonné même si parfois on peut penser à la série BD Gotham Central qui axait l'histoire des policiers de Gotham dans leurs confrontations infructueuses envers les super vilains et les conséquences dans leurs vie presque banales.

Sauf qu'ici, le commissaire Gordon est une espèce de super flic, super tout le temps en colère, pas un prout, rien. Que Bullock ne sert que de contrepoint un peu à la ramasse, ni drôle, ni pourri, et les autres flics ne sont que des PNJ (ou RPG).

Mais le pompon couronne la galerie de vilains. Pour un E Nygma presque potable, on a un Pingouin sans cesse dans les plumes, un Falcone pré retraité (qui d'ailleurs prend sa retraite), une rombière borgne et un défilé de super pas gentils surjouant dans tous les sens.

Néanmoins, on avance dans le mystère Bruce Wayne, son caractère de chauve souris pouvant trouver une source dans la privation de BATifolage durant toute sa jeunesse.