Top 15 Films des 80s avec une scène emblématique dans des toilettes publiques

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Si ma mémoire est bonne, le traumatisme du héros vient d'un type qui se brûle les couilles avec son micro dans les latrines, il y a bien entendu le moment où on ouvre toutes les portes pour arriver à la bonne...

Sans oublier la scène de meurtre qu'illustre l'affiche : le meurtrier attrape et étrangle une fille dans les toilettes. Il s'y prend à plusieurs reprises car elle bouge pas mal, il ne veut pas se faire remarquer d'elle, il tente le tout pour le tout, la soulève et l'étrangle, et on voit ses petits pieds à elle qui tressautent sous la porte des toilettes. Horrible!

(Merci Miette)

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Quand John Goodman et son frangin dégénéré s'évadent, quoi de mieux que de se refaire une petite beauté dans les chiottes d'autoroute les plus proches ?

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La scène fondatrice, le meurtre et son petit témoin, c'est même sur l'affiche, scène de suspense avec ouverture de toutes les portes par le méchant, bien entendu...

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Eddie s'y réfugie pour fumer un joint (question subsidiaire, comment éteindre un joint quand on est accroupi sur la cuvette fermée et qu'il faut rester discret ?) et découvre ainsi l'enjeu du pari dont il est victime. Pas de fouille de l'enfilade de gogues mais un petit regard sous les portes par Ralph Bellamy, ce qui est déjà beaucoup à bientôt quatre-vingt ans...

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Mickey Rourke tabasse le méchant dans les toilettes d'une boîte de nuit, et ce n'est facile de se faire une petite place...

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En noir et blanc et modèles d'époques, les goguenots font tout de suite plus coquets, pas la peine de te sauver, mon bon Merrick, de toutes façons, la grille est fermée...

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Pas de petite virée virile sans lâcher son fil en bande dans les pires toilettes de la création.

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Martin Short s'y réfugie pour un besoin pressant au moment où il commence seulement à parler à son intérieur, d'où quiproquo savoureux sur la taille de son anatomie au grand dam d'un autre visiteur présent...

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La scène des toilettes publiques de l'OCP où prend place le premier face à face euh.. tendu entre Bob Morton (à l'origine du projet RoboCop) et Dick Jones (projet ED-209).

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Ma grosse baleine, tu as bien fait de faire reluire les chiottes comme des miroirs de bordel, les éclaboussures diverses à venir ne s'y verront que mieux...

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Kurt Russell (je ne sais jamais si c'est Cash ou Tango) profite des commodités du commissariat pour un de ces interrogatoires musclés dont il a le secret. Ce que je ne comprends pas c'est pourquoi une chaise non-percées dans les lieux ? En même temps, il semblerait que les vestiaires du personnel prolongent plus ou moins harmonieusement le mur de pissotières...

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Frank Drebin boit trop d'eau à une conférence de presse et doit s'éclipser discrètement... avec le micro toujours branché...

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Le bal masqué d'Halloween, Ralph se déguise en douche sous l'impulsion de Maître Miyagi et en profite pour arroser le méchant qui roule des joints au petit coin...

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Lors de la grande soirée de dépucelage, Danny a "les dents du fond qui baignent" ce qui veut dire tout autre chose que ce qu'il voudrait mais le traducteur était analphabète. Toujours est-il qu'il se retrouve devant les urinoirs avec Arnie et, vu qu'ils sont jumeaux, bien entendu ils appuient sur la chasse d'eau avant et après miction dans une belle synchronisation fraternelle...

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Dennis Quaid se réfugie dans celles de l'hippodrome quand une bande de bookmakers bourrus en veut à sa recette du jour. Après avoir défoncé quelques portes ils parviennent à leurs fins mais qui sait tout ce qu'un esprit habile peut faire en quelques minutes avec des rouleaux de papier hygiénique à disposition...