Benched
5.8
Benched

Série USA Network (2014)

Manquant d'originalité mais jouant très habilement sa partition, plaisant à voir parce que joué par une blonde sur laquelle nous reviendrons plus bas, et appuyée par un casting de seconds couteaux compétents, facile à suivre et bourré de personnages hauts en couleur, n'atteignant pas toujours la cible mais ne manquant pas de munitions dans son escarcelle, bien rythmé pour la raison précitée, gentiment acerbe et toujours plein d'esprit : Benched est à la fois une belle histoire, parce qu'on tient là un très bon exemple de sitcom américaine réussie, et une histoire triste, du genre à vous plaire pleurer dans le noir, parce que son abruti de network l'a annulée avant même qu'elle n'ait atteint sa seconde saison. Amen. La suite.


Voir un show se faire impitoyablement sucrer par sa chaîne n'est jamais un spectacle agréable. Si l'on n'y a jamais jeté un œil, ni n'avait aucune intention de le faire à court ou moyen terme, ça laisse tout au plus froid (exemples personnels parmi tant d'autres : Dallas, Covert Affairs, Jersey Shore, La Ferme Célébrités). Si l'on a eu la chance de lui donner sa chance, et que l'on en est tombé raide dingue, c'est une déchirure, inspirant dans les pires cas les heures les plus sombres de notre histoire, et des envies de meurtres heureusement non traduites en actes à l'égard des exécutifs de la chaîne (exemples personnels parmi un peu moins tant d'autres que plus haut mais quand même : Boss, Life, Deadwood). À la limite, l'annulation d'un show peut être vue comme une bénédiction dans un cas : celui où ledit show est d'une nullité telle qu'elle en devient nocive, voire radioactive pour le spectateur, et, a fortiori, celui où ce pauvre spectateur est dans une certaine mesure CONSCIENT de la nullité de ce qu'il regarde, mais simplement trop faible et lâche pour décrocher (exemple personnel : The Borgias). Dans ce cas, en prenant la décision douloureuse de sucrer le show en question, une chaîne peut sauver des vies. Notre cœur saignera à l'idée d'avoir perdu un temps que l'on aurait pu précieusement passer à se refaire l'intégrale d'Eastbound & Down, mais bon, on s'en remettra.


Hélas, Benched n'est pas de ce type. Même si on le voulait très fort, sa durée l'en aurait de toute façon empêché : étant doté du format sitcom classique (22 minutes) et ne bénéficiant, au final, que d'une seul saison courte (12 épisodes), son visionnage entier ne vous demandera que quatre heures et demi et quelques ridicules brouettes. Au lieu de mater pour la vingtième fois la trilogie du Seigneur des Anneaux en version longue et faire chier votre entourage avec ça dans les transports en commun, et à condition de ne pas être réfractaire au genre, vous pourrez changer un peu d'air. Et vous aurez bien raison, car Benched est TRÈS divertissant. On comprend l'exécution sans sommation de mauvaises herbes comme Selfie ou A to Z. Pas celle-ci. Benched a été condamné à tort, votre honneur. On ne plaisante pas avec ces choses-là.


