Bon. Le livre est intéressant car il dénonce la bien pensance de cette gauche caviar, où tout est permis, les principes de l'éducation abolie pour être libre. En gros. Dénonciation aussi de l'inceste, rompant ainsi ce traditionnel cliché que cela n'arrive que dans les familles populaires. Perdu, ça touche aussi les bourgeois et les intellectuels.
Le livre, court, est extrêmement fastidieux à lire tellement la plume de l'auteure est fade, cliché et ennuyeuse. On n'est pas dans un style journalistique mais celui d'un journal intime extrêmement minimaliste.
Créée
le 13 avr. 2022
Critique lue 25 fois
D'autres avis sur La Familia grande
L’embolie médiatique face aux révélations de Camille Kouchner, met à mal un mec de pouvoir, place le curseur médiatique sur l’endogamie supposée d’un monde (Sciences Po, politique, ENA), d’un...
le 10 janv. 2021
12 j'aime
1
"Aucun sens critique ? L'art ne justifie pas tout. Ne renonce pas au combat idéologique" dit la mère de Camille à sa tante. Impossible de résister à le lire, l'actualité en a à la fois trop mais...
le 12 janv. 2021
9 j'aime
L’histoire d’une emprise co-partagée qui fout la haine. C’est courageux, brut, ça foudroie et ça serre la gorge. C’est moins écrit que du Springora, trop décousu au début. Mais c’est fort et...
Par
le 18 janv. 2021
5 j'aime
Du même critique
Cet essai condense une grande majorité des épisodes du podcast Les couilles sur la table, tout en apportant quelques éclairages supplémentaires. Le style est agréable et fluide, les thématiques...
le 14 janv. 2020
2 j'aime
Dommage : on est à deux doigts du chef d'oeuvre. Liv Maria est un roman écrit de manière magistrale, le style est sublime. L'histoire avait tous les détails pour en faire quelque chose de magique, ce...
le 7 août 2022
1 j'aime
J'ai grandi avec Skins, ce qui inclue une passion adolescente pour Effy Stonem et de facto, Kaya Scodelario qu'on avait pu retrouver dans Le Labyrinthe, Les Hauts de Hurlevent. Au final, Spinning Out...
le 3 févr. 2020
1 j'aime
