Seb C. - Liste commentée : Mes jeux platinés

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Platiné en : 2006
Difficulté du platine : 2/10

Je vous parle d'un temps que les moins de 30 ans ne peuvent pas connaître : la naissance du concept de succès, inventé par la Xbox 360 (qui leur donna d'ailleurs pour nom "performances" dans sa première année de vie). C'était avant la sortie de la PS3, de ses trophées et de son "platine" qui n'existaient alors pas encore. Uno est mon premier "platine" (entre guillemets, donc), et sûrement le premier aussi de beaucoup de gens ayant joué à ce jeu sur Xbox 360. Parmi les premières sorties du Xbox Live Arcade, Uno n'avait en effet que peu de succès (pour un total de 200 G, contre 1000 G pour les jeux sur disque), la plupart s'obtenant simplement en jouant (seul un demandait de gagner 10 parties en ligne, mais comme il y avait énormément de monde, ça s'obtenait vite).

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Platiné en : 2006
Difficulté du platine : 5/10

Un puzzle platformer un peu con-con, parmi les premiers "gros" jeux du Xbox Live Arcade, qui m'avait bien fait marrer à l'époque. Fun fact, j'ai platiné ce jeu car ses succès tombaient sur des chiffres "non-ronds" qui mettaient en désordre son Gamerscore, ce qui était énervant pour les complétionnistes tatillons à tendance psychopathe. Cloning Clyde était en effet le seul jeu à proposer des succès à 8 G par exemple, tous les autres jeux respectant la règle tacite de points finissant en 5 ou en 0. Les joueurs de ce jeu se reconnaissaient d'ailleurs en un coup d'œil à l'époque, puisqu'ils avaient souvent un score terminant par un chiffre inhabituel. Ainsi, pour retrouver un score "rond", il fallait platiner le jeu, ce que je me suis résolu à faire de moyenne gaîté de cœur car certains succès étaient quand même, de mémoire, assez pénibles. C'est sûrement ce jeu qui m'a fait prendre conscience que j'accorderais une importance pathologique au "100% de succès"...

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Platiné en : 2006
Difficulté du platine : 4/10

Premier Just Cause, premier "monde ouvert next gen débile" quelques mois avant Assassin's Creed. D'une beauté fabuleuse sur Xbox 360, le jeu invite naturellement à se perdre dans ses décors paradisiaques en faisant tout péter, en réalisant des missions secondaires et en gagnant des courses un peu nulles. Contrairement à ce que peut laisser penser son format open world, c'est un jeu assez fastoche à compléter, sans collectibles casse-pieds, qui demande juste un peu de patience ; Just Cause 1 est d'ailleurs beaucoup plus simple à platiner que ses successeurs.

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Platiné en : 2007
Difficulté du platine : 6/10

En théorie, pas facile de platiner un jeu de sport, surtout "extrême" ; en pratique, Amped 3 reste un jeu très arcade et tolérant, qui ne posera difficulté que dans les meilleures médailles de quelques épreuves qu'il "suffit" d'apprendre par cœur. Amped 3 est un jeu de snowboard très fun et sous-coté que j'ai pris beaucoup de plaisir à compléter ; je me rappelle de ses cinématiques complètement barrées, que je suis allé revoir dans le menu un nombre incalculable de fois, et une liste de succès traduite avec les pieds, à même de donner des sueurs froides à tout complétionniste parlant un français normal.

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Platiné en : 2007
Difficulté du platine : 1/10

Fini une première fois sur la Xbox originale, j'ai ensuite racheté le jeu sur Xbox 360 pour profiter de l'effet "next gen". Clairement, il s'agit là du meilleur support sur lequel découvrir le jeu, véritable pépite méconnue et potentiellement meilleure adaptation de film de tous les temps, y compris à ce jour. Pour le platine, c'est d'une simplicité dérisoire puisqu'il suffit de finir le jeu en ligne droite (et King Kong est, pour le coup, un jeu très facile).

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Platiné en : 2007
Difficulté du platine : 2/10

Premier Worms sur console HD, j'ai platiné ce jeu (qui s'appelle Worms tout court et pas Worms HD, au passage) sans aucune difficulté à sa sortie. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, le jeu ne demande pas de réaliser des exploits en ligne ; tout au plus, de se connecter à une partie à quatre joueurs. Le reste des succès consiste simplement à utiliser ses armes un certain nombre de fois et à faire un certain nombre de points de dégâts au total, ce qui revient à jouer normalement pendant quelques heures.