Attention, on n'est pas non plus dans de la sitcom de classe A. Vous n'allez pas MOURIR de rire du début à la fin. On n'atteind certainement pas les hauteurs des modèles du genre comme Seinfeld, Friends, HIMYM ou The Office. Si vous avez déjà donné dans les comédies judiciaires (curieuse expression), ne vous attendez pas à voir votre monde renversé à 180 degrés : sa forme de Benched est générique au possible (show à une caméra typique), le point de départ de son histoire est assez bidon, prétexte à un développement de la figure du poisson hors de l'eau, très appréciée dans la comédie et donc assez éculé (après une énorme crise de nerf publique suite à une rupture douloureuse, une avocate en droit des sociétés de grand standing ne trouve plus qu'un job d'avocate commise d'office qui la force à côtoyer à la fois les boulets de la profession ET des criminels de très, très bas standing), et il rappelle même celui de Community (même hot shot central, mêmes boulets, même choc des classes). Sur le papier, son personnage central, Nina Whitley, est l'archétype de la BCBG prête-à-cuisiner dans un univers forcément à l'opposé de son monde (sinon, pas drôle) ; Phil Quinlan est l'archétype du sidekick saint d'esprit et un peu là pour renvoyer la balle à l'héroïne hystérique (en se moquant généralement de ses excentricités), personnage auquel s'identifie généralement le public, et love interest en puissance parce que les opposés s'attirent c'est bien connu ; Trent Barber est l'archétype du bôgosse prétentieux et le némésis de l'héroïne parce que star de l'accusation, et ex-futur mari l'ayant larguée par SMS à quelques jours de leur mariage, ayant donc l'occasion de la narguer quotidiennement au tribunal par sa seule présence ; le reste des personnages est un bestiaire forcément déglingué de collègues dégénérés (un hispano bonne pâte largué par sa femme, un boss renoi qui gueule pour dire bonjour, une quadra névrosée et nulle à son job, une petite grosse stagiaire qui les surpasse tous - toujours prendre une petite grosse, cf. Melissa McCarthy. Une petite grosse, ou un Indien !). L'action se partage essentiellement entre le bureau (lieu de réunion de la fine équipe) et le tribunal (lieu où tout part généralement en vrille). Et l'arc narratif se résume à une seule chose : Nina va-t-elle tout pardonner au beau Trent et retomber dans ses bras, ou bien va-t-elle écouter son cœur plutôt que son désir d'acheter le dernier sac Prada, et courir panser les blessures du plus authentique Phil ? D'accord, ça fait un peu Feux de l'amour, présenté comme ça, mais pas mal de bonnes séries, si remplies d'action fussent-elles, n'accrochent le gros du public qu'avec une amourette tourmentée (Mulder et Scully vont-ils ? Et Jack et Kate ? Et Chuck et Sara ? Et Ross et Rachel ? Et Ted et Robin ? Et Carrie et Brody ? Et Peter Bishop et Olivia Dunham ? Et Gaius Baltar et Caprica Six ? Et Jeff et Annie, ou Britta ? L'intérêt étant bien sûr que l'on peut apprécier le show en se foutant parfaitement de cette partie).


