Dernier des quatre romans du canon holmésien, La Vallée de la peur est construit sur le même modèle que Une Étude en rouge : une première partie où Holmes enquête sur un meurtre étrange, puis une seconde partie constituée d'une très longue analepse américaine qui éclaire les causes du meurtre. Malheureusement, la recette est fatiguée, tout autant que Conan Doyle visiblement : le mystère n'a rien de bien folichon, pas plus que le cadre ou que les personnages, malgré les allusions au docteur Moriarty, censé tirer les ficelles dans l'ombre. Se laisse lire, sans plus.
Créée
le 8 oct. 2012
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