• C’est une pochette noire. La silhouette d’un hôtel assoupi se détache en contre-jour, à la tombée de la nuit. • C’est mon premier slow, exaltant, mais éprouvant par sa durée de plus de six minutes. • C’est mon premier 33 tours. Je me vois en train d’ouvrir la pochette, c’était hier. • C’est ma première chanson anglophone, péniblement déchiffrée à l’aide d’un dictionnaire, dans un... Lire la critique de Hotel California