Votre serviteur, lui, ne s'en fout pas. C'est une fleur bleue. Il n'en a pas honte. Il aime quand les gens s'aiment d'amour. Alors tant qu'à faire, il préfère quand un film ou quand une série propose un personnage féminin de qualité, avant même sa contrepartie masculine. Parce qu'il aime les filles. Benched a une fille. Et une bien. Elle est son effet spécial, et, assez commodément, son actrice principale : Eliza Coupe. Avant d'aller plus loin dans un chapitre qui s'annonce long, assumons déjà, et sans détour, le léger favoritisme dont bénéficiera une fille pareille dans l'esprit du public mâle hétérosexuel et normalement constitué, face à une mosaïque déprimante de comédiennes pas très bandantes telles Amy Poehler (Parks & Recreation), Virginia Chance (Raising Hope), Erin Hannon (The Office), Lisa Kudrow (Friends), ou Mindy Kaling (The Mindy Project)… Avec ses jambes de trois mètres à réveiller les morts (et qu'elle montrait bien sur l'affiche de Happy Endings…), ses mensurations de mannequin, sa blondeur flamboyante et ses grands yeux n'attendant qu'un coup de liner pour entrer dans la case d'un mangaka dévoué, Eliza Coupe, sorte de croisement entre Cameron Diaz et Taylor Schilling, est juste très parfaitement belle à voir. Alors quand on tombe sur le programme, déjà, même si c'est nul, on ne ferme la fenêtre ou ne zappe pas TOUT DE SUITE. Mais si ça s'arrêtait là, si la nana n'était qu'un pot de fleur sans talent du type de Christina Applegate, comme la vie est courte, on finirait tout de même par fermer la fenêtre, ou zapper au bout de quelques minutes. Or, avec Eliza Coupe, ça ne s'arrête pas là. Avec Eliza Coupe, on entre dans le club très fermé des actrices à la fois douées en comédie ET belles à voir, aux côtés d'une Alison Brie (Community), d'une jeune Lauren Graham (Gilmore Girls), ou encore, dans une bien moindre mesure mais quand même, d'une mésestimée Olivia Munn (Attack of the show). Exactement, mesdames et messieurs, jetez un œil à la faune des comédiennes de stand-up et des comiques françaises, et appréciez le ratio de nanas bien roulées. Les raisons derrière ce phénomène sont multiples : d'abord, comme chez les garçons au lycée, les reines du bal ressentiront moins le besoin de développer un sens de l'humour pour s'intégrer (premier écrémage) ; ensuite, la scène comique étant à dominante masculine, les comédiennes en herbe se sentent peut-être obligées d'imiter les mecs jusque dans leurs traits les plus masculins, donc les moins gracieux (cf. une Muriel Robin chez nous pour prendre le pire exemple, deuxième écrémage) ; pour finir, bien que le gars moyen aime mater une fille super-canon, il aura peut-être plus de mal à se poiler devant elle que devant une petite grosse qui ne sollicitera aucune autre partie de son anatomie (dernier écrémage). Votre serviteur en oublie sans doute, mais le présent texte n'est pas un essai sociologique, alors lâchez-le un peu. L'objet de l'attention, c'est Eliza Coupe. Et Eliza Coupe, dont chaque apparition dans la sitcom de Happy Endings relevait en flèche le niveau de cette série de catégorie B+ (à voir pour le seul couple qu'elle y formait avec Damon Wayans Jr !), elle explose tout. Aux côtés d'Alison Brie, elle mérite le label très prisé de cartoon vivant le plus sexy du continent nord-américain. Si l'on devait la rapprocher de quelqu'un, ce serait peut-être de Jennifer Aniston époque Friends : pas une GRANDE comédienne, mais un autre bon exemple, et quelque chose de tout de même sacrément joli à voir. C'est quand on est suffisamment béni par la nature (avec un visage à la fois beau et expressif), que l'on sait exploiter cette nature au maximum de sa capacité (en élargissant exponentiellement sa palette d'expression, à la Jim Carrey), que l'on n'a pas peur du ridicule (essentiel), et qu'on sait faire le clown sans avoir à s'enlaidir, que l'on fait sauter la banque. Eliza Coupe fait sauter la banque. Si la télévision américaine était contrôlée par un pouvoir centralisé, on recommanderait vivement à son PDG d'annuler TOUS les shows dans lesquels jouent les autres membres du casting de Happy Endings, et d'investir l'argent économisé dans le retour de Benched. Ou alors, qu'on file un nouveau bon dieu de show à la comédienne, et un béton, hein, un qui aura six saisons et un film. Parce que vous savez quoi ? Certaines personnes, dans ce monde, le méritent. Des personnes droites, honnêtes, qui travaillent dur, paient leurs impôts, aident les petites vieilles à traverser la rue et leur concierge à sortir les poubelles, et n'attendent pas grand-chose de la vie en retour, sinon ce genre de petits bonheurs. Des belles âmes qui méritent soixante-dix épisodes d'Eliza Coupe. Juste Eliza Coupe, si vous voulez, assise sur une chaise, pour réduire au maximum le budget. Ou au bord d'une piscine. En bikini. En train de manger une glace. Ok, plusieurs glaces, parce qu'une seule ne pourra pas tenir sur plusieurs épisodes. Mais pas trop non plus, parce que ça la fera grossir, et on n'a pas envie qu'Eliza Coupe grossisse. En plus, parce que ça lui filera des carries, et la forcera à quitter la piscine pour aller chez le dentiste. Voyons voir. Que pourrait-elle mettre dans sa bouche qui ne la ferait pas prendre de poids. D'accord, on arrête, c'est allé trop loin.


