Vus en 2021 : animes

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Une fin satisfaisante je suppose, mais la saison 3 reste dans la lignée des deux autres, avec toujours des manques un peu embêtants... En plus, la version anime a ajouté des choses qui n'étaient pas dans le livre, donc des fois c'était un peu déroutant.

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Ravage-moi gayment la carotide

Je suis assez fan de Jun Mochizuki (bon, okay, de Pandora Heart), donc j'ai aimé retrouver son style en anime. Les vêtements, les décors, etc, c'était génial.
Relations des personnages sympathique, mais classique. En fait, même le scénario est classique.

Ce que je retiendrai de VnC, c'est la sexualisation-mais-pas-tout-à-fait des personnages. Les scènes dans lesquelles ils se font sucer les artères m'ont souvent paru plus érotiques que d'habitude. Ne cherchons pas d'érotisme dans Hellsing, mais je ne me souviens pas que Vampire Knight m'ait donné cette impression, et pourtant, il me fallait pas grand-chose quand j'avais 12 ans. Les scènes de morsure de Diabolik lovers ressemblaient juste à une forme de torture... Je n'ai peut-être pas vu assez d'animes de vampires, mais pour le coup, le côté "intime" de la morsure est assez bien géré dans VnC. Ce qui m'a quand même perturbée, c'est la banalisation de tout ça, comme quand Noé dit de Vanitas que son sang lui fait envie... En fait, je ne savais pas trop sur quel pied danser, ship yaoi ou pas ship yaoi ?! Non parce qu'il y a quand même Jeanne et Domi dans l'équation. Les sentiments "amoureux" de Vanitas pour Jeanne étaient vachement rapides et plutôt exagérés.
Plusieurs moments un peu fouillis, mais bonne expérience de visionnage.

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C'était trop bien !
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Cf critique

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Confrontation constructive

Hésitation entre 6 et 7 pour la note. Opening et ending pas mal, les dessins sont simples mais efficaces, ils contribuent à l'ambiance parfois contemplative de la série. C'est en grande partie un slice of life adolescent classique, avec des personnages secondaires stéréotypés et sans surprise.

La force de l'anime était probablement la construction de son personnage principal. Un ado de la campagne (petit big up pour l'accent, très audible et parfois difficile à suivre, mais c'était cool), doué au shamisen, mais qui n'a appris qu'en imitant son grand-père. Il n'a jamais été intéressé par rien ni personne, et ne prête attention qu'au "son" de son aïeul. Ce qui pose problème le jour où ce dernier meurt, car le héros n'a pas atteint son niveau, et ne l'atteindra jamais. Les 12 épisodes sont l'occasion pour le héros de s'opposer à et de découvrir différents styles de shamisen, ainsi que d'apprendre à jouer non pas pour lui-même et son égo, mais aussi pour les autres, adoptant un rôle de soutien dans une représentation en groupe avec ses camarades novices. L'anime décrit bien la période ado où l'on se cherche, mais aussi où l'opinion des autres et leurs attentes comptent beaucoup. Sawamura (héros) a des parents influents dans le monde du shamisen, et chacun a une idée très précise sur la manière dont leur fils doit jouer, n'hésitant pas à le dire haut et fort. Le personnage de la mère est dynamique, mais je l'ai trouvé imbuvable au fur et à mesure de l'avancée des épisodes.

L'autre point fort de l'anime est la qualité des musiques. On sent l'effort apporté à cet aspect, puisqu'on remarque les différents styles et les variations dont les spectateurs parlent etc. C'est agréable de voir un anime mettre en scène son sujet principal (et par là je pense à Ahiru no sora, anime de basket dont les scènes de match étaient souvent figées, pas animées).

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Les voix de la guerre

L'horreur de la guerre est bien représentée, entre le super pouvoir du héros et les morts de certains personnages, de manière parfois totalement anonyme, ce qui fait écho au désintérêt qu'ont les Albas pour les 86. Les personnages principaux ont une bonne évolution.

Le rythme des révélations est très bien géré et expliqué, les raisons de faire du gouvernement sont assez cohérentes. On a une réponse assez tardive à une question qu'on se pose : si les 86 passent un temps donné dans l'armée qu'en est-il de ceux qui sont allés au bout ? Vu la haine que leur vouent les Albas, on imagine mal qu'ils les accueillent à bras ouverts, et la question de leur devenir reste un certain temps en suspens dans la série.