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Platiné en : 2008
Difficulté du platine : 6/10

Eternal Sonata est un J-RPG aussi mignon que facile, avec des combats sans gros challenge. Le principal défi, pour platiner le jeu, est de réaliser les quêtes secondaires débiles qu'on retrouve habituellement dans le genre, demandant de se fader des New Game + en lisant soigneusement une soluce pour faire un tas d'actions stupides dans le bon ordre (je me rappelle vaguement qu'il était question de partitions de musique, de seaux et de poissons). Heureusement, vu l'incroyable beauté artistique du jeu, ce n'était pas une torture.

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Platiné en : 2010
Difficulté du platine : 6/10

L'un de mes jeux du lancement de la Xbox 360, Gun a été un successeur à Red Dead Revolver, et un précurseur à Red Dead Redemption. Développé par Neversoft qui faisait alors les jeux Tony Hawk, c'est là un très bon jeu d'action/aventure dans une grande map western. Le scénario, les musiques, les personnages sont au top, ce qui fait que je n'ai eu aucun mal à me motiver pour déverrouiller tous les succès du jeu ; les plus tendus ont été de finir le jeu dans son mode de difficulté "Fou furieux" (assez chaud) et de trouver tous les espèces de collectibles sur la map en monde ouvert (pas "difficile" techniquement, mais particulièrement long).

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Platiné en : 2010
Difficulté du platine : 2/10

Je n'ai pas beaucoup aimé Oblivion, et pourtant je l'ai assez facilement platiné puisqu'il suffit de compléter les missions clés du jeu, principales ou de faction. Techniquement, j'ai plutôt dû platiner le jeu une première fois en 2007, puis de nouveau à la sortie de son extension Shivering Isles.

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Platiné en : 2011
Difficulté du platine : 2/10

Ce remaster de Beyond Good and Evil, exclusivité PSN & Xbox Live Arcade passée inaperçue, est aussi chouette à redécouvrir qu'il est facile à platiner, puisqu'il suffit, grosso modo, de finir le jeu en faisant un léger effort d'exploration et de complétion sur les quelques secrets et mini-jeux. Je crois qu'il n'est pas du tout nécessaire de finir le jeu à 100% pour choper tous ses succès. C'est donc une complétion plaisir, qu'on réalise sans se forcer tout en (re)jouant à un jeu culte, qui n'a pas pris une ride.

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Platiné en : 2011
Difficulté du platine : 4/10

Faery est le premier jeu du tout jeune studio français Spiders, bien des années avant Greedfall et compagnie : il s'agit une exclusivité Xbox Live Arcade vendue à prix doux, au scope très réduit, assez momoche (même pour l'époque), mais qui pose bien les bases du style du studio, en se révélant être un RPG très classique. Je n'ai pas de souvenir particulier de ce jeu, si ce n'est que je n'ai pas spécialement dû galérer. A relire le descriptif des succès et les pourcentages d'obtention, c'était peut-être un peu plus dur de bien tout explorer et tout ramasser, mais ça ne m'a clairement pas traumatisé...

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Platiné en : 2011
Difficulté du platine : 6/10

Assez facile à terminer en ligne droite, Rayman Origins montre les crocs pour le platine, en demandant en particulier de choper tous les médaillons et de gagner tous les défis de vitesse, ce qui peut poser quelques problèmes en particulier dans les derniers niveaux. Rien d'insurmontable cependant, d'autant que les niveaux sont rapides et sans temps mort.

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Platiné en : 2012
Difficulté du platine : 1/10

L'un des premiers jeux Telltale à proposer des succès ; le premier, en tous cas, à faire en sorte que tous s'obtiennent sans rien faire d'autre que finir le jeu. Peu importent les choix qu'on fait, c'est le 100% assuré au générique de fin du dernier épisode. Seul le DLC "400 Days" comporte un succès secret lié à un mini-jeu, très simple à obtenir.

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Platiné en : 2016
Difficulté du platine : 0/10

Un petit jeu RPG Maker de Freebird Games, les auteurs de "To The Moon". Il n'y a littéralement qu'un seul succès, qui s'obtient en atteignant le générique de fin, ce qui prend une heure.

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Platiné en : 2016
Difficulté du platine : 2/10

Mes souvenirs sur ce jeu sont très flous, mais je n'ai vraiment pas le souvenir d'avoir galéré. Je crois qu'il suffit juste de finir le jeu, en faisant éventuellement attention à un ou deux passages.

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Platiné en : 2017
Difficulté du platine : 1/10

Comme la plupart des jeux Telltale, il suffit de finir le jeu une seule fois, les succès correspondent aux fins de chapitre (et non au choix).

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Platiné en : 2018
Difficulté du platine : 2/10

Ce point and click, comme tout jeu du genre, est assez simple à compléter à 100%, puisqu'il suffit de terminer le jeu, en pensant au passage à réaliser de petites actions contextuelles facultatives.