De toute façon, le message est passé (peut-être un peu trop, d’ailleurs) : rien que pour elle, donnez sa chance à Benched, et à partir de là, soit vous tombez illico sous le charme, soit vous roulez pour Al Qaida.


Mais il n'est pas question de dire que Benched est une sitcom bas-de-plafond du type de Bad Judge (pour rester au tribunal) tout juste sauvé des eaux putrides de la nullité télévisuelle par une show-woman vampirisant l'écran. Si Benched a cette note, c'est parce qu'elle est drôle. Sans matériau de base de qualité, la plus irrésistible comédienne du monde ne peut faire grand-chose, sinon la clown, et on se lasse assez vite des clowns (sauf peut-être ceux écrits par Stephen King). Benched est la première création de Michaela Watkins, comédienne douée et transfuge du SNL, dont le manque d'expérience dans un fauteuil de showrunner laissait craindre le pire, mais qui s'en sort au final avec les honneurs. Parce que son humour correspond parfaitement à l'esprit du temps et rappelle pas mal d'autres sitcoms à succès, son côté un peu décalé ne paraîtra pas si décalé que ça, mais son essai dans le répertoire offbeat n'en est pas moins efficace, porté par un rythme aussi soutenu que le timing comique de son héroïne. Contrairement à ce qu'on peut lire sur le web anglophone rempli de blasés du caleçon, c'est bourré de morceaux mémorables et de trouvailles tordantes : la crise de nerfs du pilot, Nina à cheval et en mini-jupe sur un portique automatisé, le discours Boring Larry aspergeant la juge dragueuse avec son spray au poivre, le petit collégien asiatique et grassouillet Walter se fendant d'une des meilleures parodies du fameux "I'm out of order ? You're out of order !" de Pacino dans And Justice For All, quasiment chaque apparition de l'excellent juge Nelson (dont l'interprète aura déjà brillé en juge tout aussi excellent dans The Good Wife !), ou encore la thérapie de groupe avec Diamond, grand renoi et parfait branleur incapable de se réinsérer parce qu'il faut prendre le bus pour aller à l'ANPE et qu'un ticket coûte de l'argent et qu'il n'a pas d'argent, d'où la vie de menus larcins…


Au rayon interprétations, Jay Harrington (Phil) campe parfaitement son archétype (vous savez, le yang relax qui renvoie la balle à la ying hystérique), qui profite largement de sa gueule de gars avec qui ont boira volontiers une bière ; Oscar Nunez (Carlos), bien mieux utilisé que dans The Office, hérite du personnage le plus humain (parce qu'aux failles réalistes) du show ; l'excellente comédienne de stand-up Maria Bamford (Cheryl) flirte perpétuellement avec l'overdose bouffonne sans jamais y sombrer (on se demande juste comment elle peut garder son job), et Peter Spruyt est inénarrable dans le rôle du basset liquéfié et dépressif Boring Larry (qui rappelle un peu le Mr Heckles de Friends). Au rayon des griefs, il faut reconnaître que cette galerie incarne également la limite du show : ils sont sympas, mais aucun d'eux n'auraient le charisme ni la substance suffisants pour porter un épisode entier sur ses épaules. Pour rester dans l'univers d'Eliza Coupe, prenons Happy Endings : le show se joue à six personnages, mais quatre d'entre eux mériteraient leur propre sitcom, le ratio étant bien sûr supérieur du côté d'un HIMYM. Benched, c'est juste Nina Hartley, AVEC à ses côtés Phil Quinlan, et le reste n'est que du remplissage plus ou moins réussi.