Le bémol était le personnage de Lena. Dès le départ, elle est acquise à la cause des 86, alors que tout est fait pour qu'elle soit contre. Pour moi il n'y avait aucune raison qu'elle ne fasse pas comme le reste de la population. Le fait d'avoir vu la guerre, d'avoir constaté que les 86 sont humains et d'avoir eu un père lui-même engagé en leur faveur aurait pu entrer en ligne de compte, mais beaucoup d'Albas connaissaient des 86 avant qu'ils ne soient déportés, y compris Anette. Pourtant, l'opinion générale les dépeint de façon très négative. Ça semble incongru que Lena soit pro 86, ou plutôt, qu'elle soit la seule à l'être. Il aurait pu être plus intéressant de partir avec un personnage ayant une position plus contrastée, voire même une héroïne suivant l'opinion de la société, de manière à mieux interroger le racisme, les causes et conséquences, et mettre le personnage dans une position de réflexion. Ici, son point de vue est déjà fait, et bien qu'elle n'imagine pas l'ampleur de l'horreur vécue par les 86, la vision qu'elle a d'eux n'évolue pas. La scission entre ce pov et celui de ses compatriotes est tellement forte qu'elle ne m'a pas paru plausible.

En plus, c'est une fille, donc il fallait forcément la faire tomber amoureuse du héros... pff...

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Si Neron et Lelouch avait eu un enfant...

Toujours réussi graphiquement, mais l'anime garde les défauts de sa première saison. Conclusion assez peu satisfaisante, il n'y a finalement pas tant d'enjeux que ça, ils sont tous balayés d'un happy end suisse... Légère impression de rush concernant le plan des Moriarty, un peu chamboulé par Milverton, dommage.
Bon, un petit point pas mal, c'est qu'on retrouve plusieurs scènes utiles à l'écriture de fanfics, en espérant que les auteurs de contenus dérivés auront été inspirés par toutes ces déclarations... "d'amitié".

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Rêves lucides pour maux d'ado

Wonder egg priority veut explorer les différents mal être des adolescentes. C'est un animé qui voudrait être complexe mais laisse finalement beaucoup de choses inexploitées. Les vilains sont caricaturaux et les combats suivent systématiquement le même modèle. Dans les derniers épisodes, on nous balance plusieurs révélations wtf puis l'anime se finit... Sur une non fin... Je n'ai pas encore vu l'épisode spécial qui tient lieu de conclusion, mais de ce que j'en sais, ça n'est pas beau à voir...
Wonder egg priority aborde des thèmes graves, mais reste en surface et banalise même la notion de suicide.

C'est dommage parce que graphiquement et en matière d'animation, WEP est magnifique. Les relations entre personnages sont intéressantes, particulièrement celle de Rika et de sa mère, même si on n'en voit pas grand chose. Avec Momoe, Rika fait partie des personnages que j'ai préférés. Déjà parce qu'il est possible de s'identifier à son histoire, même si ce n'est personnellement pas mon cas, mais aussi parce qu'elle a une grande réflexion sur elle-même et sur ses fautes. Neiru est pour moi la moins bonne des quatre filles. Son perso sort tout droit d'un roman SF, impossible de s'identifier ou de voir en elle l'expression de problèmes adolescents. Ai est assez transparente, bien qu'elle occupe une majorité du temps d'écran. J'ai eu du mal à trouver un intérêt à son histoire, je ne suis même pas sûre de l'avoir comprise...

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L'infini qui nous sépare

Des shonens, y en a beaucoup, et les clichés qu'on leur associe, il y en a encore plus. On ne peut clairement pas dire que Jujutsu kaisen y échappe, donc, décès de tous les membres de la famille du héros ? Check. Pouvoirs particuliers obtenus de manière wtf ? Check. École d'exorcistes ? Développement très rapide d'un lien fort entre camarades ? Arc de tournoi ? Triple check. Jujutsu kaisen n'est donc pas original dans son propos, même le but du héros est vague comme pas possible (sauver le plus de gens). Mais il y a aussi une part d'égoïsme la-dedans : s'il veut devenir fort et aider les gens, c'est parce que Yûki ne veut pas mourir seul et comme une merde.

C'est là-dessus que l'anime arrive à se démarquer un peu. Les personnages m'ont vraiment plu, Gojo est overcheaté et mega bg donc je n'en parlerai pas, mais je peux citer Nobara, la meuf du trio de héros, qui a le mérite de ne pas avoir de love interest et d'avoir un minimum de personnalité (en plus d'une arme de bonhomme). Il n'y a pas de rivalité inutile entre les membres du trio, ils veulent progresser, oui, mais pas forcément pour aplatir leurs collègues.

