Lire « L’étranger » c’est se retrouver sur une plage brûlante par une journée en enfer. Le soleil vous brûle la peau, le sel vous irrite les muqueuses et tout cela dans un grand ralenti criminel. L’ « autre » est comme évaporé par la chaleur intense. Un très grand livre qui dépasse largement le cadre d’une simple étude en lycée.
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le 6 juil. 2022
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