Mais si le show assure du côté de ces deux-là, n'est-ce pas suffisant ?, osera-t-on demander. Ben, si. Au départ pas parfaitement au point, et bien que par instants un peu plan-plan, leur duo finit par faire des étincelles, l'alchimie opère, et l'on se rend compte que ce couple peut mener quelque part dans le paysage de la comédie US à mesure que chacun atteint une épaisseur dramatique suffisante pour qu'on se prenne justement au jeu du "will they/won't they". Question dont on ne saura sans doute jamais la réponse, puisque cette dernière aurait sans doute été apportée dans une deuxième saison… mais les fondations sont là, et c'est déjà pas mal.


Alors, on pourrait ne pas faire nos marquises. Le show pourrait s'estimer heureux, ainsi que ses amateurs, d'avoir eu droit à une saison entière lorsqu'une myriade d'autres shows, la majorité invisible, soulignons-le, sont tués dans l'œuf, sabrés dès le pilote carrément pas diffusé, et quand on considère le chemin de croix qu'est la production d'une série dans le monde impitoyable de la télévision américaine, la gestion de l'audimat alors que l'échelle de Nielsen est caduque depuis Mathusalem, la gestion des exigences irrationnelles de la chaîne, la gestion des annonceurs. Sauf que non. D'abord, parce que ça entrerait en contradiction avec l'objet de cette critique. Ensuite, parce que se plaindre, on l'a déjà vu par le passé, peut payer lorsque l'exercice est pratiqué par une quantité suffisante de spectateurs. L'union fait la force, tout ça.


On le répète, Benched n'est pas un chef-d'œuvre. Benched n'atteint pas le niveau d'un Brooklyn Nine-Nine au rayon nouveaux cultes de la sitcom américaine. Mais il n'est pas moins drôle qu'un You're the worst, une des meilleures surprises de l'année dernière, et il est bieeeen supérieur à des fours comme Two Broke Girls ou Suburgatory qui ont pourtant eu droit à plusieurs saisons - ne parlons pas de Big Bang Theory, qui aurait dû s'arrêter à la deuxième. La différence avec ces shows étant peut-être, surtout, que les créateurs de Benched ont eu la très mauvaise idée de se vendre à un network parfaitement incompétent, et essentiellement spécialisé en dramas bas de gamme : USA. Tout porte à croire qu'il lui aurait suffi d'une deuxième saison pour se trouver et prouver sa valeur, comme c'est le cas de beaucoup de séries. Au lieu de ça, Benched n'est qu'une histoire de potentiel gâché, énième victime d'une mauvaise campagne de publicité de la part d'une chaîne qui ne croyait pas en elle dès le départ (voir le changement de dernière minute dans le calendrier, avançant la date du season premiere au 28 octobre, confrontant ainsi la petite sitcom aux mastodontes de l'automne). Noooon, la chaîne préfèrera rediffuser pour la cinquantième fois, et dans n'importe quel ordre, les cinq mille épisodes de NCIS ou abrutir son audience à coup de télé-réalité. D'ailleurs, une leçon à tirer de l'expérience Benched est qu'il faut se méfier de la chaîne USA comme de la peste : en quarante ans, et plus de trente productions originales, elle n'en aura proposé que X de qualité convenable : Les 4400, Burn Notice, et dans une moindre mesure, Monk (ruiné par une fin catastrophique). Pas un bilan très glorieux. Alors, auteurs de sitcom, vous savez ce qu'il vous reste à faire. Ou ne pas. En même temps, cette critique est écrite en français, donc aucun ne risque de la lire.


Mais ce n'est pas important. Finissons malgré tout sur une note positive : Benched, c'est 4h30 supplémentaires d'Eliza Coupe, soit quelque chose de supérieur à la moyenne de la sitcom américaine, au cas où le message ne serait passé depuis trois heures. Reste maintenant à croiser les doigts pour la miss, et espérer la retrouver très bientôt à l'écran. Sur une autre chaîne.

ScaarAlexander
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le 22 janv. 2015

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