La balance entre les moments humour léger et grosse scène dark et gore était bien réalisée, et j'étais très bon public pour l'humour. L'animation est magnifique, et j'emmerde ceux qui disent que les effets n'étaient là que pour cacher la misère, vraiment, je ne comprends pas.

En bref : du classique relevé de touches décalées qui rendent jujutsu kaisen très agréable à regarder et dynamique.

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Difficile de rentrer dedans au début, mais ça allait mieux ensuite. Shinra Kusakabe (le héros) est un personnage agréable, il reste un protagoniste classique pour un shonen (spoil : famille morte, volonté de sauver tout le monde, pouvoirs particuliers...) mais sans le côté tête à claque ou fonceur qu'ont la plupart des héros d'anime de baston. Arthur est juste génial, il est débile à souhait mais ça marche très bien. Son duo avec Shinra est parfait, on sent à la fois la rivalité et la camaraderie sans y voir automatiquement un ship de fanfic (et pourtant dieu sait que j'aime le yaoi), c'était rafraîchissant. Les autres persos de la brigade aussi sont sympas, mais j'ai pas grand chose à en dire. La seule chose qui m'a saoulée était Tamaki, la meuf-chat lambda qui en plus d'avoir un pouvoir nul finit systématiquement à poil... Si j'avais eu des doutes sur l'auteur, c'est ça qui m'aurait fait reconnaître le père de Soul eater...

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Magic mafieux : histoire d'un harem

Episodes planplan où il ne se passe pas grand chose personnages inintéressants, rivalité amoureuse attendue, petits airs de harem inversé où tout le monde veut se taper une gamine de 16 ans nulle à chier et sans personnalité. Fin conventionnelle qui nous fait revenir à la situation de départ, rien n'a changé sauf que maintenant tout le monde connaît les vilains petits secrets de chacun en gros.

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Précocité plus que limite

Bizarrement pas mal, surtout avec Sugita Tomokazu au doublage.
Le gros point noir, c'est comme souvent le ecchi... C'est toujours chiant dans un animé, surtout quand les situations sont redondantes et vraiment tirées par les cheveux, mais là c'est moralement que ça passe mal : ils ont 12 ans max les persos principaux de cette série, c'est dérangeant de les sexualiser à ce point, d'autant que ça ne choque absolument pas les personnages adultes qui les entourent, pire, ces derniers encouragent le héros (8-10 ans physiquement, 40 mentalement) à se taper leur fille.
"C'est ton anniversaire, si tu veux je te donne ma fille pour la nuit, je te l'attacherai même au lit !"...C'est peut-être pas tout à fait exacte comme citation, mais en essence voilà ce que donne l'une des scènes de l'anime.

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Classicisme chez les Yokai

Personnage principal overcheaté qui ne peut pas mourir, ne ressent pas la douleur et ne comprend rien aux relations humaines. Son seul objectif est de retrouver ses parents, je n'attendais pas une grande évolution psychologique en si peu d'épisodes, surtout que la saison se présente vraiment comme une introduction à l'univers, on a finalement très peu de réponses ou de connaissances du monde des yokais à la fin du douzième épisode (qui introduit tout juste les différentes pierres magiques et la guerre monstres/humains), mais Kabane n'est véritablement pas attachant, il est beaucoup trop stoïc et détaché pour être intéressant.
Akira, qui apparemment est un garçon mais impossible pour moi de le voir comme tel, est plutôt chiant et transparent, même s'il a ses moments de lumière. Kon est juste ultra agaçante et Aya me fait le même effet, pour des raisons différentes. Leur intérêt romantique pour Kabane me dépasse...
Au final c'est Shiki que j'ai préféré, sans surprise, c'est typiquement le genre de personnage que j'aime. Nobimaru pourrait devenir intéressant, à voir si suite il y a.
Le reste de l'histoire est assez basique, une agence qui se charge des problèmes de yokai, ça rappelle un peu Fukigenna mononokean sur les bords. La majorité de la saison est consacrée à résoudre les problèmes familiaux du groupe de gamins, mais les histoires étaient sympas. On aurait pu faire sans la sempiternelle rivalité Tanuki /Kitsune, surtout si c'est pour faire de la renarde la même femme fatale et manipulatrice qu'on retrouve partout ailleurs.

