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Un piano, une guitare, la voix nasillarde de Robert. Un court texte sur l'esclavage, pas de refrain, à part une conclusion implacable à chaque fin de couplet : "no one can sing the blues
like Blind Willie McTell".
Chaque couplet étant une petite peinture, une petite fresque décrite en quelques mots. C'est très simple, très efficace, pas démonstratif, seule la mélodie pousse au lyrisme.
Créée
le 14 mai 2021
Critique lue 30 fois
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