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Platiné en : 2018
Difficulté du platine : 3/10

Une grosse douzaine d'heures suffit pour choper tous les succès de Quantum Break, en s'armant néanmoins d'une soluce pour trouver tous les documents à lire. Les quelques succès qui restent en fin de partie peuvent être obtenus en refaisant certains passages FMV avec des réactions différentes, ce qui est l'occasion de remarquer que ça ne change absolument rien à l'histoire (merci quand même).

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Platiné en : 2018
Difficulté du platine : 0/10

Jeu Telltale. Encore plus court que les autres jeux Telltale. Nuff said.

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Platiné en : 2020
Difficulté du platine : 3/10

Zachtronics adore intégrer des Solitaire à ses jeux, et l'unique succès d'Eliza consiste à remporter une partie de ce mini-jeu en difficulté expert. Ce n'est pas facile, mais vu que c'est littéralement le seul succès que propose le jeu...

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Platiné en : 2020
Difficulté du platine : 0/10

Merci de ne pas me juger.

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Platiné en : 2021
Difficulté du platine : 4/10

Sans guide, ce "Où est Charlie ?" interactif, bicolore et lo-fi est assez compliqué à platiner, à cause d'un grand nombre de trucs à trouver parfois minuscules et super bien planqués dans des zones à l'isométrique absolument immenses. J'ai passé une petite dizaine d'heures à essayer de débusquer tous les personnages, machins et autres bidules, avant de faire péter la soluce pour la quinzaine de secrets manquants qui sont atrocement durs à repérer, et demandent pour certains de réaliser des actions spécifiques.

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Platiné en : 2021
Difficulté : 1/10

Théoriquement, ce Telltale est aussi dur à platiner que les autres, c'est-à-dire qu'il est hyper simple, il n'y a qu'à le finir. En pratique, j'ai tellement souffert pour arriver au bout de jeu Walking Dead nullissime (le pire de la saga, et une insulte à la licence entière) que je serais presque tenté de lui attribuer une note de difficulté élevée.

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Platiné en : 2021
Difficulté du platine : 2/10

Une excellente compilation de jeux d'horreur, très facile à platiner puisqu'il suffit de lancer chaque jeu, et, pour certains seulement, de les finir (sachant que certains succès demandent soit-disant de terminer les jeux, mais se débloquent en réalité au lancement). Un ou deux succès sont peut-être vaguement difficiles à obtenir car tous les jeux ne sont pas forcément faciles, mais ça passe crème.

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Platiné en : 2021
Difficulté du platine : 2/10

Comme son prédécesseur, et contrairement aux suivantes, cette compilation se platine simplement en lançant tous les jeux et en terminant certains, mais la plupart sont faciles.

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Platiné en : 2022
Difficulté du platine : 2/10

Comme les autres Dread X de ma liste, avec moins de succès, mais légèrement plus durs ; quand même facile à avoir dans l'ensemble.

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Platiné en : 2022
Difficulté du platine : 7/10

Contrairement à ce qu'on pourrait penser, platiner Elden Ring n'est pas si difficile, c'est même de très loin le jeu From Soft le plus simple à terminer à 100%. Les succès s'obtiennent en effet "simplement" en vainquant les boss du jeu et en ramassant des objets, sachant que ceux qu'on rate peuvent être récupérés en New Game +. Seuls certains boss restent vraiment très difficiles, comme la célèbre Malenia, mais ils peuvent être gérés en coopération avec d'autres joueurs, ce qui baisse sensiblement le niveau de difficulté. Reste enfin les succès liés à l'histoire, dont la difficulté réside dans les actions à accomplir, ce qui n'est plus qu'une formalité avec un guide. Dans l'ensemble, ce n'est pas non plus une promenade de santé (loin de là), mais je me serais attendu à un niveau de défi platine beaucoup plus élevé. C'est le seul jeu From Soft que j'ai platiné, et ça restera sans doute le seul.

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Platiné en : 2022
Difficulté du platine : 4/10

Un platine un peu "neuneu", qui demande pour être obtenu de réaliser toutes les activités secondaires à la con, la seule difficulté résidant dans le fait de ne pas péter un plomb à faire et refaire en boucle les mêmes choses. Seuls quelques succès demandent un peu de doigté, notamment ceux liés au combat et au mode de difficulté supérieur, qu'on contourne quand même aisément en "upgradant" son Spider-Man avant de passer en NG+. Le platine prend environ 50 heures.

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Platiné en : 2022
Difficulté du platine : 2/10

Ouais... Je joue vraiment à n'importe quoi, des fois.

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Platiné en : 2022
Difficulté du platine : 1/10

Un Zelda-like qui se termine en 3 heures. A 100%. Et qui permet de faire de l'évasion fiscale en prime. J'achète.