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Juste la suite de la saison 1, et comme elle cette saison 2 ne me marquera pas... La première saison m'a laissé tellement peu de souvenirs que pour une fois un épisode recap n'aurait pas été de trop dans un animé.

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Animation moins bien que les précédentes saisons mais ça passe on va dire. Quoiqu'en repensant à la CGI sur les titans je me demande si je dois vraiment laisser couler...
Pas fan des nouveaux uniformes du bataillon d'exploration, pas que j'ai quelque chose contre le changement mais ils donnent un air ultra baraqué et trop futuriste à mon goût.
Gabi, mais quelle emmerdeuse... j'espère qu'elle connaîtra un destin tragique digne de SNK.
Levi est trop peu présent, mais cet argument ne compte qu'aux yeux des fangirls. Et ça me trigger de pas savoir ce qui lui arrive après sa dernière apparition.
Sinon bonne saison, beaucoup de révélations, on sort des murs pour de bon pour... en retrouver d'autres, mais l'intrigue est bien menée, les personnages ont de vraies évolutions, même si certaines ne me plaisent pas forcément (genre des changements physiques pas terribles, Jean que t'ont-ils fait ??? Mikasa a définitivement changé de sexe entre deux saisons). Plusieurs camps au terme de la mi-saison, faut réussir à suivre et à se souvenir des éléments donnés dans les saisons précédentes, j'aurais peut-être dû les revoir avant d'entamer celle-ci, j'aurais moins galéré.

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Doux et cliché

Horimiya ne révolutionne clairement pas le genre, c'est le moins qu'on puisse dire. À la fois slice of life et romance, il s'en tient à ce que tous ses prédécesseurs ont déjà raconté : un personnage timide et moqué pour son apparence sinistre se fait soudain des amis, poussé par un autre personnage du sexe opposé au sien et dont l'évolution scenaristique se limitera à devenir le love interest du protagoniste. Horimiya n'a pas laissé échapper un seul élément de la rom-com : la fille mal dans sa peau qui n'ose pas avouer son amour mais fini par prendre son courage à deux mains, sa rivale n'ose pas plus qu'elle et préfère se lancer dans une "fausse relation" avec le gars dont elle est amoureuse, un couple principal dont la relation évolue vite sans raison, les rivaux du couple qui se font une raison, les anciens camarades de classe qui reviennent vous hanter etc. Il ne manquait plus que la sempiternelle dispute autour du choix de la fac et ç'aurait été un bingo. Mais non, Horimiya préfère nous montrer la side story de la petite sœur d'un perso secondaire.

Au final pas grand chose à dire de cet animé, les designs et l'animation sont jolis, l'humour a fonctionné sur moi et j'ai aimé les moments d'amitié et de deconnade dans le groupe, surtout entre les garçons, mais le reste accumule à la fois les clichés et les personnages sans rien développer. Il n'y a jamais vraiment de risques pour le couple principal, peu importe le nombre de prétendants.

Ah si, un truc bizarre : l'héroïne est une maso qui aime que son gars (le timide) la traite mal et la frappe. Tous les goûts sont dans la nature mais ça me mettait juste mal à l'aise.

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Boysband en péril

Relation bancale : le mec voit un gars au pif dans la rue une seule fois et ça devient son obsession. D'un autre côté le fameux gars ne sait jamais ce qu'il veut, un coup il laisse Shindo faire tout ce qui lui passe par la tête, il l'aime etc et 10 minutes après il le jette dehors en lui disant qu'il le déteste... Franchement, une fois à la limite, mais ça arrive au moins 3-4 fois, c'est ultra lourd.
Le personnage principal, Shindo, est difficilement supportable, je vois bien que l'auteur voulait créer une vraie histoire qui ne soit pas forcément au service de la relation ou du sexe, mais pour moi c'est un échec. Déjà parce qu'au moindre problème les membres du groupe veulent se barrer, mais en plus parce qu'à la plus petite remarque de Yuki, au plus petit truc qui cloche dans leur... "couple"... Shindo devient une loque incapable de quoi que ce soit. Il est pas foutu de poursuive sa vie et son rêve sans un type qu'il connaît depuis moins d'un mois. Hors relation il est quand même irritant : naïf, impulsif, premier degrés.

Musiques clairement pas ouf, pareil pour les designs, tenues etc, mais ça tient aussi au fait que l'anime a plus de 20 ans. L'humour non plus n'est pas terrible...

Cet animé pouvait peut être passer à l'époque de sa sortie, mais je trouve qu'il a mal vieilli, même le doublage sonne vieux.

