Top films de droite

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Les valeurs Spartiates portées au pinacle : l'élitisme, l'effort, le dépassement de soi, la fierté du sang, le rejet de l'assimilation, le sacrifice.

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L'utopie d'un monde pacifique où la violence a disparu, conséquence : l'humanité s'est infantilisée. Le politiquement correct s'est matérialisé en contrôle de la langue. Bien d'autres détails peu équivoques, mais surtout le film capitalise autour de la nature humaine, notion qui fait horreur à la gauche : celle d'individus foncièrement mauvais, irrécupérables, et sur lesquels les meilleurs intentions du monde se fracasseront toujours.

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Héros qui renonce à l'instinct jouisseur et même l'amour : guidé par la transcendance, il préfère laver son honneur par respect pour ses ancêtres. Il est habité par l'idée de descendance et de lignée.

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La vengeance guide ce héro. Il incarne le mythe du surhomme, conquérant, celui qui fait exploser sa volonté de puissance, et qui maudit son propre Dieu s'il ne lui donne pas satisfaction.

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L'échec de l'Ouest à civiliser les barbares d'une Afrique de l'Est irrécupérable. Les Somaliens tombent sous le feu américain comme des zombies écervelés et excités par le sang. Célébration du patriotisme, isolationisme, militarisme.

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Le film moque la soldatesque et ses excès, mais il place toujours l'autorité, la hiérarchie et la force comme remparts à la destruction. A l'inverse l'angélisme (Morons) et la faiblesse (le général) se paie cash.

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L'incurie sécuritaire en images, et le crédo anarcho-tyrannique actuel "dur avec les faibles, faible avec les durs". Minorités éthniques en situation de sécession, territoires perdus de la République, instinct tribal, communautarismes racial et religieux, cinquième colonne. Le réel est une claque dans la gueule qui fait mal.

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Monde de prédateurs et loi du plus fort. L'État de droit, incarné par une femme, est écarté car présenté comme empêcheur et limitateur. Scène finale où le héros chie brutalement sur l'idée de pardon et de seconde chance.

Annotation :

L'idée que le bien et le mal existent, se sentir plus proche de son voisin que de son lointain, l'essentialisation des races, l'autre comme menace : un ADN droitier.