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C'était convenu mais pas dégeu. Les personnages stéréotypés remplissent bien la fonction qu'on leur a attribuée, et on se réjouit du dénouement.
Petite déception : assez peu de chorégraphies patinées.

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Je sais même pas quoi en retenir... Une magicienne résout des affaires bizarres avec ses pouvoirs et ses deux sidekick ?

Annotation :

Je n'ai qu'une prière à Lui adresser : fais cesser les adaptations d'otome stp.

Graphismes pas mal, couleurs surtout en fait.
Sinon c'est le vide intersidéral, les personnages sont tous unidimensionnels, l'héroïne est une cruche comme on en voit peu même dans les pires navets portés à l'écran. C'est pas de la romance, c'est du SM, se faire harceler et pomper le sang toutes les deux minutes par 6 mecs ayant tous sans exception des problèmes avec leur mère morte ne peut pas constituer la base d'un shojo qui se respecte. À part ça, pas de scénario... Ah si, l'une des mères mortes essaye de revenir via une greffe de coeur 1) impossible sur un bébé, ou 2) impossible à ne pas remarquer sur une ado, auquel cas la poche de sang en mini-jupe aurait pu nous dire/montrer qu'elle avait eu des ennuis cardiaques (réels ou pas).
Bref, rien ne va et c'était cringe, mais ça ne m'a pas donné envie de me laver les yeux à la javel comme boku no Pico ou enzai, donc 2/10... Comment ils ont pu tirer assez de matière pour faire une saison 2 me dépasse.

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Rafales de billes sur fond de qui-pro-quo

Sympathique, mais pas transcendant. Le plus étant que cet animé met en scène un sport jamais (je crois) abordé en japanimation, c'était plutôt cool de voir des gens utiliser des flingues sans que ce soit réellement une question de vie ou de mort.
Dans les moins, Aoharu x Kikanju n'arrive pas à m'enthousiasmer plus que ça, les relations sont mignonnes mais ne changent pas beaucoup de ce qu'on peut trouver ailleurs, surtout en ce qui concerne le personnage principal, Tachibana (le coup du "ils me prennent pour un gars mais je suis une fille, que faire ?" n'étant pas très novateur). De plus, même si ça ne s'applique qu'à la VO et non aux sous-titres, elle a la mauvaise manie de parler d'elle à la troisième personne (Tachibana va faire ça, que doit faire Tachibana etc), et c'était assez agaçant à entendre sur 12 épisodes.

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Hectolitres de sang sur kilomètres de cheveux longs.

Après 3 tentatives sans dépasser l'épisode 4, ça y est, fini! Hellsing a véritablement une esthétique qui ne me plaît pas : du sang comme s'il en pleuvait, des cheveux toujours plus longs, des visages constamment déformés. Si j'ai vaguement aimé la thématique du vampire un poil dégeu, j'ai pas spécialement aimé l'histoire, ou du moins ce que j'en ai compris.
Autre point qui m'a agacée : les monologues interminables du nazi blond et d'Anderson. A vrai dire, toutes les interventions des nazis sont d'une longueur abominable, même les acclamations des soldats à l'approche de Londres épisode 5, ou encore la liste des endroits qu'ils prévoient d'attaquer (même épisode) : "et celui là ? et celui ci ? et la bas ? et ce coin ci ?", j'ai visité Londres rien qu'avec ce passage.
Le truc avec les rêves de Seras et Alucard était chiant aussi, avec le petit gros qui dit être leur flingue, l'humour n'a pas marché sur moi.
Pourquoi le gamin nazi a des oreilles de chat ???????!!

La relation Seras/Bernadotte était cute, et j'ai eu moins de mal sur la fin, quand ça bouge et qu'y a du drame.

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Rewatch
J'avais oublié le dernier plot twist, ou du moins la manière dont on nous le faisait comprendre, mais c'est vraiment l'une de mes fins d'anime préférée, le passé d'Isabella est révélé au bon moment, c'est bien monté et ça ne tombe pas comme un cheveux sur la soupe (un indice était glissé quand elle parle à Emma des pré-requis pour devenir "maman").

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Takumi, prince(sse) du diamant

Pas beaucoup de baseball, l'animé est surtout basé sur la caractérisation et sur la relation houleuse entre lanceur et receveur.
Beaucoup de passages longuets du coup, qui s'appesantissent sur la psychologie de Takumi.
Peu de musique aussi, ça accentue le côté réaliste de l'animation, mais ça crée par la même un manque de dynamisme.